"Jésus leur parla encore : Moi, je suis la lumière du monde ; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie." (Jean 8. 12)
La conversion d’une Chinoise

Une jeune Chinoise raconte :

“J’avais un jour entendu un prédicateur faire la comparaison suivante : “Si nous laissons un morceau de bois dans un endroit sombre, toutes sortes d’insectes vont se cacher dessous. Mais si nous l’exposons à la lumière, ils s’enfuiront, car ils ont horreur de la lumière. Il en est de même de notre cœur : Si Jésus, la lumière du monde, n’y habite pas, il est dans l’obscurité et cache toutes sortes de mauvaises pensées. Mais dès l’instant où nous recevons le Christ, et avec lui la lumière qu’il apporte, nos mauvaises pensées s’en vont”.

Depuis mon enfance j’avais peur des insectes. Un jour où je jouais au croquet dans la cour, je vis dans l’herbe une pierre qui me rappela la comparaison du prédicateur. Je poussai mon maillet sous la pierre et la soulevai. Un gros lézard, un mille-pattes et de nombreux petits insectes se dispersèrent aussitôt. Une voix intérieure me dit : “Tu es comme cette pierre, lisse et blanche au dehors, mais remplie de péchés au-dedans”.

Je compris alors combien il était hypocrite de prétendre suivre nos traditions chinoises d’amour, de justice et de vertu, et j’eus la conviction que j’étais une pécheresse. Je laissai tomber mon maillet et courus dans ma chambre… Je m’agenouillai près de mon lit et priai : “Seigneur, pardonne mon péché et aide-moi à comprendre ta Parole”. Je me relevai rapidement, le cœur battant et le visage en feu. J’avais enfin trouvé la paix !”

TEMOIGNAGE DU GOTHIQUE à JÉSUS

C 'était il y a quelques années. J ' étais gothique et j'adorais le DIABLE. J 'étais athée donc je ne pensais pas que Satan était réel, donc c'était plus une rébellion contre la religion. Comme j'étais mal, SATAN EST TRES REEL et est en train de tromper et de manipuler tout le monde sur la planète.
En décembre dernier, j'ai enfin atteint Dieu et il a transformé toute ma vie. Il m'a conduit à son fils JESUS-CHRIST en septembre 2019 et je suis NÉE DE NOUVEAU.

Au cours de la dernière année, j'ai arrêté de vivre une vie de péché et j'ai été régénéré par le SAINT-ESPRIT.

Toutes mes addictions et comportements toxiques sont tombés de ma vie instantanément. J ' ai soudainement voulu être une bonne personne et je me suis tourné de toutes les choses mal.
- j''ai arrêté de regarder des films d'horreur,
- j'ai arrêté d'écouter du HEAVY METAL,
- j'ai arrêté de boire et de me droguer,
- j'ai arrêté de faire la fête,
- j'ai arrêté de laisser des gens toxiques dans ma vie,
- j'ai arrêté de jurer,
- j'ai arrêté de mentir,
- j'ai arrêté de tricher,
- j'ai arrêté de prendre le nom du Seigneur en vain,
- j'ai arrêté d'être une personne terrible

Et j'ai commencé à faire confiance à Dieu !!!
Je ne peux même pas exprimer à quel point JESUS a changé ma vie.
Loué soit le Seigneur JESUS et son pouvoir de TRANSFORME UN ENFANT DU DIABLE EN UN ENFANT DE DIEU.

Croyez en JESUS-CHRIST maintenant et soyez LIBRE.
Le Salut est un cadeau Gratuit du Seigneur !
Tournez-vous vers JESUS pour la Vie Eternelle !
Loué soit JESUS mon Seigneur, mon Sauveur, mon Roi.
Merci JESUS de m'avoir sauvé. Je t'aime pour toujours. Amen."
Transmis par René Barrois

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Guérison miraculeuse d'un oeil, médicalement confirmée (Témoignage de guérison de France lors d'une Convention Compassion à Paris en avril 2000)

"Je rends gloire à Dieu pour son Fils Jésus qui m'a touchée le samedi 29 avril 2000 à la convention Compassion à Paris. Je m'étais rendue à la réunion avec des problèmes de vue terribles. Tout était trouble devant moi car je venais d'être opérée d'un oeil, il y avait à peine 9 jours, et l'autre oeil avait subi la même opération voici plus de 4 mois.

Une intervention très douloureuse car j'avais un ptérygion sur chaque oeil, c'est-à-dire de la chair qui avait poussé sur la cornée et qu'il fallait impérativement enlever. La veille de cette réunion, je ne pouvais pas ouvrir l'oeil opéré pendant toute une partie de la journée. Ce jour-là, une parole de connaissance fut donnée par notre soeur Dorothée de la part du Seigneur pour son peuple. Cette bénédiction concernait particulièrement ceux qui souffraient des yeux et même ceux qui avaient été opérés.

Cette parole me concernait donc. J'ai dit : Merci Seigneur. Ce matin-là, j'avais crié au Seigneur, lui demandant son aide et au moment où cette parole a été donnée pour tous ceux qui avaient des problèmes de vue, j'ai fait agir ma foi en passant le doigt sur ma paupière et sous ma paupière, chose qu'il m'était impossible de faire auparavant, tellement je souffrais.

Mais Gloire à Dieu ! Toute douleur avait disparu, plus de trouble du tout dans cet oeil fraîchement opéré, plus aucune douleur, plus de fatigue oculaire non plus ! Alléluia ! J'ai donc passé cette journée sans difficulté et servi le Seigneur sans problème. En rentrant à la maison, mon mari a lui aussi constaté la guérison. Il n'en croyait pas ses yeux !

Une semaine après cet attouchement du Seigneur, j'ai revu mon ophtalmologue pour un contrôle postopératoire et il s'avère que la guérison de mon oeil est spectaculaire. Le docteur n'en revenait pas : il m'a déclaré que de toute sa vie d'ophtalmologue, il n'avait jamais vu cela. Il s'empressa alors d'appeler quatre de ses confrères pour constater la guérison.

Chacun d'entre eux m'a examinée avec ses appareils et tous ont déclaré à l'unanimité qu'ils n'avaient jamais vu une telle chose de leur vie ! Les cinq médecins étaient là, stupéfaits, et se disaient les uns aux autres : c'est incroyable ! Le docteur traitant m'a ensuite déclaré que mon oeil était parfait, totalement guéri et que je n'avais plus besoin de venir le consulter. Et je peux ajouter maintenant que je vois même mieux de cet oeil-là que de l'autre. Alléluia ! Gloire au Seigneur! - Josette Montabord (Paris)

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Témoignage d’une baptisée

Le témoignage que je livre aujourd’hui devant vous, est celui de mon très long séjour dans les antichambres de la foi, avant la véritable rencontre avec Jésus.
Je suis issue d’une famille catholique et pratiquante depuis des générations. Dieu et Jésus ont toujours été présents dans ma vie. Dans ces conditions, on comprend bien que ma relation initiale avec Dieu était le fruit d’une transmission, d’un héritage, d’une éducation. Cependant, bien qu’ayant toujours été convaincue de l’existence de Dieu et de son Amour pour moi, je me suis pendant une courte période éloignée de la pratique religieuse. Et lorsque, j’ai renoué mon intimité avec Dieu et son Fils Jésus, j’aimais véritablement proclamer que j’avais trouvé la foi, que la relation que je vivais avec Dieu était une relation réellement partagée et voulue. Et véritablement je désirais Dieu de toute la force de mon âme, j’étais vraiment dans une relation de dépendance à DIEU. Je ne désirais qu’une chose c’était vivre pour lui, avec lui, en lui. J’étais d’ailleurs très active dans ma paroisse, donnant de mon temps, (catéchisme, groupes de prières notamment la prière des mères) de mon énergie … Mais je sentais qu’il y avait une faille, peut- être même dans ma vie de croyante et des évènements sont venus conforter ce ressenti. En effet, si Dieu a toujours été présent dans ma vie, et bien que fervente croyante, amoureuse de Dieu je n’avais pas accès à la connaissance de sa parole, la Bible. Ma foi était stérile, je n’étais pas disciple. J’étais incapable d’apporter des réponses fiables aux interrogations de mes proches. Et ça c’était une véritable souffrance. Néanmoins Dieu a permis que je puisse me nourrir spirituellement par des prédications sur un site chrétien. Ces messages de l’Evangile m’ont permis de prendre conscience que pendant toutes ces années, j’avais été paralysée par le poids des rituels, de l’éducation religieuse et que la main que Jésus me tendait au lieu de la saisir, je ne faisais que l’effleurer. Je crois que je peux identifier mon parcours à celui du peuple de Dieu, une progression lente mais sûre vers la lumière qui est la Parole et la Vérité. Je poursuis cette progression en m’engageant par les eaux du baptême.
Gloire à Dieu !

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Ce qu'était Jésus pour moi, ce qu'il est devenu
 
Christ est mort pour tous, afin que ceux qui vivent ne vivent plus pour eux-mêmes, mais pour celui qui pour eux est mort et a été ressuscité. (2 Corinthiens 5. 15)

“J'avais pratiqué la religion de ma famille, en condamnant sévèrement la chrétienté. À 18 ans, je fus contacté par une chrétienne sur un stand biblique. Je ne savais rien de la Bible, sinon qu'elle était “falsifiée”, selon ce que j'avais appris. On m'avait enseigné que les chrétiens disaient que Jésus était le Fils de Dieu, et pour moi, c'était un blasphème. Jésus n'était qu'un homme, prophète certes, mais créé, au même titre qu'Adam.

Je décidai d'étudier et de comparer la Bible avec d'autres livres religieux.

À mesure que je la lisais, je me rendais compte qu'elle était autre chose que ce que je pensais ; et surtout, l'image que je me faisais de Jésus était fausse. D'étranger et imposteur, Jésus devenait pour moi un homme unique ! Qui a, comme lui, consolé les pauvres, accueilli les personnes rejetées, soulagé des opprimés ? Qui a, comme lui, parlé avec simplicité et vérité de Dieu qui aime tous les hommes ? Et surtout, qui a, comme lui, révélé le Dieu et Père de tous ceux qui placent leur confiance en lui ? Par la suite, j'ai assisté à des réunions chrétiennes. Cela m'a aidé à comprendre l'évangile du salut. L'amour de Dieu, manifesté à la croix, m'avait bouleversé, moi qui ne connaissais qu'un Dieu puissant, sans aucun pardon pour le pécheur. Mais Jésus Christ est maintenant mon Sauveur et mon Maître. La paix a inondé mon cœur ! Je connais Dieu comme mon Père céleste, et cela grâce à Jésus, crucifié et ressuscité pour moi.” - Jamel

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Le Chemin de Dieu, d’un cancer à une nouvelle vie

Je m'appelle Céline, j'ai 29 ans ; j'ai 5 formidables enfants et un bon mari grâce à Dieu. Mais tout n'a pas été toujours rose dans ma vie.

Quand on a le Seigneur Jésus-Christ dans sa vie, on se croit invincible, à l'abri de tout. On pense pouvoir tout diriger, mener sa vie comme un bon chrétien. On passe notre temps à louer Dieu et à le remercier. Lorsque tout va bien, ce n'est pas très compliqué. Mais même en tant que chrétien, peut-on tout accepter avec le sourire ? On le devrait pourtant.

En mars 2006, mon époux était parti en Côte d'Ivoire pour une durée de 4 mois pour son travail, j'ai donc profité de ce temps d'absence pour rendre visite à ma famille dans la région parisienne. J'ai décidé lors de ces vacances au mois d'avril de faire un bilan de santé complet (ophtalmologiste, dentiste). Lors de ma visite chez le gynécologue, j'ai dû effectuer un frottis de contrôle. Quelques semaines plus tard, j'apprends que le résultat est « anormal ». Des examens supplémentaires s'imposaient (biopsie, colposcopie). Résultat : cancer du col de l'utérus.

A l'annonce de cette nouvelle, je me suis effondrée. Pourquoi Seigneur ? J'ai une vie saine et je fais ta volonté. Une intervention chirurgicale s'imposait. Il a fallu annoncer la nouvelle à mon mari qui était à des milliers de kilomètres de moi. Il a été rapatrié le 18 juin 2006 pour être présent à mes côtés.

Les médecins m'avaient prescrit une pilule contraceptive afin que je n'aie pas de saignements lors de l'opération qui devait se dérouler le 26 juin 2006. Le gynécologue m'a ensuite expliqué qu'il serait difficile voir impossible pour moi de porter un enfant à son terme si je devais tomber enceinte. J'étais perdue et je me laissais porter par les évènements sans savoir pourquoi cela m'arrivait. C'est bizarre comme on cherche toujours des raisons à nos problèmes.

