Mai 2021

30/04/2021 11:04

Plan de lecture quotidienne :

1 Chroniques 5-6  Luc 9 : 18-36

L’importance de bien commencer, mais aussi de bien finir notre vie chrétienne 

 

Transmis par René Barrois le 31/05

 

 

Les temps de plus en plus difficiles que nous vivons nous poussent périodiquement à réexaminer nos voies et à faire un bilan de notre vie. L’apôtre Paul, nous exhorte dans son épitre au Philippiens en ces termes :

 

« Prenez donc garde de vous conduire avec circonspection, non comme des insensés, mais comme des sages ; rachetez le temps, car les jours sont mauvais. C’est pourquoi, ne soyez pas inconsidérés, mais comprenez quelle est la volonté du Seigneur » (Ephésiens 5 : 15-17).

Le Seigneur revient bientôt et il ne faut pas que nous soyons confus à son apparition. Il n’est pas seulement indispensable de bien commencer notre vie chrétienne ; mais encore faut-il arriver en vainqueur au terme de notre vie terrestre ; encore faut-il glorifier notre grand Sauveur à la fin de notre pèlerinage ici-bas.

 

Le Seigneur notre Dieu proclame :

« Je suis l’Alpha et l’Oméga, le Seigneur Dieu, Celui qui est, qui était et qui vient, le Tout-Puissant » (Apocalypse 1 : 8)

Notre Dieu en parfait exemple, est l’Alpha et l’Oméga, le commencement et la fin. Il n’est pas seulement intéressé par un bon commencement dans notre vie chrétienne, mais aussi par une bonne fin, et cela quel que soit l’âge auquel il nous rappellera auprès de lui.

Comprenons l’importance de bien terminer notre vie chrétienne !

Pour parvenir à une fin de vie chrétienne victorieuse et qui glorifie le Seigneur, il est important de garder nos priorités à leur place, de ne pas gaspiller notre temps, et cela même en fin de vie pour les plus âgés. Le Seigneur veut que nous vivions en personnes sages, non comme des insensés, comme le dit le verset ci-dessus.

 

Et le psalmiste ajoute :

« Enseigne-nous à bien compter nos jours, afin que nous appliquions notre cœur à la sagesse » (Psaume 90 : 12).

Réalisons que le compte à rebours a commencé le jour de notre naissance, et que la fin de notre vie peut intervenir à n’importe quel moment. Que cette pensée nous conduise à avoir plus de sagesse quant à la gestion de notre vie.

Efforçons-nous à utiliser constructivement tous ces temps d’attente qui jalonnent notre vie, comme par exemple celui d’un temps de maladie, ou dans une salle d’attente en vue d’un rendez-vous, ou encore en d’autres occasions où il s’agit de patienter. Pourquoi n’utiliserions-nous pas ce temps qui pourrait être si propice pour lire une portion des Ecritures, mémoriser un verset ou encore prier en faveur d’une personne que le Seigneur mettra sur notre cœur, au lieu d’attendre que ce moment un peu désagréable passe.

En procédant de la sorte, nos périodes d’attente ne seraient plus des temps d’incertitude et d’indécision qui nous laissent souvent si anxieux et frustrés. Il serait tellement préférable que chacun de nous saisissent les occasions que Dieu lui donne pour prier, plutôt que de s’énerver et de perdre patience au sujet des obstacles qui viennent entraver sa route.

Avant que la mort n’arrive, chacun de nous est appelé à bien remplir les tâches que Dieu lui a confiées. Le Seigneur désire que la fin de l’œuvre qu’il nous a donnée à faire soit fructueuse et conforme à ses désirs. S’il est vital de bien commencer, il est encore plus important de bien finir. La vie de notre Seigneur, si intéressante et si riche, n’est-elle pas notre parfait exemple, et combien glorieuse est sa fin !

Dieu a la même vision pour chacune de nos vies ; il a préparé une fin victorieuse pour chaque chrétien. C’est la raison pour laquelle il est si important de ranimer en nous la flamme et la détermination d’accomplir la pensée de Dieu dans chaque domaine de notre existence. N’est-ce pas là le plus profond désir de chacun d’entre nous d’être capable un jour d’entrer dans ce ciel de gloire triomphant et non pas tout juste sauvé, comme au travers du feu !

Bien commencer notre vie chrétienne est capital, mais bien la terminer est encore plus important ! Dans le livre de l’Apocalypse il est précisé que seul ceux qui sont fidèles jusqu’à la fin hériterons d’une couronne et d’un nom nouveau. Ce seront les vainqueurs, ceux qui finiront leur vie glorieusement, qui recevront des mains du Seigneur la récompense promise.

Appliquons-nous, courageusement, à bien terminer notre vie et, par la foi, entrevoyons le Seigneur Jésus nous dire :

« C’est bien bon et fidèle serviteur, tu as été fidèle en peu de chose, je te confirai beaucoup entre dans la joie de ton Maître » (Matthieu 25 : 21).

Combien, il est indispensable non seulement de recevoir notre salut, mais encore de travailler à notre salut, et cela jusqu’à la fin. Nous nous efforcerons alors d’autant plus à nous placer sérieusement devant le Seigneur avant de prendre des décisions importantes pour notre vie. Si nous voulons parvenir à une fin glorieuse, il nous faut lui demeurer attachés et loyaux dans tout ce que nous faisons.

 

Appliquons-nous quotidiennement à rester fidèles au Seigneur

Notre attention de chaque jour doit se concentrer à ne pas attrister, voir renier le Seigneur, mais à rester attachés à sa Parole. Rester fidèle veut dire observer ses commandements, appliquer sa Parole dans notre vie et nous efforcer à garder un cœur pur devant lui. David, un homme selon le cœur de Dieu, priait et demandait au Seigneur de l’aider à garder un cœur pur, de l’aider aussi à avoir un esprit bien disposé.