Après mon intervention, j'ai été sous traitement durant quelques semaines. Mais je me sentais toujours mal avec de violentes douleurs. Après avoir changée de traitement plusieurs fois, mon état ne s'était toujours pas amélioré. Un jour, lorsque mon mari travaillait et que les enfants étaient chez leurs grands-parents, j'ai été invitée par mon Pasteur et sa femme. Les douleurs étaient revenues alors que je partageais le repas avec eux. C'est alors que mon Pasteur Arnaud, m'emmena d'urgence à l'hôpital. Après des examens et une échographie, je vois à l'écran un petit être. J'étais enceinte depuis environ 16 semaines (début de grossesse le 20 juin 2006 ; j'étais donc enceinte lors de l'opération).

Mais comment est ce possible ? Je m'effondre. Comment vais-je le dire à mon mari ? En l'annonçant à mon Pasteur, il semble fou de joie ; il l'était certainement plus que moi. J'avais déjà 4 enfants dont le dernier avait à peine un an. Et puis, la maladie, j'avais aussi prévue de reprendre mes études. Bref, j'avais plein de projets, et tout était chamboulé. Et tout ça pour un enfant que je ne désirai pas et que je n'étais même pas sûre de pouvoir garder. Et qui me garantissait qu'il serait en bonne santé avec tous ces médicaments ? Mon mari lui, était beaucoup plus ravi. Il a juste dit : « Il va falloir que l'on change de voiture ».

Je m'en voulais de ces mauvais sentiments. Après tout, je priais pour que Dieu me guérisse et non pas pour avoir un bébé. Mais Dieu n'a-t-il pas le droit de m'offrir ce cadeau ? Ce formidable cadeau. 
Plus le temps passait et plus je m'attachais à cet enfant qui était issu d'un miracle. La première fois que je l'ai senti bouger, j'ai oublié tous mes soucis. Je l'ai aimé tout simplement comme j'aime mes autres enfants. Le Seigneur a aussi permis que je continue mes études durant ma grossesse, soutenue par ma famille et mon église. Et le 12 mars 2007 est né Malcolm, qui signifie « faiseur de miracles ». Car c'est un vrai miracle de Dieu. Et comme un miracle ne vient pas sans un autre, aujourd'hui je suis guérie du cancer. Ce sont les anticorps du bébé que j'ai développé durant ma grossesse qui ont facilités ma guérison.

Grâce à Dieu j'ai appris l'acceptation (accepter ce qu'il nous donne sans condition) et le renoncement (renoncer à nos propres projets pour suivre la volonté de Dieu). 
Aujourd'hui, je le loue et je le remercie pour tous ses bienfaits. L'homme cherche toujours des raisons à ce qui lui arrive, mais c'est manquer de foi que de ne pas accepter ce qui nous arrive. Dieu sait tout au-delà de nos espérances. Remercions le car il a posé son regard sur nous. Faisons lui confiance.
Céline

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Daniel Bodolec

témoignages

 

 

bodolecJe vis à Brest et je suis pasteur. Je voudrais, pendant ces quelques instants, partager mon témoignage avec vous. J’ai eu la chance d’avoir une maman qui croyait fortement en Dieu. Cela lui fut très utile parce que j’ai eu un papa difficile à vivre, étant malade des nerfs. De plus, il s’était mis à boire, ce qui fait que j’ai assisté à des scènes de violence. Ma mère et moi-même en avons beaucoup souffert, et j’ai dû en subir les conséquences.
C’est ainsi qu’à l’âge de l’adolescence, mon cœur était dans la révolte, dans la rébellion, et je voulais vivre autre chose que ce que me faisait subir mon père à la maison. Alors, j’ai fait partie de bandes de copains, de clubs, j’ai effectué toutes sortes de voyages. J’étais, en quelque sorte, en recherche. J’étais à la recherche d’un idéal, de quelque chose qui serait susceptible de me donner la paix, mais je ne l’ai jamais trouvé. Un jour, je me suis rendu dans un camp de jeunesse chrétien.

Là, un prédicateur a annoncé l’Evangile, et pour la première fois de ma vie, j’ai été touché par l’Evangile. A la suite de l’appel qu’il a adressé aux jeunes, je me suis levé, et pour la première fois, j’ai réalisé mon état de péché, ma situation de séparation d’avec Dieu. Je n’ai jamais ressenti cela auparavant. J’étais assez rebelle à l’égard de Dieu, étant donné tout ce que j’avais vécu dans ma famille. Mais là, j’ai découvert que Dieu m’aimait, me gardait, me protégeait, et qu’Il voulait me sauver au travers de son Fils Jésus-Christ. Alors, j’ai confessé mon péché. J’ai confessé ma nature rebelle. J’ai demandé pardon au Seigneur.

Et quand j’ai regagné ma place, je n’étais plus le même garçon. C’est comme si les écailles de mes yeux étaient tombées. Oui, j’avais fait l’expérience d’une rencontre personnelle avec Jésus-Christ. Je ne L’avais pas vu. Je ne L’avais pas touché, mais j’ai réalisé que son Saint-Esprit venait de me convaincre de péché, de justice et de jugement. Je venais de découvrir cet amour incommensurable de Dieu.

A partir de là, j’ai mené une vie tout à fait différente : la rébellion avait cédé la place à la paix et à la joie. J’ai rendu témoignage autour de moi. Ce fut quelque chose d’extraordinaire. Bien sûr, ce n’est pas parce que l’on devient chrétien que l’on a plus d’épreuves. Il y a eu bien des épreuves depuis, bien des chagrins, bien des difficultés, mais je peux vous dire que Jésus a toujours été à mes côtés et je n’ai jamais regretté de Lui avoir donné ma vie.

Je ne sais pas ce que je serais devenu aujourd’hui, peut-être un alcoolique, un homme violent ? Peut-être aurais-je fait toutes sortes d’expériences d’ordre spirite ou marquées par l’occultisme ? En tous les cas, gloire au Seigneur ! Je Lui appartiens et je vous invite à faire la même expérience que moi. Quel que soit le lieu où vous vous trouvez, demandez-Lui de vous sauver en cet instant. Vous pouvez l’être, votre vie peut changer, peut être bouleversée. La tristesse peut céder la place à la joie et à la paix. Oui, donnez votre vie au Seigneur Jésus, vous ne le regretterez pas.

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Témoignage de Christian Kadi

 

Je n’ai pas eu le privilège d’être élevé dans un foyer normal, puisque ma mère était une femme de mauvaise vie, et je n’ai pas connu mon père. Plus tard, ma mère s’est mariée à un homme alcoolique ; elle aussi l’était. Cet homme me détestait parce que je n’étais pas son fils : il manifestait de la haine envers moi en me frappant sauvagement.

Un jour, j’avais cinq ans, il m’attacha avec des lanières de cuir à une poutre et me frappa violemment avec une cravache. Une autre fois, il prit un balai, m’en asséna de coups sur la tête jusqu’à me faire perdre connaissance, le cuir chevelu coupé, et tout ensanglanté.

Un soir où je rentrais de l’école, il m’attendait avec un énorme couteau planté sur la table et une corde. Il me dit : « Ce soir je vais te couper la tête. »

Dans ce foyer lié par Satan, mes oreilles ont entendu ce que les oreilles d’un enfant ne devraient pas entendre, et mes yeux ont vu des choses impures, souillées, ce que les yeux d’un enfant ne devraient jamais voir.

Mon corps était constamment couvert de bleus, de contusions diverses, parce qu’il me frappait jusqu’à ce que le sang coule.

Ma nourriture, il fallait que je la trouve : je la cherchais dans les poubelles et les tas d’ordures. J’étais livré à moi-même. Les voisins se sont aperçus du manège et ont déposé une plainte auprès des services compétents de l’enfance.

Bien vite les services sociaux furent sur les lieux, ainsi que la police. En l’espace de quelques jours je fus retiré et placé à l’Assistance Publique. Je fus mis dans un orphelinat avec d’autres enfants qui étaient comme moi, ou sans parents. Dans cet établissement j’étais reconnu comme étant une forte tête car rien ne me faisait peur : je cassais les carreaux, frappais mes camarades, je volais, je me déchaînais et faisais des fugues.

Les services sociaux me placèrent alors chez une nourrice. Cette femme était gentille, elle me nourrissait bien, s’occupait bien de moi, mais ce qui me manquait c’était de connaître l’ambiance d’un foyer et particulièrement l’amour maternel que rien ne peut remplacer. Le maître d’école me disait souvent : « Tu finiras ta vie en prison... » car dans mon cœur il y avait de l’instabilité et de la haine.

À l’âge de 14 ans, je fus mis chez un patron pour travailler : je n’y restai que quelques jours. Je rencontrai dans la rue une bande de jeunes blousons noirs. Bien vite je me joignis à eux, là je me sentais bien. A cette époque je commençais à commettre quelques délits ; je fus arrêté par la police et placé dans une maison de redressement où je fus en contact avec des durs qui me montrèrent comment commettre des délits plus importants. Bien vite je mis leur enseignement en pratique, fis une fugue, et retrouvai mes anciens camarades. Avec eux, je descendais dans les bals, les fêtes foraines, les boîtes de nuit, cherchant la bagarre aux gens qui venaient pour se distraire.

Nous étions armés de chaines de vélos, ceinturons à clous, couteaux à cran d’arrêt, et cela se terminait mal.

À ce régime, je fus une nouvelle fois arrêté et conduit en prison. C’est toute ma jeunesse que je passai ainsi. Je fis plusieurs années de prisons et, à l’âge de 18 ans j’avais neuf condamnations sur le dos. Le juge me disait : « Vous ne vous en sortirez jamais. » Et plus on m’enfermait, plus j’avais envie de faire le mal, de massacrer les gens qui composaient la société.

Dans ces maisons d’arrêt, je me qualifiés de plus en plus, car ce sont bien souvent des écoles du crime.

Un jour, je pris la décision qu’il fallait que ma vie change, et je crois que chaque personne a dans sa vie ce désir. Je résolus de me marier (j’avais 18 ans et demi). Je rencontrai une jeune fille et un mois après nous étions mariés. Au début c’était tout nouveau, tout beau. Mais bien vite je fus encore arrêté et placé en prison pour plusieurs mois. La vie était vraiment un enfer pour moi et bien souvent je désirais mourir. J’avais de grosses dettes que je ne pouvais rembourser et je me voyais perdu. Alors je continuai à boire plus que d’ordinaire et je devins de plus en plus violent, faisant des scènes de ménage et tout ce que cela comporte. Mais ce que je ne savais pas, c’est que Dieu m’aimait : je ne m’étais jamais intéressé à Lui, mais Lui s’intéressait à moi. J’eus un accident. Je reçus sur la tête et sur la colonne vertébrale une botte de ferraille de 500 kilos. Je fus relevé avec des lésions multiples, des fractures de la colonne vertébrale et du crâne. A la suite de cela je fis des crises d’épilepsie très graves. Je tombais plusieurs fois par jour dans des comas de plusieurs heures, j’étais très près de la mort. Je consultais des professeurs de Paris : ils me donnaient un traitement (gardénal, valium, etc.) sans aucun résultat. Avec l’alcool que je buvais je devenais un malade mental par moment et je fus mis en hôpital psychiatrique. Mais lorsque je sortais, j’étais toujours dans le même état. Un jour, je fis une crise dans la rue. Quand je revins à moi, il y avait un homme que se mit à me parler de guérison miraculeuse par la foi en Jésus-Christ. Mes pensées étaient autres et mes idées étaient « Ni Dieu, ni maître. » Cet homme avait de la persévérance : il revint, me donna une Bible, et m’invita à des réunions où l’on prêche l’Evangile. Pour qu’il me laisse tranquille, je lui promis d’y aller, mais je n’en avais pas du tout envie.

Quatre mois plus tard, je vis revenir cet homme à mon domicile. Ce qui est remarquable c’est qu’il ne savait ni mon nom, ni mon adresse : il a prié et Dieu l’a conduit chez moi. Il a insisté pour que j’aille aux réunions, et il m’a dit : « Maintenant, tu es libre de faire ce que tu veux. » Après beaucoup d’hésitations, je me décidai d’aller à une réunion évangélique où j’arrivai à la fin. Le pasteur pria pour moi en m’imposant les mains selon l’ordre de Jésus (Marc 16 :18) et il ne se passa rien. Je revins la fois suivante, et dans la prédication, le serviteur de Dieu, sans connaître rien de ma vie, me la dévoila. Ce qui me frappait dans cet homme, c’était que quand je lui parlais avec un vocabulaire ordurier, il me répondait avec amour. Dieu commença à travailler mon cœur. Je compris que j’étais un pécheur misérable et je fis cette prière : « Seigneur, cet homme a dit que tu étais vivant, révèle toi à moi. »

Et Il le fit. Il se passa quelque chose d’inexplicable. Je fus rempli de joie, de paix, et je me mis à pleurer, chose que je n’avais pas l’habitude de faire.

A partir de ce moment, tout changea. Ma vie fut transformée, mon cœur malade fut guéri, mon foyer connut le bonheur et l’équilibre. La violence, la haine sortirent de mon cœur et je recommençai une vie nouvelle. Ce message d’amour de l’Évangile a bouleversé ma vie. Chaque jour le Christ vivant me donne la joie de Son Salut et de cette espérance d’être un jour avec Lui pour l’Eternité. Il est vraiment un Sauveur Parfait et Merveilleux.

Et maintenant, ayant été retiré de la misère et de la boue, j’apporte aux hommes cette Bonne Nouvelle d’un Dieu Vivant et Agissant, parce que je sais quelle est la Seule Solution à leurs problèmes - Source : C.V.A. -Nice

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"Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature" (2 Corinthiens 5/17)
Je rends grâce à Dieu pour son amour envers moi car il m’a cherché et il m’a trouvé.
C'est le 12 février1984 à l'âge de vingt-deux ans que j’ai entendu le message de l'Evangile pour la première fois C'était dans l'église d’Aix-en-Provence. Mon cœur a été bouleversé par la prédication de l'Evangile de Dieu. Depuis ce jour où j’ai
accepte Jésus comme mon Sauveur tout a changé.
Avant ma conversion, et depuis l'âge de 14 ans beaucoup de questions travaillaient mon esprit et ne trouvaient pas de réponses. Ces questions concernaient notamment la mort et l'au-delà. Ces recherches m’ont conduit à lire de nombreux ouvrages de toutes sortes (para-psychologie, sectes orientales, etc.). Ces Livres n'ont pu soulager mes angoisses. Au contraire, ces réflexions m’ont conduit sur un autre chemin, celui de la drogue et du hard-rock. L'illusion et la joie artificielle étaient mon partage et au fond de mon cœur, j'étais malheureux.
Heureusement, "du fond de la détresse, j'ai invoqué l'Éternel et il m'a répondu". Ce qu’aucun ouvrage n'a pu m'apporter, l'Évangile me l'a donné, j’ai trouvé dans l'Évangile la paix profonde, l'espérance de la Vie éternelle. Jésus-Christ m'a libéré de mes vices ainsi que de mes passions. Je peux dire que je connais maintenant le bonheur. le 17 juin 1984 je passais par les eaux du baptême et six mois plus tard j'étais baptisé dans le Saint Esprit.
' A partir de ce moment, un désir intense de partager mon expérience est né dans mon cœur et ne m’a plus jamais quitté.
Je me suis mis à la disposition de mon pasteur pour toutes les taches matérielles de l’assemblée. J’ai reçu l'appel pour servie Dieu à plein temps en janvier 1985 quand Dieu ma parlé au travers de l’écriture et, quelques Jours plus tard, par une prophétie dans l’Église locale. En juillet 88 enfin, j’en ai informé mon pasteur. Pendant ces trois ans et demi, Dieu a travaillé mon cœur en profondeur.
me suis marié en Mai 1990 et nous sommes rentrés dans le service à plein temps. Pour notre premier stage, en juin de la même année. Nous avons servi le Seigneur à Angoulême, puis à Gap et nous sommes actuellement dans l’Assemblée d’Aubagne. Notre vœux le plus cher est qu’un grand nombre de personnes connaissent Jésus comme Sauveur personnel.
A lui soit toute la gloire.   Albert-Basile

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C'est entre 2008 et 2009 qu'a eu lieu ma conversion au Seigneur Jésus-Christ. Je l'ai connu par l'intermédiaire d'un ami, qui vivait à ce moment-là, loin du Seigneur.

 

Ma vie était alors caractérisée par une profonde idolâtrie et un débordement de débauche. Dans mon esprit, se mêlaient de nombreuses croyances, des superstitions, des idées préconçues, sur le Dieu de la Bible et sur ceux que je croyais être ses représentants (l'église romaine).

C'est au cours d'une discussion, où cet ami et moi-même échangions nos points de vue sur nos croyances, que sa façon de parler de Dieu et du Seigneur Jésus m'a touché. J'ai alors eu envie d'en savoir plus sur le Dieu de la Bible, dont cet ami me parlait avec tant d'émotion et qu'il semblait connaître personnellement.

Durant cet échange, mon ami m'incita à mettre Dieu à l'épreuve : puisque je voulais le connaître, Il se révèlerait à moi. Silencieusement, j'ai alors formulé cette prière : « Si tu es le Dieu de la Bible, prouve-moi ton existence, et je lirai la Bible ». Dans le secret de cette prière, j'ai demandé à Dieu comme signe simple et concret, que cet ami avec lequel j'étais en train de discuter prononce le chiffre quatre (que je disais être mon chiffre porte-bonheur) dans sa prochaine phrase. Et Dieu a exaucé cette demande ; car alors que nous parlions de Dieu, et à peine cette requête avait-elle été formulée intérieurement, mon ami a changé de sujet et a entamé une discussion sur les quatre acides aminés qui composent l'ADN.

Il n'en a pas fallu davantage pour me convaincre de lire la Bible. Cet ami m'a d'abord prêté un Nouveau Testament. Partant en vacances peu après, j'ai profité de ce temps libre pour me plonger dans la lecture. C'est avec beaucoup de joie que je me remémore ces moments de découverte de la Parole de Dieu. Mon ami m'avait conseillé de prier Dieu de m'expliquer ce que je ne comprenais pas dans la lecture, et je m'y suis appliqué. Ces vacances ont été un temps béni par Dieu, qui a suscité en moi le désir d'en savoir plus.

Voyant mon intérêt pour la Bible, mon ami m'en a offert une, que je me suis attaché à lire, une fois rentré chez moi. Et pendant environ un an, je l'ai lue régulièrement, en commençant par la Genèse, avec l'objectif de la terminer. Je pensais à tort que Dieu ne voudrait pas de moi avant que j'aie tout lu de sa Parole. Je comprenais beaucoup de choses, en lisant les Écritures, et je voyais nettement ma culpabilité devant Dieu à l'égard de la loi. Pourtant, même si je progressais dans la lecture, je n'avais toujours pas l'impression de connaître Dieu, bien que j'en aie le désir. Un verset, que mon ami avait écrit dans la couverture de ma Bible, m'a été d'un grand secours pour persévérer dans la lecture : « Car tu n'abandonnes pas ceux qui te cherchent, Ô Éternel ».

Je suis incapable, aujourd'hui, de donner la date précise de ma conversion. Je me souviens cependant de deux événements :

- un soir, après une discussion avec cet ami, j'ai été envahi d'un sentiment d'impuissance terrible : je me rendais compte que j'étais perdu, sans qu'il ne me soit rien possible de faire pour me sauver. Je n'arrivais même pas à croire en Christ comme le demandaient les Écritures.

Resté seul, je me suis mis à pleurer, à genoux, et à demander grâce à Dieu, à le supplier de me sauver. Puis j'ai oublié cette soirée.

- Le deuxième événement qui me revient en mémoire est une journée de vacances, durant l'été 2009. Je lisais alors ma Bible dans ma chambre. Mon regard s'est porté sur une annotation que j'avais inscrite en tête du texte biblique au cours d'une précédente lecture :« Ne doute pas, Dieu sait ce qui est bon pour toi ». Je ne m'explique pas ce qui s'est produit à ce moment. Peut-être ai-je compris que je croyais et que j'avais mis ma confiance dans la bonne personne. Cela s'est presque traduit physiquement, comme si un voile m'était ôté de devant les yeux, et qu'une veine se remettait à laisser circuler du sang en moi. J'ai su que j'étais sauvé !

J'ai appelé mon ami pour le lui dire, et il m'a rejoint sur mon lieu de vacances. De grandes discussions ont suivi. Il m'a notamment expliqué le changement radical de vie que cela supposait, la repentance, la séparation du péché... Je vivais à cette époque une relation amoureuse coupable, à laquelle, non sans difficulté mais comprenant les implications de ma conversion, j'ai mis fin le jour même.

Depuis, Dieu n'a eu de cesse de faire dans ma vie une œuvre extraordinaire, avec amour, patience, douceur et bonté. Quittant progressivement mes péchés, j'ai abandonné, avec le puissant secours de Dieu, la débauche et l'idolâtrie qui caractérisaient ma vie, pour consacrer de plus en plus de temps à Sa Parole, ce à quoi je m'applique encore aujourd'hui.

A Dieu seul toute la gloire, par Jésus-Christ ! - Baptiste Passal

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J'avais laissé de côté le Dieu de mon enfance

 

Mes parents m'ont appris à connaître Dieu. Toute petite, j'aimais beaucoup aller à l'Église pour chanter et fréquenter l'école du dimanche où l'on m'enseignait les rudiments de la Bible et qu'il ne fallait pas pécher. Chaque soir, je priais avant de me coucher et je parlais avec le Seigneur dans la journée. J'étais une fillette qui croyait fortement en Dieu. J'étais heureuse car j'étais consciente de la présence de Jésus. Il était mon meilleur ami. Puis est venu le temps où j'ai quitté la maison pour continuer mes études à Paris. J'ai alors été confrontée à des tentations loin de la présence de mes proches. De plus, mes nouvelles amies n'étaient pas comme mes relations d'autrefois. Je me suis surprise à mentir et à rechercher à m'amuser en laissant Dieu de côté. Je m'en éloignais progressivement, en vivant dans la désobéissance, loin de mes premiers principes que je ne respectais plus. Ma relation avec Jésus s'est détériorée.

Surprise

Un certain samedi, alors que j'étais seule devant mon piano à faire des exercices, une pensée m'a traversée : « Ça fait un bout de temps que je ne me suis pas adressée à Dieu. » J'ai donc pris ma Bible en l'ouvrant au hasard. Je suis tombée sur un passage du livre des Psaumes qui m'a fait comprendre que Dieu m'aimait , malgré mes fautes et qu'il pardonnait mes erreurs de parcours. J'ai été émue jusqu'aux larmes car j'ai pris conscience que je m'étais éloignée de Dieu et que je l'avais attristé. À partir de ce moment, mon comportement a amorcé un changement ; je ne suis pas devenue une « gentille fille » mais mon attitude vis-à-vis de Jésus a progressé, heureusement. Je me suis souvenue que maman disait : « Aller vers le mal, le péché, c'est facile, mais pour en sortir et reprendre la voie droite ce n'est pas aussi simple ! »

Vaincue par l'amour

C'est au cour d'un déplacement à Genève que j'ai compris que marcher Jésus demandait un engagement plus important. J'ai alors eu peur de mes craintes et de mes doutes car je me sentais pas prête à prendre les décisions qui s'imposaient. Cette fois c'est un cantique qui m'a permis de saisir combien Dieu m'aimait : il a envoyé son Fils sur terre pour mourir à ma place afin que je sois pardonnée de mes péchés. Je redoutais de vivre la vie chrétienne car elle me semblait difficile, mais le Seigneur m'a fait découvrir qu'il serait présent pour m'accompagner. J'ai alors recommencé à lire les Écritures que j'avais négligées depuis longtemps.

Jésus est maintenant mon guide, je lui parle souvent et je compte sur lui pour ma diriger dans la vie. Je place ma confiance dans ses choix pour moi. Je suis heureuse de lui appartenir. Mon désir est que d'autres trouvent en Jésus la réponse à leurs besoins. (Carole Lao Tac)

Source (Croire et vivre décembre 2016)

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Michelle-Rougier

Il y a 30 ans, ma vie a basculé dans tous les sens.