Garder notre cœur pur dans ce monde impur doit-être notre priorité. Ce n’est pas toujours facile, c’est pourquoi les Ecritures nous exhortent à nous y appliquer, à user de vigilance et à veiller sur notre salut quotidiennement. C’est aussi la raison pour laquelle elles nous exhortent à de nombreuses reprises, à nous nourrir spirituellement chaque jour en prenant le temps de lire la Parole de Dieu. Le verset si connu : « l’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu » ne nous démontre-t-il pas l’importance de ne pas négliger notre âme ? Prenons du temps pour nous nourrir de cette précieuse Parole divine. C’est fondamental, car tant de choses dans notre environnement nous incitent à nous laisser glisser dans le sens contraire.

Dans Proverbes 20 : 11 il nous est dit que déjà dans la vie d’un enfant on peut entrevoir, au travers de ses actions, ce qu’il va devenir :

« L’enfant laisse déjà voir par ses actions, si sa conduite sera pure et droite. »

Notre conduite, nos négligences, notre attitude et ce que nous faisons de nos journées révèlent déjà comment nous allons terminer nos jours. Si nous ne nous ressaisissons pas et ne veillons pas sur notre cœur, si nous ne nous efforçons pas à marcher dans la sanctification et si nous ne recherchons pas à marcher de progrès en progrès dans les voies du Seigneur, nous déterminons déjà maintenant la fin de notre vie qui, sans aucun doute, ne pourra être victorieuse.

Si nous considérons notre tâche quotidienne comme un éternel petit « train-train », nous risquons bien un jour de tomber dans la dépression et de perdre notre joie. Notre esprit négatif pourrait alors finir par contaminer notre entourage. Rappelons nous sans cesse que, chaque jour, le Seigneur voudrait faire de nouvelles choses en nous et au travers de nous, et qu’il nous appelle à accomplir les tâches qu’il nous a confiées avec joie, comme pour lui !

Chaque chrétien a en lui le potentiel nécessaire pour bien terminer sa vie

Le Seigneur a mis en chacun de nous la capacité de finir sa vie en le glorifiant. Mais si nous nous relâchons en chemin, l’espérance de bien finir notre vie s’estompera.

Du départ jusqu’à l’arrivée, notre chemin peut-être long. Mais si nous gardons une attention soutenue vers ce but à atteindre, celui d’honorer le Seigneur jusqu’à notre mort, cela nous aidera à veiller sur nos paroles, à faire de bons choix, à ne pas faiblir ou nous décourager. Ne comptons pas sur nos propres forces ou notre sagesse pour y parvenir, mais appuyons-nous sur celles de notre Seigneur qui a bien dit que ce n’est ni par la force, ni par puissance que nous y parviendrons, mais que c’est par l’Esprit de Dieu en nous.

C’est seulement notre foi en Lui qui nous conduira vers une fin de vie victorieuse et qui nous permettra d’honorer le nom de notre Sauveur jusqu’à la fin. Ne cherchons pas à vivre ou à penser comme tout le monde, et surtout ne perdons pas de vue le but suprême à atteindre : glorifier notre Maître et notre Roi au travers de toute notre vie, peu importe le prix que nous aurons à payer, et cela jusqu’à notre départ de ce monde pour la patrie céleste.

Nous avons commencé avec Jésus et nous voulons finir avec lui. Qu’il soit le premier et le dernier dans notre existence et que rien d’autre ne compte plus pour nous, c’est ainsi que nous pourrons entrer avec joie en Sa Présence, lorsque l’heure de notre départ vers lui aura sonné. - Dorothée Hatzakortzian

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Plan de lecture quotidienne :

1 Chroniques 3- 4  Luc 9 : 1-17

Quel évangile faut-il prêcher aujourd’hui ?

 

Transmis par René Barrois le 30/05

 

L’Évangile de Jésus-Christ-le vrai Évangile, celui que les apôtres ont prêché dans toute sa force, son absolu- peut-il l’être encor aujourd’hui dans cet Occident déchristianisé du 21ème siècle ?

Peut-on toujours « prêcher Christ crucifié » pour le salut des hommes, selon les mots de l’apôtre Paul ? …

A entendre certains prédicateurs, ce n’est guère plus possible : l’idée d’un sacrifice, d’une mort sur la croix, du Fils de Dieu donnant sa vie pour que les hommes puissent être sauvés, est devenue inconcevable pour nos contemporains.

Plus même, en ces temps de relativisme, les notions de faute, de culpabilité, de péché, de jugement éternel, de repentance, de salut deviennent incompatibles avec l’esprit du siècle.

C’est donc l’Évangile même, le cœur de son message, qui doit être « adapté » à l’époque pour être audible - dit-on – c’est-à-dire, qui doit être raboté, re-travaillé, transformé...

Un évangéliste connu faisait remarquer voici déjà bien des années que les réalités du jugement, de la condamnation éternelle et de l’enfer, avaient presque disparu des prédications d’évangélisation...alors que 13% des 1870 versets des Évangiles rapportant les paroles du Christ ont trait à ces mêmes réalités !

Comment annoncer le salut et la grâce s’il n’y a pas de condamnation, le pardon s’il n’y a ni faute, ni péché... ?

Peu à peu, l’on prêche ainsi un évangile dénaturé, « aseptisé », rendu « politiquement et socialement correct » compatible avec les philosophies et les mœurs de notre époque.

Mais le monde à l’époque des apôtres était-il donc davantage prêt à entendre et à croire l’Évangile que ne l’est le nôtre ?