Après 31 ans de vie sans problèmes, une enfance épanouie, un bon métier, un mariage heureux, sans nuages depuis 12 ans, une aisance financière certaine, et trois beaux enfants, la tempête est venue tout dévaster. En deux mois, soudainement, sans crier gare, j’ai vu mon couple voler en éclat, et je me suis retrouvée devant un énorme «trou ».
C’est à ce moment là que la personne qui, depuis dix ans m’assistait avec amour pour m’aider à tenir ma maison, m’a proposé d’aller voir son pasteur. A ma grande surprise, moi qui la croyais de religion traditionnelle, je me suis rendu compte qu’elle faisait partie d’une église qui m’était absolument inconnue.
Quelques jours avant, j’avais été ébranlée par une émission évangélique captée sur une radio, un matin d’insomnie. C’est à cause de cette émission que j’ai accepté de rencontrer ce pasteur, mais j’étais méfiante et en même temps poussée inexplicablement à aller voir cet inconnu.
Le jour de notre entretien, à son domicile, j’avais décidé de ne pas livrer mes « secrets ». J’ai d’abord été déçue par l’apparence de cet homme. Je m’attendais à un personnage sévère, austère, très sérieux, et j’avais devant moi un homme jovial, détendu, m’accueillant en compagnie de son épouse avec intérêt et affection.
L’entretien a commencé et j’ai, du bout des lèvres, raconté mon histoire. La réponse a été nette, claire : Je ne peux rien pour vous ! Mais…….et cet homme m’a parlé de Jésus, d’un Dieu d’amour, de miséricorde, de guérison, de réconciliation, et qui voulait avant tout mon salut.
Je connaissais le seigneur et je le craignais, mais personne ne m’avait parlé de lui de cette façon.
Lorsque le pasteur m’a invité à prier, j’ai réalisé que je ne savais pas le faire malgré mes nombreuses années de catéchisme. Alors il m’a proposé de prier pour moi, et il m’a invité à bien l’écouter.
Et c’est a ce moment là que ma vie a basculé. Pendant cette prière toute simple, une douce chaleur m’a envahie en commencent par le sommet de ma tête, pour descendre lentement jusqu’à mes pieds.
Je me suis retrouvée, sanglotant, moi la fière, non plus sur mon malheur, mais surmoi, sur ma misère personnelle. Je me suis vue indigne, sale, telle que j’étais devant. Dieu et j’ai eu honte de moi. Ce fut là un merveilleux commencement, et certainement le plus grand, le  plus beau jour de ma vie.
  Je suis sortie de cette maison transformée, sans vraiment me rendre compte de ce qui venait de se passer. Ce chemin pris ce jour là, je ne l’ai jamais quitté malgré les difficultés, les déceptions, les découragements, les défaillances. Le seigneur a toujours été là pour me relever, m’encourager, m’aider, à aller plus loin, plus haut
Il m’a donné la force nécessaire pour faire face à tous les évènements de ma vie, même les plus difficiles, et aujourd’hui mon bonheur c’est de le servir.
Je sais que sa parole est vraie et il dit : « Quand un malheureux crie, l’Éternel l’entend et il le sauve de toutes ses détresses. »
A lui soit toute la gloire. Puissiez vous, l’entendre vous aussi, et l’accepter comme Sauveur et Père.

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Dieu, une découverte très progressive

 

C’est à travers sa femme que Ludovic a appris à connaître Dieu
J’ai eu une enfance très heureuse, entouré de mes parents et de mon frère. Bien que j’ai suivi le parcours, baptême puis communion, je n’avais pas de vie spirituelle et n’en éprouvais pas le besoin.
Il m’arrivait bien cependant de temps à autre de me rendre à l’Église pour des cérémonies, ou pour partager un moment privilégié avec ma tante qui était très pieuse. Je me souviens aussi des vacances chez mes grands-parents maternels où je devais accompagner ma grand-mère à l’Église...
Lorsque j’ai rencontré ma future femme, elle m’a parlé de Dieu, de son Église et de ses frères et sœurs en la foi. Je voulais partager le plus possible de moments avec elle, je l’ai donc accompagnée au culte.
Au fur et à mesure des semaines, j’étais touché par ce que j’entendais et je me surprenais souvent à reparler avec sa famille de l’enseignement que j’avais entendu. Après notre mariage, nous avons fréquenté plusieurs Églises pendant des années, mais sans vraiment en choisir une. Ma vie spirituelle n’allait pas beaucoup au-delà du dimanche matin.
De plus, il nous a été de plus en plus difficile de bénéficier de l’enseignement du dimanche matin avec nos trois jeunes enfants qui s’impatientaient pendant le culte. Nous sommes devenus de moins en moins réguliers.
Dès que les enfants ont atteint l’âge de fréquenter l’école du dimanche, ma femme a voulu revenir régulièrement à l’Église. Nous avons fait alors connaissance avec d’autres familles, certaines nous ont même invités chez elles. Nous nous sentions de mieux en mieux intégrés.
Au fur et à mesure que le temps passait, j’ai eu envie d’en connaître davantage sur Dieu. C’est ainsi que ma femme et moi avons commencé à prier régulièrement dans la semaine.
Dieu a également aussi mis sur mon chemin un frère dans la foi qui partage mon milieu professionnel. Il est aujourd’hui beaucoup plus qu’un simple collègue de travail, car il est un véritable frère qui m’a aidé à grandir spirituellement.
J’ai prié depuis très longtemps, mais ce n’est que depuis environ trois ans, que j’ai pris conscience que Dieu existe vraiment et que j’ai reconnu Jésus comme le Sauveur dont j’avais besoin. Je sais aujourd’hui qu’il est près de moi chaque jour, dans mes joies et dans mes peines. La vie est tellement plus facile à vivre quand on a l’espérance de la vie éternelle en Dieu. (Ludovic).
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Témoignage de Yannis Gauthier

trouvé sur www.connaitreDieu.com

Abandonné par ma mère à l’âge de trois ans, j’ai vécu pendant une année au sein d'une famille d'accueil de la DDASS. Un peu plus tard, mon père, peut-être pris de remords, décida de me récupérer et me présenta à Mireille, sa concubine, avec laquelle il avait déjà deux enfants.
Mon père, noctambule et flambeur, possédait une boutique de prêt-à-porter, commerce plutôt florissant, mais il confondait fâcheusement recettes et bénéfices.

Au cours de soirées arrosées de champagne et nimbées de fumée de cigares, il prodiguait des chèques en blanc, conduite excessive qui eut malheureusement des conséquences terribles sur les finances de la famille.
Pourchassé par ses créanciers, il dut très vite plier bagage et prendre la fuite pour la Côte d'Ivoire en m'abandonnant chez Mireille, tel un souvenir de son infidélité.

Les années qui suivirent se révélèrent très douloureuses pour moi, tant sur le plan moral que physique. Mireille, brisée par l'amertume et la haine vis-à-vis de ce que je représentais, avait pris pour habitude de me battre.

C’est à coups de poing et de paroles destructrices qu’elle me fit comprendre que je n'avais pas ma place au sein de la famille. Ne pouvant me renvoyer à la DDASS, elle fit de moi son esclave, son homme à tout faire. Le plus triste dans tout cela, c’est qu’à mes yeux d'enfant, elle était néanmoins ma mère.
Nous étions pauvres et manquions de tout à la maison : électricité, nourriture, vêtements et les services sociaux devaient régulièrement nous venir en aide.
Faute de moyens, nous habitions dans les banlieues les plus difficiles de la région parisienne et j’ai donc grandi dans un climat de violence permanente que ce soit à la maison ou à l’extérieur.

Au fil des années, je me suis endurci et rebellé contre toute forme d'autorité et cette démarche chaotique me fera connaître la prison dès l'âge de 15 ans.
Les dix années qui suivirent furent pour moi une véritable descente aux enfers au cours de laquelle je vais successivement devenir un dealer, un drogué, un père et pour finir un braqueur. Dans cette déchéance, j'ai échappé par deux fois à la mort, perdu mon frère Frank, sauvagement assassiné dans un restaurant à l'âge de 30 ans.

Ma rencontre avec Manu, une chrétienne qui m'accompagnera dans le dernier chapitre de mon calvaire à l'intérieur de la maison d'arrêt de Bois-d'Arcy où je fus emprisonné pour deux vols à main armée, va modifier ma destinée.

C’est au cours de nos parloirs que, par l’entremise de Manu, Dieu se révèlera à moi. Là, dans cet endroit si sale et inhospitalier, je vais expérimenter Sa grâce et Il va par la suite intervenir de manière miraculeuse dans ma vie.
Après sept mois d’incarcération, je fus libéré provisoirement et, 36 mois plus tard, dans l'obligation de me constituer prisonnier afin d'être jugé par une Cour d'assises.

La peine encourue pour les faits qui m'étaient reprochés était de 20 années et, là encore, Sa grâce n'a pas été vaine envers moi puisque c'est en homme libre que je ressortis du tribunal.

Dès lors, Dieu va bouleverser ma vie, mes projets et me donner la force de renoncer à mon passé, à la drogue, à la violence et à mes anciennes fréquentations.

Il fera naître en moi un vif désir de Le servir et de témoigner de tous Ses bienfaits à mon égard, ce que je vais m’empresser de faire chaque jour et notamment au sein des quartiers sensibles.

Cinq années plus tard, à force de constance, j’ai pu accéder au ministère pastoral, pour le plus grand bonheur de mon épouse Manu et de nos quatre enfants.

À Lui toute la gloire !

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J'ai cherché Dieu, je l'ai trouvé

En France, la plupart des gens ont une religion, qu'ils pratiquent plus ou moins. Pour ce qui me concerne j'ai aussi reçu l'enseignement religieux et, tout enfant déjà, j'ai cru qu'il y avait un Dieu. Je me souviens très bien, j'avais 10 ou 12 ans et je croyais dans mon coeur, qu'il y avait un Dieu Créateur. Si jeune, j'éprouvais beaucoup de joie à admirer la nature, les fleurs, les montagnes, la mer, etc ... Vers l'âge de 14 ans, je n'acceptais pas l'idée, tant enseignée dans nos écoles, d'un homme descendant d'un primate. En mon fort intérieur, j'étais certaine que les êtres humains donnent naissance à des êtres humains, et que les animaux donnent naissance à leurs semblables selon leur espèce.
Par la suite, nous étudiions les guerres de religion, et j'étais affectée par les comportements des hommes religieux. L'idée de Dieu me poursuivait, je me posais beaucoup de questions : la vie, la mort, après la mort ? ? Quand je considérais le ciel .... Les nuages, les couchers ou les levers de soleil, les étoiles, j'étais impressionnée par cette immensité. Quand je pensais à cet infini, à toutes ces galaxies, j'en avais le vertige et je me disais : « alors, on vit, on meurt, notre vie sur terre est de quelques années ... mais après ? ? » « Y a t il finalement un Dieu ou n'y en a t il pas ? Où est le but de la vie ? » J'ai fréquenté l'église officielle jusqu'à mes 20 ans, puis brusquement j'ai tout laissé tomber.
A cette époque-là, mon coeur était assoiffé d'amour .... et je commençais à descendre une pente dangereuse ....Cette descente s'est poursuivie pendant 6 ans, jusqu'au moment où plus rien ne m'intéressait dans la vie.
Pourtant, j'avais de bons parents, qui s'aimaient, qui s'entendaient bien, j'avais aussi un bon travail dans une grande entreprise, mais dans le fond de mon coeur, je n'entrevoyais rien qui puisse combler mon coeur. Même la musique classique que j'aimais beaucoup ne m'apportait plus ce que j'en attendais. C'était des joies éphémères.
De plus, la vie que j'avais menée en 6 ans, ne m'avait laissé que des blessures et des meurtrissures et un dégoût de moi-même difficile à rejeter et à oublier. J'avais au fond de mon coeur une conviction profonde de ne pas faire ce qui est bien. Et souvent, je disais en moi-même : « s'il existe un Dieu, juste, pur et bon, il ne doit pas être d'accord avec mon comportement ». J'avais également une peur terrible de mourir.
Je cherchais la vérité et l'amour auprès de mes semblables et j'étais toujours déçue ...jusqu'au jour où, en dépit de circonstances très défavorables, j'ai été invitée, pour faire plaisir à une parente, à aller écouter la Parole de Dieu. C'était tout simple, dans une salle de réunion, on prêchait l'évangile.
Je ne me souviens plus exactement du thème de la prédication de ce jour-là, mais combien j'ai ressenti la vérité dans les propos du prédicateur. De même, les chants qui étaient interprétés étaient si beaux, et leurs paroles si vraies ! Elles décrivaient si bien les angoisses et les questions du coeur que j'en ressentais beaucoup d'émotion.
A cette toute première réunion, la conviction en mon fort intérieur de l'existence de Dieu était imprimé comme un sceau. A ce moment-là, j'ai réalisé dans mon esprit que j'allais commencer une « aventure » dont je ne mesurais pas encore l'impact ni la portée qu'elle aurait dans ma vie.
Dès la fin de la réunion, je me suis procurée une bible (La Parole de Dieu) pour une somme modique et j'ai commencé à lire dans ce livre. J'avais une grande soif de connaître ce qu'il y était écrit. J'ai commencé par la Genèse et me suis arrêtée dans les premiers chapitres, car je n'y comprenais rien, j'ai alors ouvert le livre de l'Apocalypse, et là j'ai ressenti une grande peur ! Car l'état dans lequel se trouvait mon âme à ce moment-là, m'apparaissait, sans espoir et totalement perdu.
Je posais beaucoup de questions aux fidèles de cette église et on m'a conseillé de lire l'évangile selon Jean pour commencer. J'y découvrais un Dieu plein d'amour, plein de pardon, plein de compassion et les paroles m'allaient droit au coeur.
Je commençais donc une recherche profonde, je lisais cette parole avec beaucoup d'assiduité, j'assistais aux réunions de cette église et j'écoutais avec avidité tout ce que j'entendais. J'étais très vite convaincue que c'était là le chemin, et la vie véritable. Je commençais à comprendre le plan de Dieu. Il avait envoyé son Fils Unique Jésus Christ pour que je puisse être pardonner, rétablie, restaurée et épanouie. Dieu avait tout mis en place pour que sa créature puisse « rencontrer » son Sauveur et .... J’étais une de ces créatures ... et il m'aimait ! Quel bonheur, quelle joie. Par moment lorsque je lisais Sa Parole, j'avais l'impression que Dieu me parlait à moi-même personnellement. C'était extraordinaire ! (Et ça l'est toujours après 25 ans ! !).
Et puis un jour, pleinement consciente et lucide, et désireuse de connaître encore davantage ce Sauveur et ce Seigneur, je décidais d'accepter l'alliance qu'il me promettait et de signer pour ainsi dire le contrat merveilleux qu'il me proposait. C'est donc en pleine connaissance, en ayant pesé le pour et le contre que je « m'engageais » avec Lui ! Dès l'instant où cette décision était prise, il se révélait à mon coeur et une grande joie, une grande assurance et une grande paix pénétraient en moi.
A partir de ce moment-là tout à basculer. J'étais sûre de l'existence de Dieu, j'étais sûre qu'il m'aimait, j'étais sûre que l'alliance qu'il avait contracté avec moi et dont il avait « payé » toutes les clauses, était une alliance inébranlable, solide et certaine.
Cher ami lecteur, chère amie lectrice, je conclurai ce témoignage par quelques versets qui je l'espère vous encouragerons à connaître le Véritable et à le rechercher :

« Car Dieu a tant aimé le monde, qu'il a donné son Fils Unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle » (Jean - Chapitre 3 verset 16
« Jésus lui répondit : Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie, nul ne vient au Père que par moi. » (Jean - Chapitre 14 verset 6.)
« Il n'y de salut en aucun autre, car il n'y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes par lequel nous devions être sauvés »,(et ce nom c'est le nom de Jésus)  (Actes des Apôtres - Chapitre 4 verset 12)
«Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés et je vous donnerai du repos » (Evangile selon Matthieu, chapitre 11 verset 28.)
Que Dieu vous bénisse ! ! (Christine)

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Témoignage d'Emmanuel - 20 ans

J'ai certainement eu la même enfance que beaucoup de personnes nés dans une famille chrétienne : j'allais à l'école du dimanche pendant le culte, puis dans un groupe du temple (l'église) pour les ados.

Je me disais chrétien, que j'aimais Jésus et que je croyais en sa résurrection et qu'il est mort pour mes péchés, mais pour être honnête, je ne faisais que répéter ce que mes parents et l'école du dimanche m'ont toujours dit sans pour autant y croire réellement.

En 2008, je rentre à l'école secondaire. Changement difficile pour moi qui était très sensible et timide. J'ai eu énormément de mal à m'adapter, j'ai dû voir le psychologue de l'école pendant 2-3 mois tellement j'avais des angoisses. Finalement c'est passé.

Deux années ont passées, je me retrouve dans une nouvelle classe, seul, mes amis avaient tous changé d'école, les élèves de ma nouvelle classe ne m'inspiraient rien, et j'avais eu des problèmes avec certains des professeurs les années précédentes, autant vous dire que tout était réuni pour que je passe la pire des années... Très vite, j'ai recommencé à me sentir mal, au point ou je me sentais étouffé, les angoisses me compressaient et ayant déjà vécu ça quelques années auparavant, je savais à quoi m'attendre et je savais aussi que le parcours allait être long et intense, ça n'a pas loupé...

J'ai prié Dieu de m'aider mais rien n'y faisait, au contraire, les angoisses prenaient le dessus. J'entame alors une dépression, je rentrais de l'école, j'allais dans ma chambre m'enfermer pour pleurer, je suppliais ma mère de ne pas m'amener à l'école et de me couvrir auprès mon père...

Les semaines passaient et la dépression empirait, j'en étais à un point ou je ne mangeais plus, ma mère me forçait à manger, même un morceau de pain était trop, je ne sortais plus, ne dormait presque plus de la nuit, je ne faisais que pleurer, je demandais à Dieu de me reprendre, m'endormais avec l'espoir de ne plus me réveiller...
Ma famille pensait que je faisais des caprices pour ne pas aller à l'école, que j'exagérais... Toutes ces choses ont fait que je me suis révolté contre Dieu.

Je n'attendais plus rien de la vie, j'avais perdu tout espoir, et je n'avais que 15 ans... Une nuit, lorsque j'étais seul, j'ai décidé de laisser une chance à Dieu, je me suis mis à genou sur le sol, je l'ai imploré de tout mon cœur jusqu'à me retrouver en larmes. A partir de ce moment, les jours passaient et sans même m'en rendre compte, j'ai recommencé à sourire, mon appétit revenait.
En fait je guérissais, j'ai remercié Dieu car je sentais qu'il m'avait répondu. Cependant, j'ai continué ma vie sans trop me soucier de lui, je voulais juste m'amuser...

Un jour, le temple organise un petit camp pour les ados, je m'y inscris sans m'attendre une seule seconde à ce qui s'y produirait... Pendant un feu de camp, nous étions tous entrain de chanter des louanges, mais je ne me sentais pas à mon aise, je sentais que quelque chose me bloquait. A la fin de la soirée, nous avions pris un temps de prière ensemble, si quelqu'un voulait partager un sujet afin qu'on prie pour lui, il pouvait.. J'ai préféré me taire.

On commence à prier et Dieu m'a parlé à travers la prière d'une amie, il me disait qu'il avait fait le premier pas, et que c'était à mon tour d'avancer et de le suivre. A cet instant précis, il se mit à pleuvoir, de plus en plus fort, tellement fort que nos lits étaient trempés. J'avais l'impression que Dieu se manifestait sur nous, c'était réellement une "pluie de bénédiction" car à partir de ce moment là, je me suis mis à prier, et les mots sortaient d'eux-mêmes, mon cœur battait à une vitesse folle, je me sentais joyeux et fort, et le temps d'une seconde, j'ai compris tout ce que Dieu a fait pour moi dans ma vie, tout l'amour qu'il me portait, j'ai compris pourquoi il a permis cette dépression, et je me suis senti aimé comme jamais. Depuis, j'ai donné ma vie à Dieu et croyez-moi, ça vaut vraiment le coup.

" Jésus-Christ est le même hier, aujourd'hui, et éternellement." (Hébreux 13: 8) La vérité selon laquelle Jésus ne change pas fournit une ancre sûre et solide à notre foi.

Transmis par René Barrois

 

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J'étais égaré et le Seigneur m'a retrouvé

Un texte de Daniel Godry

 

J'étais égaré, perdu, menant une vie sans Dieu et ce, depuis mon départ dans la vie active : je l'avais abandonné.

Plus jeune, j'avais toujours ma Bible, les cultes du dimanche, etc. J'avais donné ma vie à Jésus, je m'étais repenti, puis j'ai laissé cette façon de vivre s'étouffer et elle s'est perdue. Mais dans sa grande bonté, Dieu m'a tendu la main. Dans sa parole, il dit :

Ezéchiel 34 : 16  " Je chercherai celle qui était perdue, je ramènerai celle qui était égarée, je panserai celle qui est blessée, et je fortifierai celle qui est malade. Mais je détruirai celles qui sont grasses et vigoureuses. Je veux les paître avec justice ".

Et c'est ce qu'il a fait avec moi.

Ma Bible était là dans mon armoire. Je la voyais puis j'ai été poussé à l'ouvrir à nouveau. Cette action s'est produite plusieurs fois. J'étais poussé à la prendre en main et à l'ouvrir. Je pense que par cela, Dieu me préparait à mon retour près de son coeur.

Les éléments qu'il a mis en œuvre pour me ramener à lui.

Premièrement, je citerais cette phrase qui résonne encore dans ma tête : « Mais prends-la ta Bible, et ouvre-la ! »

Ensuite, j'ai été poussé à rechercher des vidéos sur Youtube, des vidéos qui parlent de Dieu, de la fin des temps. À la suite d'une vidéo de Irwin Baxter que j'ai été poussé à voir, j'ai eu un appel, un réel appel auquel je ne pouvais résister : notre Seigneur m'a ramené dans son troupeau.

une métamorphose...

Durant ma prière de repentir, il faisait tout gris dehors, le ciel était plombé et soudain, un coin de ciel s'est éclairci et a laissé fuser un rayon de soleil qui est venu se poser sur mon visage. Quand j'ai terminé de prier, le ciel gris est revenu.

Durant ma prière intense, pleine de force, j'ai ressenti des vagues de frissons très doux me caresser le dos jusque ma tête, et cela plusieurs fois, puis quand je suis revenu à mon bureau, j'ai été plongé subitement dans des pleurs très intenses, mais vraiment intenses au point que j'ai dû m'asseoir. Les larmes coulaient sur le visage et je savais de quoi ça venait : Dieu avait pardonné mes péchés et il a déversé sur moi son Saint-Esprit.

Je suis donc revenu dans un moment de prière pour louer le Seigneur. Depuis ce moment, plus rien n'a été pareil : j'étais né de nouveau.

Et ses fruits !

Je suis devenu un assoiffé de la Parole de Dieu depuis ce jour-là, un assoiffé de tout ce qui se rapporte à Dieu, à son fils Jésus, un assoiffé dans la prière.

Cela s'est passé il y a plusieurs mois maintenant et je suis toujours un assoiffé de sa parole. J'ai eu 2 réponses à mes prières concernant ma formation et mon apprentissage avec cette nouvelle vie. Puis, je dois dire que lorsque je prie, c'est souvent de l'adoration, je dis souvent des choses, de belles choses pour adorer Dieu, mais en temps normal il m'est impossible de dire ces choses.

Je suis très assidu à regarder les vidéos de Jocelyne Goma sur la croissance spirituelle. J'ai trouvé votre site EnseigneMoi je ne sais comment !! Je n'avais pas connaissance de ce site. Le Saint-Esprit a guidé ma main sur internet et ça n'a pas traîné. Puis je me suis vite trouvé une église.

Depuis ce jour-là, tout naturellement, tout a changé dans ma vie. Même la musique que j'écoutais, il m'en faut plus. Je n'ai plus besoin de rock, finie la musique du monde ! Ce que je regardais sur internet, les films violents, la guerre, etc, je n'en ai plus besoin. Tout a changé, j'ai fait un nettoyage profond de mes « favoris », je ne fais plus RIEN qui se rapporte à mon ancien "moi". J'ai fait de l'ordre dans mon ordinateur. J'ai jeté pleins de choses qui me souillaient. Tout est purifié, libéré des souillures du corps et de l'esprit. Même la cigarette a disparu de mes habitudes de vie et ce, sans effet de manque.

Dieu ramène ses brebis, il rassemble son armée, il forme ses disciples et ce n'est pas pour rien. Il m'a transformé, moi Daniel à 62 ans et ce que je fais actuellement n'a plus rien à voir avec mon ancien « moi ».

J'ai acheté le livre de Jérémy Sourdril, « L'amour injuste » : trop fort !!! J'étudie aussi un livre de 700 pages d'Antoine Nouis, « Un catéchisme protestant » et le disciple victorieux de mon très cher pasteur Joël Spinks que j'aime beaucoup. Voilà !! J'ai du travail et surtout mon témoignage. Dieu m'a bien fait comprendre ceci : « Dis-le au monde ! ».

Ma vie est entièrement consacrée à Dieu, à Jésus. Lui seul peut nous sauver et nous conduire vers la vie éternelle, car la fin des temps approche.

Toutes mes journées sont désormais vécues pour et avec Dieu. Je ne sais plus rien faire sans lui et je le remercie et le bénis dans la louange, abondamment, tous les jours.

un appel pour toi !

Toi aussi tu peux faire cette magnifique expérience, croire au seigneur Jésus, te repentir, l'accepter dans ta vie et tu seras sauvé.

Actes 16 : 30-31 " il les fit sortir, et dit : Seigneurs, que faut-il que je fasse pour être sauvé ? 31 Paul et Silas répondirent : Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé, toi et ta famille. "

Matthieu 16 : 27 " Car le Fils de l'homme doit venir dans la gloire de son Père, avec ses anges; et alors il rendra à chacun selon ses oeuvres. "

Transmis par René Barrois

 

 

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Témoignage de Nicky Cruz – De gangster à la prédication de l’Evangile

Je passais la plupart du temps dans les rues parce que mes parents recevaient leurs clients à la maison. Ils venaient la nuit et le jour et alors, nous, les enfants, nous devions tous sortir. Mes parents étaient des spirites. Ils mettaient des annonces dans les journaux de langue espagnole en indiquant qu'ils parlaient avec les morts, guérissaient les maladies et faisaient réussir dans le domaine de la fortune et des problèmes de famille. Il n'y avait qu'une pièce à la maison et c'est pourquoi nous étions obligés d'aller dans la rue. Au début, les enfants du quartier me battaient et j'avais peur, tout le temps. Puis j'appris à me battre et ensuite, ce sont eux qui avaient peur de moi et me laissaient tranquille. Au bout d'un certain temps, je préférais la rue à la maison. A la maison, j'étais le plus jeune et je n'étais rien. Mais dans la rue on savait qui j'étais.