Certes non ! Un, éminent professeur d’histoire du Nouveau Testament écrivait récemment : « Si pour évangéliser, il avait fallu inventer un mythe ou créer une saga qui puisse être reçue et crue au sein des sociétés du premier siècle, ce n’est certainement pas la manière employée par les premiers chrétiens qui aurait été bonne (…) Il aurait été absurde de bâtir l’histoire d’un homme crucifié et ressuscité pour être le Sauveur du monde...»

N’est-ce pas précisément ce qui dit l’apôtre Paul du message de l’Évangile : « Nous prêchons Christ crucifié, scandale pour les Juifs et folie pour les païens...» (1 Corinthiens 1 : 23).

Le véritable Évangile n’a jamais plu à la nature pécheresse de l’homme irrégénéré ! Pas plus hier qu’aujourd’hui. Mais ce vrai Évangile a de tout temps transformé les vies de ceux qui – quelle qu’ait été leur culture - ont cru en son message éternel.

Avec l’apôtre Paul disons donc nous aussi, par nos paroles et notre vie : « Je n’ai voulu connaître parmi autre chose que Jésus-Christ et Jésus-Christ crucifié »

Et nous pourrons aussi proclamer en esprit et en vérité : « Je n’ai pas honte de l’Évangile,il est puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit. » - Samuel Charles

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Plan de lecture quotidienne :

1 Chroniques 1-2  Luc 8 : 40-56

Comme un petit enfant

 

Transmis par René Barrois le 29/05

 

Un jour, Jésus se réjouit dans son esprit et dit : « Je te loue, ô Père, Seigneur du ciel et de la terre, parce que tu as caché ces choses aux sages et aux intelligents, et que tu les as révélées aux petits enfants. » (Luc 10 : 21)

 

De quelles choses Jésus parlait-il ? De tout ce qui concerne Dieu et son royaume qu’aucun homme ne peut saisir par sa sagesse ou son intelligence. Dieu ne les révèle qu’à ceux qui les reçoivent par la foi, humblement, comme un petit enfant croit simplement ce que son père lui dit, à la différence que, si les parents peuvent faire erreur ou même mentir, Dieu n’est pas un homme pour mentir (Deutéronome 23 : 19), sa parole est la vérité (Jean 17 : 17)

L’homme cherche toujours à comprendre. Il raisonne, il fait appel à des démonstrations, des recherches, il tente d’expliquer l’inexplicable. Bien des recherches, depuis des millénaires, ont été faites par des savants sur l’apparition des mondes, l’origine de l’homme, l’origine de la vie, etc. et aucune n’a pu conclure à une certitude. Tandis que la Bible nous dit que « par la foi, nous comprenons que les mondes ont été créés par la parole de Dieu » (Hébreux 11 : 3)

 

« Par la foi, nous comprenons... » et non par la sagesse ou l’intelligence qui cherche à démontrer ou à expliquer.

Il en est de même pour le royaume de Dieu. S’il fallait être sage et intelligent pour entrer dans royaume de Dieu, beaucoup malheureusement ne pourraient pas être sauvés. Celui qui, quelque soit son degré d’intelligence,  croit comme un petit enfant croyant ce qu’on lui dit sans raisonner, et qui reçoit Jésus pour son Sauveur reçoit aussi la révélation des pensées de Dieu que les raisonneurs ne peuvent pas comprendre. Elles sont « cachées aux sages et aux intelligents »

Un autre jour, alors que les disciples reprenaient les gens qui lui apportaient les enfants, Jésus dit : « Laissez venir à moi les petits enfants, et ne les en empêchez pas ; car le royaume de Dieu est à ceux qui sont comme eux. En vérité, je vous dis : Quiconque ne recevra pas le royaume de Dieu comme un petit enfant n’y entrera pas. » (Luc 18 : 15 à 17)

De même encore, alors quand les disciples lui demandaient qui serait le plus grand dans le royaume des cieux, Jésus appela auprès de lui un petit enfant, le plaça au milieu d’eux et dit : « En vérité, je vous le déclare : Si vous ne vous convertissez pas et ne devenez pas comme les petits enfants, vous n’entrerez pas dans le royaume des cieux. » (Matthieu 18 : 1-3)

 

Deux conditions sont nécessaires pour entrer dans le royaume des cieux :

« Repentez-vous et croyez à l’Evangile » (Marc 1 : 15)

 

1) La repentance : C’est une réelle humiliation devant la révélation du péché. Elle conduit le pécheur à porter sur son état de péché et sur les fautes commises le même jugement que Dieu (Petit Dictionnaire Biblique)

 

2) La foi : C’est croire comme un petit enfant, humblement et sans douter, ce que Dieu nous dit par sa Parole. « La foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend par la Parole de Dieu » (Romains 10 : 17)

La première des béatitudes que Jésus prononça sur la montagne est : « Bienheureux les pauvres en esprit, car c’est à eux qu’est le royaume des cieux. » (Matthieu 5 : 3)

(Note des traducteurs : les pauvres en esprit, c’est-à-dire ceux qui ont un esprit d’humilité, qui ne font pas valoir leur intelligence pour discuter ce que Dieu dit.)

 

Terminons avec le verset cité à la fin du message précédent :

« Quiconque s’élève sera abaissé, et quiconque s’abaisse sera élevé » (Luc 14 : 11 ; 18 :14)

Quiconque s’élève (quiconque veut faire valoir sa sagesse ou son intelligence) sera abaissé et quiconque s’abaisse (en recevant humblement, comme un petit enfant, la parole de Dieu) sera élevé (dans le ciel, la maison du Père, la gloire éternelle).