UNE BANDE DE GANGSTERS

Un jour, je me joignis à une bande de gangsters, les " Maus-Maus ". Ils voulaient faire de moi leur président, mais dans une bagarre, le président était celui qui devait établir le plan d'action et donner les ordres, tandis que moi je voulais me battre. Ils firent donc de moi leur vice-président J'étais aussi le sergent chargé des armes. Cela signifiait que j'avais la responsabilité de l'arsenal. Nous avions des ceintures de l'armée avec des baïonnettes, des armes blanches et des revolvers. J'appris à manier le couteau de manière à blesser quelqu'un sans le tuer. J'ai ainsi blessé seize personnes et je suis allé douze fois en prison. Parfois, ma photo avait paru dans le journal. Dans la rue, tout le monde me connaissait et les mères, en me voyant, s'empressaient de rappeler leurs enfants auprès d'elles. Les gangs me connaissaient aussi.

Un jour, quand j'attendais le métro, cinq types s'approchèrent de moi par derrière et mirent une ceinture autour de mon cou en serrant. J'aurais dû y rester car, après cela, je n'ai plus jamais pu parler correctement. Il y avait un drôle de bruit dans ma gorge. A partir de ce jour, j'ai nourri de la haine envers tout le monde. Notre gang contrôlait un quartier de New York. Nous avions des vestes rouges sur lesquelles étaient marquées les lettres " MM ".

Un jour, nous étions dans un grand magasin de l'avenue Flatsbush. Six d'entre nous buvaient du soda quand sept membres du gang des " Bishops " entrèrent. Ce gang était en guerre contre les Maus-Maus. Un des membres s'approcha du comptoir comme s'il était chez lui. Mes gars m'observaient. Je m'avançai vers lui et le poussai. Il me poussa à son tour, ce qui déclencha la bataille. La femme du patron du magasin se mit à crier. Tous les clients sortirent en courant dans la rue. Il y avait un couteau de boucher sur le comptoir Un de mes gars le prit et frappa cinq fois à la tête un des jeunes du gang des " Bishops ". En voyant le sang, je me mis à rire. Je savais qu'il était mort. J'étais effrayé et ne cessais de rire. La femme du patron voulut téléphoner à la police, mais un autre de mes gars ramassa le couteau de boucher et la frappa à l'estomac. Puis nous prîmes la fuite.

Je n'avais pas touché le couteau et ne fus par conséquent pas mis en prison. Mais mes parents furent convoqués au tribunal. J'avais l'impression que c'était la première fois qu'ils faisaient réellement attention à moi. Ils décidèrent alors de quitter New York et de retourner dans leurs pays, à Puerto Rico. Mon frère et moi allâmes leur dire au revoir à l'aéroport. Sur le chemin du retour, dans sa voiture, il me donna un pistolet et me dit: " Maintenant tu es ton maître, Nick! ". Il me fallut dès lors chercher un endroit pour dormir. Avec mon pistolet, je menaçai un type et je lui soutirai 10 dollars. Je louai une chambre rue Myrtle. J'étais alors âgé de 16 ans. C'est ainsi que je vécus après cela, volant de l'argent ou quelque chose pour manger. Durant le jour tout allait très bien. J'étais avec le gang. Mais la nuit, c'était terrible. Quand je rentrais dans ma chambre, je pensais aux deux personnes qui avaient été tuées dans le magasin. J'aurais voulu cogner ma tête contre le plancher pour cesser d'y penser. Je m'éveillais en sursaut au milieu de la nuit et j'appelais ma mère.

UNE RENCONTRE INATTENDUE

J 'allais avoir 18 ans, en Juillet 1958. Ce mois- là, le gang des Dragons tua l'un de nos gars. Nous nous rendions au métro pour nous venger et attraper l'un d'eux. C'était la loi du gang: si un des Maus-Maus meurt, un Dragon doit mourir. Nous descendions vers la station du métro, rue Edward, quand nous aperçûmes un car de police arrêté et tout un groupe du gang des Chaplains à proximité. Nous avions un pacte avec eux, à savoir que nous ne nous combattrions pas et qu'en cas de conflit avec un autre groupe, nous nous unirions. Les Chaplains se tenaient autour de deux types que je n'avais jamais vus. L'un deux avait un clairon. Alors quelqu'un apporta le drapeau américain et le car de police s'éloigna. Tout cela voulait dire que les deux types allaient tenir une réunion de plein air. L'un d'eux monta sur une chaise, ouvrit un livre et lut:

"Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique afin que QUICONQUE CROIT EN LUI ne périsse point mais qu'il ait la vie éternelle.

"Maintenant, dit le prédicateur, je vais vous parler du mot QUICONQUE.

QUICONQUE signifie les Noirs et les Porto-Ricains, et tout particulièrement les membres du gang. Savez vous que lorsqu'ils ont crucifié Jésus, ils ont crucifié avec Lui deux membres du gang de chaque côté?" J'en ai assez" dis-je. Venez les gars, nous avons du travail. Aucun d'eux ne bougea.

C'était la première fois qu'ils ne me suivaient pas. Alors, je commençai à avoir peur .J'injuriai le prédicateur des noms orduriers que je connaissais. Il ne fit pas attention à moi et continua à parler un long moment.

UN CHEF DE GANG TOMBE A GENOUX

La seconde chose qui se produisit, c'est que le président du gang des Chaplains tomba à genoux, là, dans la rue Edward, et se mit à pleurer. Le vice-président et les deux chefs de bataille tombèrent à côté de lui et pleurèrent aussi. Une chose que je ne pouvais supporter : voir pleurer. Alors le prédicateur vint vers Israël, le président des Maus-Maus, et lui serra la main. Je me figurais qu'il essayait de nous avoir et je le poussai. Israël me dévisagea comme s'il ne m'avait jamais vu. A ce moment, le prédicateur me regarda en face et me dit

" Nicky, je t'aime ".

Personne dans ma vie ne m'avait jamais dit cela. Je ne savais que faire. Approche-toi de moi, prédicateur, lui dis-je, et je te tuerai ". Et j'en avais l'intention. Malgré ces paroles de menace, Israël et le prédicateur continuèrent à échanger quelques mots et enfin, il s'en alla. Je pensais que c'était fini. Seulement, nous n'allâmes jamais combattre le gang des Dragons.

UNE RÉUNION POUR GANGS

Plus tard, le prédicateur revint nous inviter à une grande réunion organisée pour les gangs au centre de New York, à Manhattan. Je n'avais pas l'intention d'y aller, mais le prédicateur envoya un bus pour nous prendre et, arrivés à la salle, nous fûmes surpris d'y voir trois rangées de chaises qui nous étaient réservées. Une dame jouait du piano. Une fillette se mit à chanter un solo. Je la sifflai. C'était ma façon à moi de faire et je trouvais cela bien. Ensuite, le prédicateur annonça la collecte et dit: " Nous allons demander à des membres des gangs de la faire. Puis-je avoir six volontaires? ". En une seconde, j'étais debout. Je désignai cinq de mes gars. je pensais ainsi pouvoir ridiculiser le prédicateur. Il demanda d'abord la bénédiction. J'essayai de ne pas rire. Après l'offrande, j'aurais pu, par une porte dérobée, m'enfuir avec l'argent, mais le prédicateur me faisait confiance et cela ne m'était jamais arrivé. Alors mes gars furent surpris de me voir monter sur l'estrade, lui remettre l'offrande. Jamais on n'avait vu un auditoire faire silence aussi vite!.

Puis le prédicateur se mit à parler du Saint- Esprit, disant qu'il pouvait entrer dans les gens et les rendre purs. Il ajoutait que, quoi que nous ayons fait, le Saint-Esprit pouvait nous faire naître de nouveau. Soudain je me pris à désirer cela intensément. C'était comme si je me voyais pour la première fois. Toute la noirceur de mon âme, la haine, la folie, passaient comme un film devant mes yeux. " Vous pouvez devenir quelqu'un d'autre, dit-il. Votre vie peut être changée " Je le désirais, j'en avais besoin, mais je ne croyais pas que cela pouvait m'arriver. Le prédicateur nous invita à venir devant l'estrade si nous voulions être changés, mais je croyais qu'il n'y avait rien à faire pour moi. Alors Israël nous dit de nous lever tous. "Je suis le Président, dit-il, et tout ce gang va se lever !". J'étais le premier de la rangée.

Je m'agenouillai et je prononçai la première prière de ma vie : "Cher Seigneur, je suis le plus grand pécheur de New York. Je ne crois pas que tu me veuilles à toi. Mais si tu me veux, je me donne à toi. Aussi mauvais que j'ai été dans le passé aussi bon je veux devenir pour Jésus".

JE SUIS TRANSFORMÉ

Puis le prédicateur me donna une Bible. Rentré chez moi, je me demandais si le Saint-Esprit était réellement en moi, et comment je le saurais. Et ce qui se passa en premier quand je fus dans ma chambre, c'est que je n'avais plus cette peur. Je sentis comme une compagnie, comme si ma mère était revenue. J'avais quatre paquets de cigarettes, je les déchirai et je les jetai par la fenêtre. Le lendemain, tout le monde était étonné. Le bruit avait couru que Nicky était converti. Une chose aussi se passa et qui me fit voir que c'était vrai. Les petits enfants s'enfuyaient toujours quand ils me voyaient, mais ce jour-là, deux d'entre eux me dévisagèrent et vinrent sans hésitation vers moi. Je les entourai de mes bras parce que je savais que je n'étais plus le même. Quelques semaines plus tard, un gars du gang des Dragons vint vers moi et dit: " C'est vrai que tu ne portes plus d'armes? ". Je lui dis que c'était vrai. Alors il tira un couteau de 25 centimètres et le pointa vers ma poitrine. Je levai la main et le couteau s'y planta. Puis le gars s'enfuit. Je restai là, regardant le sang couler de ma main. Je me rappelai comment le sang me rendait fou, mais ce jour-là, il ne le fit pas. Des paroles que j'avais lues dans ma Bible se présentèrent à mon esprit: " LE SANG DE JÉSUS-CHRIST NOUS PURIFIE DE TOUT PÉCHÉ ". Je déchirai ma chemise et entourai ma main de ce pansement. A partir de ce jour-là le sang ne me tourmenta plus. Je commençai à témoigner à mes camarades ma joie et d'annoncer l'Amour du Christ aux jeunes égarés dans leurs péchés. J'étais devenu une nouvelle créature.

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Témoignage d'une vie transformée

Je voudrais partager ce que fut ma vie, jusqu'au moment ou j'ai enfin trouvé la vérité.

J'ai eu une enfance brisée dans un foyer déchiré, une mère battue, j'étais frappé.

Début d'un vie dans «les couloirs de l'ENFER».

Après des années de souffrance je me souviendrai toujours de ce jour ou dans un moment de violente colère mon père m'a attrapé par les cheveux il m'a soulevé du sol et m'a violemment jeté comme un vulgaire chiffon, les larmes ne cessaient de couler sur mon visage, j'étais terrorisé et en même temps habité d'une haine inexplicable, j'ai eu le nez cassé, je ne pouvais plus poser ma tête sur l'oreiller tellement j'avais mal.

Ce jour là, j'ai dit à mon père en le regardant dans les yeux et pourtant tout tremblant «papa, écoute moi bien, je te jure que quand l'aurai 18 ans et que je serai majeur je reviendrai et je te tuerai.

Cette parole dite ce jour-là n'a cessé d'habiter mon esprit, les années ont passées et rien n'a changé les scènes de violences se répétaient, il a fallu que ma mère parte loin avec ses trois enfants mais nous avons vécu à ce moment là dans une grande misère, et bien souvent nous n'avions rien à manger.

Dans cette période difficile je disais souvent à ma mère «un jour je deviendrais quelqu'un d'important».

Très tôt j'ai quitté pour travailler, j'ai vécu une rapide montée vers la gloire et une réussite financière et professionnelle exceptionnelle, mais mon cercle d'amis est alors devenu le monde de la drogue, de la prostitution de l'homosexualité.

J'ai rapidement connu une chute vertigineuse, l'empire que je m'étais construit en quelques années s'est écroulé et je me suis retrouvé dépouillé de tout, et ruiné. J'ai alors voulu mettre fin à mes jours.

C'est à ce moment-là que j'ai pris conscience de ma misère du péché qui régnait dans ma vie, j'ai alors crié à Dieu afin d'être secouru. Dans les mois qui ont suivi j'ai connu un reconstruction exceptionnelle de ma vie.

Dieu a reconstruit ma vie qui était en ruine. «Car Dieu a tant aimé le monde qu'il adonné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle.» (Jean 3: 16).

En 2008, lors d'un voyage en France je suis allé voir mon père que j'avais souvenez-vous, menacé de tuer, alors que je n'avais que 7 ans, quand je l'ai vu, au lieu de mettre à exécution cette terrible sentence, je l'ai pris dans mes bras, je l'ai embrassé, je lui ai pardonné complètement, aujourd'hui nous échangeons de nos nouvelles et je n'ai plus de haine, plus de colère contre lui, au contraire je l'aime malgré les souvenirs de douleur qui restent dans mes pensées.

Dieu seul peut opérer de tel changement !

J'aimerai vous offrir gratuitement le livre de mon témoignage, vous pouvez le télécharger sur : https://pdf.lu/17F6

Bonne lecture et à vous maintenant de vivre une expérience merveilleuse.

William Theron

williantheron@croisseulement.com

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"Je rends gloire à Dieu pour son Fils Jésus qui m'a touchée le samedi 29 avril 2000 à la convention Compassion à Paris. Je m'étais rendue à la réunion avec des problèmes de vue terribles. Tout était trouble devant moi car je venais d'être opérée d'un oeil, il y avait à peine 9 jours, et l'autre oeil avait subi la même opération voici plus de 4 mois.

Une intervention très douloureuse car j'avais un ptérygion sur chaque oeil, c'est-à-dire de la chair qui avait poussé sur la cornée et qu'il fallait impérativement enlever. La veille de cette réunion, je ne pouvais pas ouvrir l'oeil opéré pendant toute une partie de la journée. Ce jour-là, une parole de connaissance fut donnée par notre soeur Dorothée de la part du Seigneur pour son peuple. Cette bénédiction concernait particulièrement ceux qui souffraient des yeux et même ceux qui avaient été opérés.

Cette parole me concernait donc. J'ai dit : Merci Seigneur. Ce matin-là, j'avais crié au Seigneur, lui demandant son aide et au moment où cette parole a été donnée pour tous ceux qui avaient des problèmes de vue, j'ai fait agir ma foi en passant le doigt sur ma paupière et sous ma paupière, chose qu'il m'était impossible de faire auparavant, tellement je souffrais.

Mais Gloire à Dieu ! Toute douleur avait disparu, plus de trouble du tout dans cet oeil fraîchement opéré, plus aucune douleur, plus de fatigue oculaire non plus ! Alléluia ! J'ai donc passé cette journée sans difficulté et servi le Seigneur sans problème. En rentrant à la maison, mon mari a lui aussi constaté la guérison. Il n'en croyait pas ses yeux !

Une semaine après cet attouchement du Seigneur, j'ai revu mon ophtalmologue pour un contrôle postopératoire et il s'avère que la guérison de mon oeil est spectaculaire. Le docteur n'en revenait pas : il m'a déclaré que de toute sa vie d'ophtalmologue, il n'avait jamais vu cela. Il s'empressa alors d'appeler quatre de ses confrères pour constater la guérison.

Chacun d'entre eux m'a examinée avec ses appareils et tous ont déclaré à l'unanimité qu'ils n'avaient jamais vu une telle chose de leur vie ! Les cinq médecins étaient là, stupéfaits, et se disaient les uns aux autres : c'est incroyable ! Le docteur traitant m'a ensuite déclaré que mon oeil était parfait, totalement guéri et que je n'avais plus besoin de venir le consulter. Et je peux ajouter maintenant que je vois même mieux de cet oeil-là que de l'autre. Alléluia ! Gloire au Seigneur!

Josette Montabord (Paris)

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Je croyais en Dieu mais maintenant je connais Dieu

Ma mère s'est mise à parler de « son ami » Jésus et est devenue joyeuse. J'étais très intriguée... et maintenant, je ne suis plus la même moi aussi !

Bonjour !

Je me présente : je m'appelle Audrey. Je fais des études en arts. J'ai grandi dans une famille catholique plutôt pratiquante ; nous allions à la messe assez souvent et si on m'avais demandé à l'époque si je croyais en Dieu il est certain que la réponse aurait été « oui ». Mais je croyais en un Dieu inaccessible ; je priais plus par habitude que par conviction et me contentais souvent de réciter des prières toutes faites. Je ne lisais pas la Bible et ne savais pas qui est le Saint-Esprit. Ce que je peux dire c'est que pendant 17 ans j'ai « cru » en Dieu et que maintenant je « connais » Dieu.

Comment cela s'est passé ?

Lorsque j'avais douze ans, ma mère a fait une démarche de rencontre personnelle avec Jésus-Christ. Elle a donné sa vie à Jésus. Et brusquement je l'ai vue changer. J'avais l'impression de ne plus avoir la même maman : elle était devenue calme, joyeuse ; elle ne voulait plus mentir ni critiquer les gens et surtout elle parlait de Jésus comme d'un ami, ce qu'elle n'avait jamais fait auparavant.

Pendant des années, j'ai eu du mal à supporter le fait qu'elle parle constamment de Dieu, mais au fond, j'étais très intriguée par ce changement. Finalement, c'est à 17 ans, lors d'une rencontre avec des jeunes chrétiens que j'ai commencé à m'intéresser à Dieu. Il y avait quelque chose dans les autres jeunes que je n'avais pas et j'ai voulu savoir quoi. Cela a été très progressif ; c'était un choix mûrement réfléchi. En fait, sans vouloir me l'avouer, j'avais peur du changement.

Pourtant, lors d'un autre rassemblement chrétien, je me suis enfin avancée pour que l'on prie pour moi. J'ai aussitôt ressenti une réelle présence m'inonder, comme une chaleur qui m'enveloppait. Sans comprendre pourquoi, je me suis mise à sangloter. C'était un moment intense, mais le plus extraordinaire c'est que depuis ce jour je ne suis plus la même, moi aussi !

Je ne vois plus le monde avec les mêmes yeux ; je ressens un amour pour pour les autres que je ne ressentais pas avant ! Je souffre quand je me surprends à juger, à mentir, à tricher... J'ai besoin d'être en relation avec Jésus, besoin de prier, de lire la Bible. Dès que je dois prendre une décision importante, je me tourne vers Dieu et je reçois de lui une réelle confiance en l'avenir.

Dieu a transformé ma vie ! 

Par Audrey

« Si quelqu'un est en christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles » (2 Corinthiens 5 : 17).

Ceux qui acceptent Jésus-Christ par la foi deviennes de nouvelles créatures. Des personnes transformées à l'image de Dieu en menant une vie sainte (Éphésiens 4 : 24), participant à sa gloire (Colossiens 3 : 10) avec une connaissance renouvelée (Romains 12 : 2).

René Barrois

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Témoignage de Sylvie et Luc Bandesapt

    Un nouveau départ !

    A 30 ans, j’avais tout pour être heureuse, j’étais mère au foyer, j’avais un mari qui subvenait à mes besoins, deux beaux enfants, une grande et belle maison, pas de souci d’argent. En somme le rêve.
    Du jour au lendemain tout a basculé, mon mari m’a quittée et a demandé le divorce. Il fallait tout vendre, mon univers s’est écroulé.

    La révolte, la haine, l’amertume se sont installées dans mon cœur. Mes garçons alors âgés de 2 et 4 ans voyaient en moi une maman triste, qui pleurait sans cesse et impatiente à leur égard.

    J’ai trouvé du travail le soir en tant que serveuse pour pouvoir m’occuper de mes enfants la journée. Nous étions tous les trois perturbés par tant de changements. Mais un jour, par l’intermédiaire d’une amie, le désarroi et le désespoir aidant, j’ai découvert qu’il existait autre chose… JESUS est mort sur la croix pour mes péchés et mes problèmes. J’ai crié à lui en demandant de me donner la force de tenir ferme et reformer ma famille désunie.

    Trois mois se sont écoulés et mon mari est revenu, nous sommes allés ensemble à la Mission du Plein Évangile à Mulhouse, et là, nous avons découvert la vérité, le Seigneur s’est révélé à nous, en dévoilant toute notre vie.
    Après cela, mon mari devait régler certains détails avec la personne pour laquelle il m’avait quittée. Mais le doute s’installant en lui quant à la réalité de ce qu’il avait vécu à la Mission, il s’est convaincu qu’il était victime d’un coup monté. Il prit donc la décision de me quitter définitivement. Néanmoins il m’a suggéré de m’accompagner une dernière fois à cette Mission.

    C’était un mardi soir, vingt minutes après le début des louanges, le Seigneur toucha et marqua profondément le cœur de mon mari.

    Depuis 1993, nous formons une famille unie, mon mari a énormément changé, il a enfin trouvé cette paix intérieure que seul DIEU peut donner. Une nouvelle vie a commencé pour nous, comme de Seigneur nous l’avait promis. Mon mari m’aime plus que jamais il ne m’a aimée, et le comble de tout, c’est que je n’ai plus aucune rancune, le Seigneur a rempli mon cœur d’amour et de pardon.

    Merci Seigneur Jésus pour ton immense bonté et ta paix qui envahit chaque jour notre vie.

 

    Gloire à ton Saint Nom.

Mission du plein Évangile de Mulhouse

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Ne crains rien car je te rachète. Je t'appelle par ton nom : tu es à moi. »

     Élevée dans un foyer chrétien, près de Vannes, j'ai toujours su que Dieu existait, et admis ce qu'enseigne Sa parole. Et je n'ai jamais envisagé de prendre une voie différente de celle de mes parents, chrétiens engagés.

     Mais je n'ai pas toujours été conséquente.

     Enfant, je ne voyais pas la nécessité de me tourner personnellement vers le Seigneur. Je me disais que j'aurais bien le temps de m'occuper de cela plus tard. J'étais pourtant très angoissée. L'idée qu'il pouvait revenir à tout moment, enlever avec lui ma famille et me laisser seule, me poursuivait.

     Avec l'adolescence, mon malaise a augmenté, parce que je me savais responsable devant Dieu de ce que je faisais de ma vie.

     J'avais alors des élans vers lui, lors de retraites spirituelles au Centre missionnaire de Carhaix, ou seule dans ma chambre ; et vers l'âge de 14 ans, je cherchais vraiment à le rencontrer. Je voulais avoir enfin la paix dans mon cœur. Dans ces moments, je criais à Dieu, je me repentais de mes péchés. Je ne savais pas comment je pourrais un jour être certaine de mon salut, et je ne voyais pas comment le Seigneur pouvait me parler. Il me semblait qu'une expérience extraordinaire, de grandes émotions, constituaient la conversion. Rien de cela ne m'arrivait, et je pensais qu'il me manquait quelque chose pour affirmer que j'étais sauvée. J'ai réalisé plus tard combien j'avais manqué de foi pour m'emparer des promesses que Dieu donne dans sa Parole, puisque quiconque croit en lui a la vie éternelle. Je suis restée plusieurs mois dans cet état où j'étais bien souvent désespérée.

     « Avance en eau profonde...»

     C'est à cette époque que ma sœur a été hospitalisée pour une opération très lourde au cerveau. Le Seigneur a tout conduit, et j'ai réalisé à ce    moment qu'il est proche de ses enfants, et qu'il les garde.

     J'ai remis ma vie entre ses mains, abandonnant mes propres pensées. C'est dans la suite du temps que je me suis rendu compte que je n'avais plus de craintes à propos de ma destinée éternelle. J'aimais beaucoup ce verset de la Bible : « Ne crains rien car je te rachète. Je t'appelle par ton nom : tu es à moi. » (Esaïe 43 : 1). Je le lisais comme une parole que Dieu m'adressait personnellement.

     J'ai été baptisée par immersion en mars 2004.

     Dans les années suivantes, l'adversaire est venu de nombreuses fois m'accuser pour des fautes qui avaient été pardonnées, réglées. Il m'a fallu apprendre à ne pas me laisser accabler, mais à me confier en Dieu. Je m'appuyais souvent sur ce verset : « Si notre cœur nous condamne, Dieu est plus grand que notre cœur et il connaît tout. » (1 Jean 3 : 20).