 

« L’orgueil d’un homme l’abaisse, mais celui qui est humble d’esprit obtient la gloire » (Proverbes 29 : 23)

 

« Confie-toi de tout ton cœur à l’Éternel, et ne t’appuie pas sur ton intelligence ; dans toutes tes voies connais-le, et il dirigera tes sentiers. »  (Proverbes 3 : 5-6) - La Vérité Sûre

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Plan de lecture quotidienne :

2 Rois 23-25  Luc 8 : 22-39

La foi, c’est la victoire

 

Transmis par René Barrois le 28/05

 

« Prenez, en toutes circonstances, le bouclier de la foi, avec lequel vous pourrez éteindre tous les traits enflammés du Malin. » (Éphésiens 6: 16).

 

Rappelez-vous que Dieu notre Père désire intensément que nous ayons toute la pleine manifestation de sa puissance de sorte que nous n’ayons besoin de rien d’autre que de son Fils. Nous avons une Rédemption parfaite. Nous avons toute la puissance de la justice. Nous devons comprendre que nous pouvons connaître toute la puissance divine, détrônant le pouvoir de l’ennemi.

Si vous êtes affligés de quelque manière que ce soit, ne pensez pas un seul instant que le diable vous en veut. Non, ce n’est pas à vous qu’il en veut. Le diable n’a rien contre vous. Il est contre le Christ vivant et il veut le détruire. Si vous êtes rempli du Christ vivant, le diable tient à vous mettre hors course, détruisant ainsi la puissance de Christ.

 

Dites ceci : « Maintenant, Seigneur, veille sur cette propriété qui t’appartient.» Alors le diable restera à l’écart.

 

Quand s’approche-t-il ? Quand vous détrônez Christ, c’est-à-dire quand vous ne le laissez pas occuper la place qu’il mérite à la direction de votre vie, de votre cœur, de tout votre être, alors l’adversaire prend le pied sur vous. Je prêche la foi, et je sais qu’elle vous soutient si vous osez croire. Vous serez fort si vous croyez. La foi, c’est la victoire. Toujours ! Gloire à Jésus !

 

Prière du jour : Seigneur Jésus par la foi je proclame ta victoire sur la daible. Amen. - Smith Wigglesworth

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Plan de lecture quotidienne :

2 Rois 20-22  Luc 8 : 1-21

Faire sonner les cloches

 

Transmis par René Barrois le : 27/05

 

« Il n’y a de salut en aucun autre (que Jésus) ; car il n’y a pas non plus sous le ciel d’autre nom qui soit donné parmi les hommes, par lequel il nous faut être sauvés. » (Actes 4 : 12)

 

Une dame me dit un jour : « Je fais suffisamment de choses en m’occupant des autres pour que Dieu reconnaisse mon mérite ». Elle ajoute : « Et même, je sonne les cloches ! » Activité peu ordinaire, qui rappelle à qui veut l’entendre qu’un office religieux est célébré.

Lorsque la Bible, qui est la Parole de Dieu, est ouverte, que nous dit-elle, quel est son message ? Elle nous parle de Jésus Christ, le seul moyen de salut : ce n’est pas ce que nous faisons qui nous donne droit au salut, il est donné gratuitement par Dieu à celui qui croit au Seigneur Jésus. Les « bonnes oeuvres » ne viennent qu’ensuite, elles sont le fruit de notre gratitude, qui nous donne envie de servir Dieu : « Par mes oeuvres, je te montrerai ma foi » (Jacques 2 : 18).

Pourquoi nos oeuvres ne peuvent-elles pas suffire à nous ouvrir les portes du ciel ? Parce que tout ce que nous faisons, même avec les meilleures intentions du monde, est entaché de péché. Celui-ci est entré dans l’homme quand le premier d’entre eux, Adam, a choisi de désobéir à Dieu. Le péché contamine désormais nos actes, nos paroles, nos pensées. Pour que nous puissions accéder à Dieu, il fallait effacer ce péché en le jugeant. C’est pourquoi Dieu a envoyé son Fils, Jésus, prendre nos fautes sur lui à la croix, et mourir à notre place. « Il n’y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont dans le Christ Jésus » (Romains 8. :1).

Croire au Seigneur Jésus est ce qui sauve. Sonner les cloches n’y contribue pas ! - La Bonne Semence

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Plan de lecture quotidienne :

2 Rois 18-19  Luc 7: 36-50

Serviteurs recherchés.

 

Transmis par René Barrois le 26/05


« Allez-vous-en à ma vigne, et je vous donnerai ce qui sera raisonnable. » (Matthieu 20: 4)

 


Oui, même pour des personnes âgées et fatiguées, il y a encore de l'ouvrage dans la vigne de Christ. Bien que la onzième heure sonne, il veut encore nous employer. Quelle grâce ! Certes, tout vieillard devrait sauter de joie à cet appel. Quand les hommes sont avancés en âge, personne ne les prend à gage. Ils vont se présenter de boutique en boutique et de ferme en ferme ; les patrons secouent la tête à la vue de leurs cheveux blancs. Mais Jésus accepte les vieillards et leur donne de bons gages. Voyez sa bonté ! Fais, Seigneur, que tous les hommes âgés entrent sans délai à ton service.

Mais Dieu donnera-t-il un salaire à ceux qui sont usés par les ans ? N'en doutez pas. Il dit qu'il vous donnera ce qui est juste, si vous travaillez dans son champ. Vous recevrez la grâce ici-bas et la gloire là-haut. Il vous donnera aide et joie présentes et repos à venir ; « force qui durera autant que vos jours, » et vision glorieuse à l'heure de votre mort. Tout cela, Jésus l'accordera abondamment à quiconque entre à son service, dans ses dernières, aussi bien que dans ses jeunes années.

J'annoncerai cette grâce à tout non-converti, homme ou femme déjà vieux, priant le Seigneur de les bénir pour l'amour de Jésus, Puis je serai attentif à en découvrir, afin de leur faire connaître la bonne nouvelle. - C.H. Spurgeon

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Plan de lecture quotidienne :

2 Rois 16-17  Luc 7 : 1-35

Votre espérance en Dieu est-elle sur le point de s'évanouir ?