     En juillet 2010, lors de la retraite spirituelle pour jeunes gens et jeunes filles à « l'Ermitage » du Centre missionnaire, le Seigneur m'a baptisée dans le Saint-esprit. Depuis plusieurs années, je voulais obtenir cette grâce de Dieu, et les temps de retraite spirituelle, notamment au cours de veillées, étaient des moments propices à cette recherche. Mais j'ai été lente à appliquer cette parole du Seigneur : « Avance en eau profonde. » (Luc 5 : 4) Lors de moments de prière, quand j'entendais des frères et sœurs parler en d'autres langues, remplis du Saint-Esprit, je me sentais vide et malheureuse. Je me disais souvent : « je ne ressens rien », et je craignais que le Seigneur ne puisse rien faire pour moi. J'étais un peu prisonnière de ma perception humaine des choses, attendant d'éprouver une émotion particulière. Cet été-là, j'ai cherché particulièrement à me tenir dans la présence de Dieu. Et, naturellement, alors que je priais seule un après-midi dans la chapelle de « l'Ermitage », j'ai commencé à parler en d'autres langues... J'ai réalisé très peu de temps plus tard que depuis longtemps le Seigneur attendait qu'enfin j'avance par la foi vers lui.

     « Au moment du choix... »

     J'ai également appris à apporter mes questions au Seigneur pour avoir des réponses, au lieu de me les poser à moi-même. J'avais au début de ma marche avec le Dieu une connaissance très théorique de la direction divine, et j'avais du mail à voir comment le Seigneur allait pouvoir me conduire dans des domaines aussi pratiques et précis que les études, le mariage, le service de Dieu.

     Au moment du choix pour les études supérieures, je pensais depuis quelques années devenir enseignante. Je cherchais la volonté du Seigneur dans la prière, et j'étais paisible à cette idées. J'ai donc suivi trois années de licence à l'université, pour pouvoir entrer à l'Institut universitaire de formations des maîtres.

     Au cours de l'année scolaire 209-2010, j'ai effectué à l' IUFM l'année de préparation au concours de professeur des écoles. J'avais parfois quelques interrogations, me demandant si je n'aurait pas dû poursuivre les études de droit que j'avais commencées à l'université. Mais je me confiais en Dieu, lui demandant, non de me faire réussir le concours, mais d'ouvrir ou fermer la porte selon sa volonté. Il a ouvert la porte de telle façon que je sais que c'est lui qui m'a donné le concours (1). Je suis depuis la rentrée de septembre professeur des écoles.

     Au début de l'été 2006, un très jeune homme m'a fait savoir qu'il pensait que nous devions cheminer ensemble vers le mariage. Il avait la certitude, dans la prière, que je serais sa femme, alors qu'il me connaissait à peine et avant même d'éprouver encore aucun sentiment.

      Je m'étais bien gardée auparavant, de chercher avec qui je pourrais me marier. Je craignais trop de faire des erreurs. Je croyais fermement qu'une personne m'était destinée, et je préférais laisser le Seigneur le soin de me conduire vers elle.

     J'ai été surprise, mais tout de suite, j'ai senti que c'était ce que je voulais. Mais Je cherchais avant tout à être dans le plan de Dieu. Pendant plusieurs mois, j'ai prié pour que le Seigneur m'éclaire et me conduise.

     Un autre aspect auquel j'ai réfléchi pendant ce temps a été le service de Dieu. Je savais que ce jeune homme s'était engagé dans la communauté missionnaire de Carhaix, et je pensais que marcher ensemble vers le mariage impliquait un engagement commun pour servir le Seigneur. Je ne pouvais donc pas donner une réponse sans avoir envisagé cet aspect de la vie chrétienne. Depuis longtemps, je pensais que ma place serait de servir Dieu dans le cadre de la vie communautaire, comme mes parents. Je m'étais levée pour suivre le Christ, je voulais que ma vie soit à son service. Mais j'avais besoin de la certitude de l'appel de Dieu à partager la vocation de l'équipe missionnaire.

     Le Seigneur m'a conduite simplement et paisiblement.

     Les certitudes, les sentiments, la paix et la joie ont grandi dans mon cœur au fil des mois. Au bout d'environ six mois, j'ai réalisé que je n'avais pas besoin d'attendre plus longtemps. J'étais incapable de dire comment j'étais arrivée à cette certitude. Simplement, je savais. Et je savais que cela venait de Dieu. Autrement j'aurai connu la crainte au lieu de cette paix que je ressentais. Nous sommes aujourd'hui mariés, et c'est un sujet d'immense reconnaissance envers notre Père Céleste que d'avoir pu commencer notre marche ensemble si jeunes. Et aussi d'avoir été appelés par le Seigneur à le Servir parmi les frères et sœurs de la communauté missionnaire.

J.K. (Extrait du journal Femme Chrétienne )

(1) note de la rédaction : elle a été reçue 1ère sur l'ensemble de la Bretagne.

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Témoignages de Miracles

Un texte de Jean-François Waltrowski


Jésus accomplit toujours des guérisons ! Jean-François est utilisé par Dieu pour les manifester !

En voyage professionnel à Lausanne, j'avais un rendez-vous d'affaires avec un futur client suisse. Pour cette affaire, j'avais choisi un hôtel de renommée internationale, situé au bord du lac Léman. Ce jour-là, et exceptionnellement, j'avais proposé à Joséphine mon épouse de venir avec moi.
Lors du repas, et en pleine discussion d'affaires, Joséphine coupe net la conversation et dit à mon client « Monsieur, vous avez quelque chose de très important à nous dire ! »
J'étais catastrophé. Toute ma stratégie commerciale fut mise à plat en un seul instant et je me suis dit : « Plus jamais je n'emmènerai ma femme avec moi ! » Mais voilà que mon client nous répond en affichant un sourire satisfait : « Oui ! J'ai quelque chose d'important à vous dire. » De 12 h 30 à 17 h 00 il nous a témoigné comment Jésus avait changé sa vie en le guérissant d'une très grave maladie. Cet homme nous a encouragé à lire, dans  la Bible le Nouveau Testament.

De retour chez nous à Cannes, je commençai à lire les Évangiles. Sans comprendre ce qui m'arrivait, je pleurais et me reconnaissais pécheur et éloigné de Dieu.

En même temps, je ressentais sa présence remplie d'amour qui me consolait et me  disait : « Je suis Dieu et je t'aime tant. Suis-moi ! » Après cela, je décidai de lire toute la Bible.  Je dévorais chaque jour la Parole de Dieu. Je voulais connaître tout ce qu'elle disait pour pouvoir le communiquer aux autres...

Un mois plus tard, Joséphine et moi étions invités à une réunion du FGBMFI  des chrétiens témoins dans le monde – à Brignoles. Ce soir-là, nous avons pris conscience que Jésus nous appelait à faire une rencontre avec lui et à nous déterminer pour lui. Le lendemain, nous étions sûrs d'avoir trouvé la vérité, et nous nous sentions comme naissant à une nouvelle vie.

Jésus touche notre famille

En fait, j'étais un homme très prétentieux ne cherchant qu'une seule chose : gagner beaucoup d'argent ! Et peu m'importait la méthode. En plus de cela, je ne m'intéressais pas du tout aux personnes qui m'entouraient. Au contraire, imbu de ma personne, j'étais plutôt du genre à marcher sur les pieds de tous.
Deux mois plus tard, nous décidâmes de passer quelques jours en Alsace pour témoigner  à nos familles respectives. En arrivant à Mulhouse, nous avons parlé tout simplement de ce qui nous était arrivé. Tous furent étonnés du changement radical dans mon comportement et de ma façon de voir les choses de la vie. Ils ont également ressenti une très forte présence qui m'accompagnait et une grande paix qu'ils ne connaissaient pas.

Ce fut tout d'abord à l'un de mes beaux-frères et son épouse que nous avons partagé tout cela. Ils crurent et acceptèrent Jésus comme leur Seigneur sur le- champ. Quelques jours plus tard, tous mes autres beaux-frères et leurs épouses ainsi que leurs enfants acceptèrent Jésus comme leur Sauveur et Seigneur, après que nous ayons lu ensemble la confession de foi des chrétiens. Ce même soir, immédiatement après cette lecture collective, ils se sont mis à parler en d'autres langues ( voir la promesse de Jésus en Marc 16: 17). Mon épouse et moi étions très surpris de ce qui se passait, il nous semblait lire l'histoire de la famille de Corneille dans la Bible (Actes 10: 24 et suivants). C'est aussi ce qui arriva aux vingt premières personnes à qui nous avons parlé de Jésus.

Dieu s'est aussi occupé de ma maman qui a été renversée par une voiture, alors qu'elle était dans sa soixante-dixième année. Elle était à l'hôpital, découragée et clouée dans un fauteuil roulant avec des fractures au poignet et au tibia. Je lui ai parlé de Jésus, elle a cru et lui a donné sa vie. J'ai prié pour sa guérison et elle retrouva tout de suite le moral. Deux mois plus tard elle quittait l'hôpital entièrement rétablie.

Dieu accomplit toujours des miracles !

Quatre mois après ma rencontre avec Jésus-Christ, au mois d'avril 1990, en lisant l'Évangile de Marc 16: 17 « Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru : en mon nom, ils chasseront les démons; ils parleront de nouvelles langues; »

Je fus saisi par une conviction très forte de la réalité de cette parole, avec le désir de prier rapidement pour un malade. Ce même jour, nous avions décidé d'aller à la plage de Cannes. Voici que, en voiture et descendant le boulevard Carnot qui nous conduit à la mer, j'ai dû m'arrêter pour laisser passer un piéton qui marchait recourbé à 45°. Joséphine émue de compassion s'est mise à pleurer, et je pensais de nouveau au passage que j'avais lu, le matin-même. Alors je fus poussé à prier pour cet homme. Mais il n'y avait pas de place pour stationner la voiture. J'ai continué mon chemin pour aller chercher un ami qui nous attendait, et je suis retourné en ville pour retrouver cet homme.

Je l'ai revu un peu plus loin, il n'avait pu marcher que quelques centaines de mètres. Nous sommes allés vers lui, et je lui ai demandé s'il acceptait que je prie pour lui. Avec son accord, je posai mes mains sur son dos. Joséphine fit de même. Puis nous avons commencé à prier pour demander au Seigneur de le guérir. II ne se passait rien. J'étais très perturbé dans mes pensées qui me disaient de « laisser tomber ». Mais en même temps j'avais une si forte conviction que je ne pouvais m'arrêter là. Je me disais qu'il était impossible que Jésus promette quelque chose et qu'il ne le fasse pas ! Nous avions toujours nos mains posées sur le dos de cet homme recourbé, lorsqu'une voix intérieure me dit très  clairement :

« Donne-lui l'ordre de se redresser ! ». C'est ce que je fis, et à ma grande stupéfaction, cet homme se redressa tout doucement. Nous pleurions tous de joie avec lui, et Joséphine lui disait de remercier Jésus. Cet homme marchait droit, les bras au ciel en remerciant Jésus. L'ami que nous avions amené avec nous pensait que cet homme avait depuis peu un problème de lumbago et il lui demanda depuis combien de temps il était ainsi courbé. L'homme lui répondit : « Je suis courbé depuis 25 ans et personne n'a rien pu faire pour moi ». Quel jour de gloire pour notre Seigneur !

Depuis ce jour, nous avons vu beaucoup de miracles et de guérisons. Nous servons Dieu tout simplement, en annonçant qu'il est vivant pour tous, comme nous l'avons constaté pour nous-mêmes. Aujourd'hui, nous avons trois enfants et nous pourrions écrire un livre sur tout ce que Dieu a fait de concret pour nous, pour nos enfants et tous ceux que Dieu nous a permis de rencontrer. Si les gens du monde entier pouvaient entendre le message de l'Evangile et se décider pour Jésus, alors le monde changerait.

Ce qui nous réjouit, mon épouse et moi, c'est de constater chaque jour et à chaque instant, que Dieu n'a pas changé et qu'il agit toujours aujourd'hui comme il agissait au commencement. Nous voyons régulièrement son action concrète qui aide beaucoup de gens et cela nous stimule toujours pour continuer à parler de lui autour de nous, comme au travers de ce témoignage. Dieu s'est révélé à nous par la personne de Jésus. II nous a permis de faire une démarche de foi en faisant une prière qui est sortie de notre coeur en confessant qu'il est notre Sauveur, et nous l'avons accepté comme tel.

Comme je vous l'exposais au début, nous qui nous reconnaissions pécheurs et éloignés de Dieu, aujourd'hui nous avons la certitude que le pardon de nos péchés nous a été accordé. Aussi notre relation avec Dieu notre Père a-t-elle été pleinement rétablie, selon son dessein de toute éternité pour chacun. Nous nous sommes attendus à être touchés par lui. Alors, nous avons vécu une expérience extraordinaire en nous approchant de lui. Et sa présence est pour nous réelle. Ses promesses sont pour vous, amis lecteurs, ne soyez plus incrédules... 

Jean-François a maintenant 54 ans et Joséphine 50 ans .
Leur témoignage se situe début 1990. Ils ont trois enfants : Lucas, 22 ans ; Sara, 17 ans, et Emmanuelle 10 ans