 

Transmis par René Barrois le 25/05/21


« Tu garderas dans une paix parfaite celui qui appuie sa pensée sur Toi ; car il se confie en Toi. » (Ésaïe 26 : 3).

 

Votre pensée s'appuie-t-elle sur Dieu ? ou est-elle en train de périr de déchéance, ce qui aboutit fatalement, chez un chrétien, à la banqueroute ? Si votre pensée ne s'est jamais attachée à Dieu, commencez tout de suite. N'attendez pas que Dieu vienne vous chercher ; mais détournez vos regards de vos idoles, et regardez à Dieu, pour être sauvé. Notre pensée, notre imagination, c'est le plus grand don que Dieu nous ait fait ; c'est à Lui par conséquent que nous devons la consacrer. Si vous avez su faire prisonnière chacune de vos pensées, pour qu'elle obéisse au Christ, cela sera pour votre foi une garantie de premier ordre quand l'épreuve sera là, parce que votre foi et l'Esprit de Dieu seront à l'unisson. Apprenez à n'avoir que des pensées dignes de Dieu devant tous les grands phénomènes de la nature, et votre imagination, au lieu d'être l'esclave de vos impulsions charnelles, sera toujours au service de Dieu.

 

"Nous avons péché comme nos pères... et nous avons oublié." Alors plantez un stylet à l'endroit où vous vous êtes endormi. — "Dieu, dites-vous, ne me parle pas en ce moment." C'est votre faute. Rappelez-vous que vous appartenez à Dieu. Pensez à tout ce qu'il a déjà fait pour vous, et votre amour pour Lui grandira sans mesure. Votre imagination ne sera plus stérile, mais agile et féconde, et votre espérance deviendra éblouissante.- Oswald Chambers

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Plan de lecture quotidienne :

2 Rois 13-15  Luc 6 : 17-49

 

La puissance du Saint-Esprit

 

Transmis par René Barrois le 24/05

 

« afin que, selon les richesses de sa gloire, il vous donne d'être fortifies en puissance par son Esprit, quant à l'homme intérieur » (Éphésiens 3 : 16 Darby)

 

L'histoire de l'Église naissante commence véritablement le jour de la Pentecôte. À l'état embryonnaire jusque-là, elle trouva sa véritable dimension par l'effusion du Saint-Esprit. Dès lors, elle devint plus que jamais vivante, puissante et conquérante. Il faut reconnaître que c'est à partir du moment où l'Église négligea le ministère de la personne de l'Esprit qu'elle perdit sa force spirituelle pour devenir une institution religieuse marquée par le formalisme.

En revanche, par sa remise en valeur, de nombreuses communautés chrétiennes ont redécouvert une vitalité spirituelle favorisant une piété intense enrichie d'une compréhension beaucoup plus claire des textes bibliques qu'auparavant. Dans Éphésiens 5 : 18, la pensée de l'apôtre peut être rendue comme suit : « Soyez continuellement en train d'être rempli de l'Esprit ». Est-ce là notre préoccupation quotidienne ? Y veillons-nous suffisamment ? La vie moderne nous accapare de tout coté. Le diable, voyant son heure approcher s'acharne à combattre les chrétiens, multipliant épreuves et tentations. Le « moi » charnel résiste à la présence du Seigneur dans nos vies. Le monde poursuit son harcèlement des masses par la diffusion d'images et de slogans visant à mimer le désir de sainteté. Face à de tels faits, pouvons-nous considérer la vie de l'Esprit comme quelque chose de facultatif ? Gardons-nous d'une telle pensée dont l'issue serait de retomber dans les oeuvres de la chair (Galates 3 : 3).

Permettons au Seigneur, dès cet instant, de nous renouveler par un puissant baptême du Saint-Esprit : « Qu'il nous donne, selon la richesse de sa gloire d'être puissamment fortifiés par son Esprit dans l'homme intérieur » (Éphésiens 3 : 16). - Daniel Bodolec

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Plan de lecture quotidienne :

2 Rois 10-12  Luc 6 : 1-16

 

Manifestation de la plénitude du Saint-Esprit

 

Transmis par René Barrois le 23/05

 

« Ne vous enivrez pas de vin : c’est de la débauche. Soyez, au contraire, remplis de l’Esprit. » (Éphésiens 5 : 18).

 

La manifestation de la plénitude de l’Esprit est double :

Premièrement  : une vie de sainteté

Deuxièmement  : une vie de puissance spirituelle

 

Nous avons tous des caractères différents et l’expression de notre façon de se comporter diffère de l’un à l’autre. La plénitude du Saint-Esprit dépend de la réaction des croyants face à la grâce qui leur est accordée. Par exemple, deux hommes qui viennent juste d’être sauvés après un tremblement de terre. L’un pleure tranquillement, sa voix tremble avec émotion, l’autre rit et frappe des mains.

En dépit de la différence des tempéraments, la manifestation de la plénitude est identique : sainteté et puissance. Par l’Esprit qui habite en nous, nous reflétons le portrait de Seigneur Jésus (Galates 5 : 22-23). Nous remarquons que le fruit de l’Esprit est le contraire des œuvres de la chair.

À l’opposé des œuvres de la chair qui représentent la nature humaine et ses désirs corrompus. Le fruit de l’Esprit se manifeste dans la vie des croyants pour anéantir la puissance du péché et particulièrement les oeuvres de la chair.

Le fruit de l’esprit est :

L’amour  : est de prendre soin des autres et rechercher ce qu’il y a de meilleur pour eux sans vouloir retirer quoi que que ce soit pour soi-même.

La joie : est le chant de l’amour

La paix : est le repos de l’amour

La patience : est la persévérance de l’amour

La bonté : est la compassion de l’amour

La bénignité : est le caractère de l’amour

La foi : est la confiance de l’amour

La douceur : est la confiance de l’amour

La tempérance : est la sobriété de l’amour.

 

La plénitude de l’Esprit se manifeste dans la vie du chrétien par :

une disposition de dévouement

une vie aimante

un esprit rayonnant qui supporte tout

un tempérament gai

une intelligence paisible

une assistance pleine de courtoisie

une loyauté qui inspire la confiance dans toutes circonstances

une humilité qui s’oublie soi-même...

Quel magnifique tableau qui nous révèle la vie de Christ en nous ! Cette plénitude du Saint-Esprit est préparée pour tous le croyants et il nous est commandé de vivre cette manifestation quotidiennement.

Cette manifestation de puissance est accordée uniquement si nous obéissons à la voix de l’Esprit, soumis à la Parole de Dieu et que nous acceptons le ministère que l’Esprit a choisi pour nous.

Le Saint-Esprit ne cesse de déverser son onction sur les croyants si tant est que ces derniers entretiennent une foi vivante en Jésus-Christ « Celui qui nous accorde l’Esprit, et qui opère des miracles parmi vous, le fait-il donc par les œuvre de la loi, ou par la prédication de la foi ? » (Galates 3 : 5). La manifestation de l’Esprit ne peut qu’entraîner l’accomplissement de toutes sortes de miracles, de prodiges et de signes pour la gloire de Dieu. - René Barrois

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Plan de lecture quotidienne :

2 Rois 8-9  Luc 5 : 17-39

La Pentecôte

 

Transmis par René Barrois le 22/05

 

« 1) Le jour de la Pentecôte, ils étaient tous ensemble dans le même lieu.

2) Tout à coup il vint du ciel un bruit comme celui d'un vent impétueux, et il remplit toute la maison où ils étaient assis.

3) Des langues, semblables à des langues de feu, leur apparurent, séparées les unes des autres, et se posèrent sur chacun d'eux.

4) Et ils furent tous remplis du Saint-Esprit, et se mirent à parler en d'autres langues, selon que l'Esprit leur donnait de s'exprimer.

5) Or, il y avait en séjour à Jérusalem des Juifs, hommes pieux, de toutes les nations qui sont sous le ciel.

6) Au bruit qui eut lieu, la multitude accourut, et elle fut confondue parce que chacun les entendait parler dans sa propre langue.

7) Ils étaient tous dans l'étonnement et la surprise, et ils se disaient les uns aux autres : Voici, ces gens qui parlent ne sont-ils pas tous Galiléens?

8) Et comment les entendons-nous dans notre propre langue à chacun, dans notre langue maternelle?

9) Parthes, Mèdes, Elamites, ceux qui habitent la Mésopotamie, la Judée, la Cappadoce, le Pont, l'Asie,

10) la Phrygie, la Pamphylie, l'Egypte, le territoire de la Libye voisine de Cyrène, et ceux qui sont venus de Rome, Juifs et prosélytes,

11) Crétois et Arabes, comment les entendons-nous parler dans nos langues des merveilles de Dieu?

12) Ils étaient tous dans l'étonnement, et, ne sachant que penser, ils se disaient les uns aux autres: Que veut dire ceci ?

13) Mais d'autres se moquaient, et disaient: Ils sont pleins de vin doux. » (Actes 2 : 1-13).

 

La Pentecôte (qui veut dire en grec « 50ième jour») est une fête chrétienne qui a lieu cinquante jours après Pâques, et dix jours après l’Ascension.

Elle a été instituée pour commémorer un événement particulier, marquant le début de l’Eglise chrétienne, peu de temps après la mort et la résurrection de Jésus-Christ. Cet événement est la venue dans les croyants, de l’Esprit de Dieu (ou Saint Esprit), pour leur communiquer la présence et l’amour de Dieu.

 

Histoire

A Jérusalem, plusieurs jours après la mort de Jésus, une centaine de disciples du Christ assistent à la fête juive des Semaines, qui démarre 50 jours après Pâques. Ils sont assemblés en un même lieu quand soudain, des langues de feu se posent au dessus d’eux, un vent venu de nulle part traverse l’endroit où ils sont, tandis qu’eux-mêmes se mettent à chanter des louanges à Dieu, mais dans des langues qu’ils ne connaissent pas du tout ! Il s’agit des langues des peuples de l’empire romain, de telle sorte que les personnes de ces contrées venues à Jérusalem pour la fête, les comprennent ! La foule, étonnée de voir et d’entendre ce phénomène surnaturel et mystérieux, s’assemble autour des disciples. Ceux que Jésus avait désignés comme ses apôtres prennent la parole. Ils expliquent que Dieu a répandu sur eux le Saint-Esprit (= l’Esprit de Dieu), promis à tous ceux qui croient en la résurrection de Jésus. Ils leur annoncent le pardon des fautes grâce au sacrifice du Christ. Des milliers de personnes se convertissent alors à Jésus. L’Eglise chrétienne est née et elle va se répandre de là, à tout l’empire romain, en moins d’un siècle.
 

Signification

La Pentecôte est un événement qui fait intervenir la 3ème personne de la trinité : le Saint Esprit, pour le bonheur des croyants. Dieu met ainsi le terme à sa révélation, nous indiquant qu’il est un en 3 «personnes» : Dieu-le Père, Dieu-le Fils (Jésus-Christ) et Dieu-le Saint Esprit (ou Esprit de Dieu).

En Jésus, Dieu-le Fils s’est fait homme, pour que nous puissions voir et connaître son amour infini. Il s’est sacrifié pour chacun(e) de nous, prenant sur lui nos fautes, afin de nous délivrer du mal qui nous blesse. En tant qu’homme, il est mort pour mettre fin à la séparation qui existe entre nous et Dieu.

Ressuscité, triomphant de la mort, Jésus est «remonté» auprès de Dieu-le Père, retrouvant tous ses attributs divins. 50 jours après sa résurrection, lors de la fête juive des semaines, il inaugure une nouvelle ère : par l’envoi du Saint Esprit en ceux qui croient en son sacrifice, il offre la possibilité à chacun(e) d’expérimenter la présence et l’amour de Dieu.

Avant la venue de Jésus, l’Esprit de Dieu était donné à certaines personnes du peuple Juif, pour les aider à accomplir leurs responsabilités (notamment les rois, les grands prêtres, les prophètes). Ils pouvaient ainsi se sentir en contact direct avec Dieu, recevoir sa sagesse, sa force et son amour. Dieu les aidait dans les choix qu’ils avaient à faire. Les prophètes (= porte-parole de Dieu) recevaient par le Saint Esprit les messages que Dieu voulait adresser au peuple. Dieu montrait par leur exemple le bénéfice de le rencontrer personnellement et il préparait ainsi le peuple à une nouvelle ère.

« Mais vous recevrez une puissance, le Saint-Esprit survenant sur vous, et vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée, dans la Samarie, et jusqu'aux extrémités de la terre. » (Actes 1 : 8). A partir de la Pentecôte, Dieu donne son Esprit à tous ceux qui croient en Jésus, quel que soit leur rang, leur sexe, leur classe, leur âge. Plusieurs milliers de personnes ont ainsi découvert une relation personnelle avec Dieu et l’assurance de la vie éternelle. Chaque croyant peut expérimenter dans sa vie de tous les jours le pardon, l’amour, le secours et le conseil de Dieu. Par l’Esprit de Dieu résidant en lui, il peut entendre Dieu lui parler.

Voulez-vous goûter à l’amour de Dieu ? Si vous êtes croyant, avez-vous fait cette expérience de la venue du St Esprit en vous ? - toi 2 voir adapté par René Barrois

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Plan de lecture quotidienne :

2 Rois 4-5  Luc 4 : 14-44

La lassitude

 

Transmis par René Barrois le 21/05

 

« Pour vous frères, ne vous lassez pas de faire le bien » (2 Thessalonicien 3 : 13)

 

L’un des dangers les plus pernicieux dans l’Église de Jésus-Christ est la lassitude. C’est une réalité qui touche presque tous les chrétiens dans le cheminement de la vie chrétienne. Malheureusement, ce mot est utilisé si facilement qu’il fait partie du vocabulaire des chrétiens, comme si cette attitude était un exploit d’être lassé dans l’appel de Christ pour son œuvre.

Il peut en effet arriver que le chrétien le plus fidèle se sente épuisé, découragé, affaibli. Nous vivons dans un monde qui a rejeté Dieu et qui est manipulé par notre adversaire (1 Jean 5 : 19 ; Apocalypse 13 - ce chapitre nous décrit le diable à l'œuvre et tous ceux qui le suivent dans le monde spirituel).

Dans le désordre de ce monde, le travail des croyants est bien rée, cependant le potentiel de lassitude est plus qu’une réalité devant les difficultés croissantes. Nous pouvons être atteints par des épreuves et être usés par les luttes quotidiennes.

Peut-être, sommes-nous moins passionnés qu’au début de notre conversion. La ferveur du premier amour a diminué, la passion pour les âmes a fortement pâli, ainsi on se rend compte que notre travail pour Dieu a faibli (Apocalypse 2 : 4).

Pourtant, le Serviteur de l’Éternel ne se décourage pas Ésaïe 42 : 1-4 «... Il ne se découragera pas et ne se relâchera pas jusqu’à ce qu’il ait établi la justice sur la terre et que les îles espèrent en lui. » Jésus nous révèle qu’il y a des formes de lassitudes qui n’entraînent pas la lassitude. Jésus était fatigué lorsqu’il s’est assis au puits de Samarie (Jean 4 : 42), mais il n’était pas lassé de faire le bien en apportant la Bonne Nouvelle à cette femme. Matthieu 8 : 20 « le Fils de l'homme n'a pas où reposer sa tête » Cela ne l’arrête pas, il continue son travail pour la gloire de son Père.

La lassitude commence dans l’esprit. Elle peut se manifester sous différentes formes (physique, morale). Frères et sœurs nous devons fuir la lassitude comme la peste. C’est un grand danger dans notre vie de chrétien. La lassitude produit le relâchement et tue la fécondité de notre travail pour le Seigneur, elle contrarie les plans de Dieu. L’ esprit lassé cherche la sympathie, un monde de gaité, un compagnon fascinant. Très vite les résultats sont évidents, le découragement gagne la vie du chrétien, la paix du Seigneur ne soutien plus l’âme fatiguée. Il y a un grand péril dans le découragement.

Combien sont précieuses les paroles de Jésus « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés et je vous donnerai du repos » (Matthieu 11 : 28).

 

Quel remède à la lassitude du croyant !

 

Le Seigneur Jésus dit être le Maître de notre pensée, il doit dominer sur tout notre être, être la passion de notre vie.

Nous devons méditer quotidiennement la Parole de Dieu.

Ne nous relâchons pas dans la prière.

Nous devons être attentifs au Saint-Esprit. « Quand le consolateur sera venu, l'Esprit de vérité, il vous conduira dans toute la vérité ; car il ne parlera pas de lui-même, mais il dira tout ce qu'il aura entendu, et il vous annoncera les choses à venir. » (Jean16 :13)

Ne perdons pas courage dans cette vie « C’est pourquoi nous ne perdons pas courage. » (2 Corinthiens 4), ayons toujours la pensée que « nous moissonnerons au temps convenable, si nous ne nous relâchons pas » (Galates 6 : 9).

Chaque jour doit apporter une impulsion nouvelle pour un plus grand et meilleur service pour Dieu.

 

Bien-aimés, demandons au Seigneur qu’il déverse ses calmes rosées de tranquillité, jusqu’à ce que cessent nos luttes, nos contraintes, nos efforts, et que nos vies confessent la bonté de ta paix. René Barrois

 

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Plan de lecture quotidienne :

2 Rois 4-5  Luc 4 : 14-44

La patience

 

 

Transmis par René Barrois le 20/05

 

« Joignez à votre foi, la vertu ; et à la vertu , la connaissance ; et à la connaissance, la maîtrise de soi ; et à la maîtrise de soi, la patience... » (2 Pierre 1 : 5-8)

 

La patience, c’est accepter qu’il faut toujours du temps pour que le travail de Dieu s’opère en nous ou chez les autres. Tu as certainement fait cette expérience que la patience est indispensable pour progresser dans l’étude de la Parole de Dieu. Il te faut de la patience aussi avant de voir les fruits d’un témoignage rendu auprès de proches ou de camarades.

La patience, c’est aussi savoir attendre paisiblement la réponse à une prière, ou la délivrance d’une épreuve. Du reste, ce mot patience traduit un mot grec qui signifie « l’endurance dans l’épreuve ». Or l’épreuve fait partie de l’éducation des chrétiens : c’est Dieu qui la permet pour manifester ta patience dans l’engagement de ta foi (Romains 5 : 3). Jacques écrit même que nous devons nous réjouir lorsque des épreuves nous arrivent, car elles ont pour but de nous perfectionner et précisément de nous apprendre la patience (Jacques 1 : 2-4).

Ce sont les enfants qui sont impatients, qui veulent tout, et tout de suite. Apprendre la patience, c’est donc devenir adulte et, pour le chrétien, c’est mettre, chaque jour davantage, sa confiance en Dieu. Manifester de la patience dans toutes les circonstances de la vie deviendra aussi une marque de ta maturité parmi tes camarades de classe ou de travail, ainsi qu’un témoignage, peut-être sans paroles, mais combien éloquent dans ce monde où l’impatience règne dans tous les domaines.

La patience marche parfois avec la souffrance, et c’est bien compréhensible, puisqu’elle est le fruit de l’épreuve. Alors, pour nous encourager tous, Jacques, parlant de la patience de Job, si durement éprouvé, déclare : Vous avez vu la fin accordée par le Seigneur - que le Seigneur est plein de compassion et miséricordieux (Jacques 5 : 11). - Plaire au Seigneur

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Plan de lecture quotidienne :

2 Rois 1-3  Luc 4 : 1-3

Il veut tout

 

Transmis par René Barrois le 19/05


 

Lecture : Ésaïe 30 : 18-19,21,29

 

Ésaïe déclare : « si seulement vous vous attendez au Seigneur, si de nouveau vous criez à lui, revenez à lui et faites-lui confiance, il accomplira pour vous tout ce que j’ai dit ! »

Il suffit que Dieu prononce une seule parole pour que l’ennemi chancelle. « Alors, à la voix de l’Éternel, l’Assyrien sera terrifié » (Ésaïe 30 : 31). Il n’est aucun problème que notre Père ne puisse résoudre, aucune bataille qu’il ne puisse remporter pour nous, d’une seule parole sortie de sa bouche. Ésaïe proclame : «  Le souffle de l’Éternel » consumera tout sur notre chemin v. 33.

Ce processus de confiance en Dieu n’est toutefois pas aisé en toutes choses. Un jour où je cherchais le Seigneur à propos de la construction de notre église dans la ville de New York, je lui ai dit : « Père, je t’ai cherché à propos de ceci et je resterai en paix. » Il m’a répondu : « David, je suis émerveillé de ce que tu me fasses confiance pour tes biens, tes finances et d’autres choses matérielles. Pourtant, tu ne me fais pas encore confiance pour ce qui a trait à ton bien-être physique... »

Oui, bien-aimé, il veut tout : votre santé, votre famille, votre avenir. Il désire que vous viviez dans la tranquillité, la confiance et le repos. Alors, retire-vous seul avec le Seigneur. Il l’a promis : « Tu entendras derrière toi ma parole pour t’indiquer le chemin à suivre. Le voici, marchez-y désormais. »

La foi véritable remet toutes choses entre ses mains et la preuve de la foi, c’est le repos. - David Wilkerson

 

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Plan de lecture quotidienne :

1 Rois 22  Luc 3

Preuve surgie du fond de l'océan

 

Transmis par René Barrois le18/05

 

« La patience de Dieu attendait dans les jours de Noé, tandis que l'arche se construisait, dans laquelle un petit nombre, savoir huit personnes, furent sauvées à travers l'eau. » (1 Pierre 3 : 20)

 


Le naufrage du Titanic en 1912 a laissé une trace ineffaçable dans la mémoire humaine ; un film à grand succès vient encore de la rappeler 86 ans plus tard.

 

La découverte de l'épave a permis aux experts d'expliquer enfin comment ce splendide paquebot, merveille de la technique, a pu sombrer en trois heures après sa rencontre avec un iceberg.

 

Bien des causes secondaires se sont conjuguées, mais la dernière explication des experts, après examen de quelques échantillons trouvés sur l'épave, serait la fragilité des rivets d'assemblage de la coque. Un certain nombre d'entre eux paraissent avoir sauté ouvrant des voies d'eau qui condamnaient inévitablement au naufrage le palace flottant réputé insubmersible.

 

« Dieu lui-même ne pourrait le faire couler », aurait dit le concepteur. Un tel défi nous impressionne. Et il aura suffi de quelques rivets défaillants pour que, ce 15 avril 1912, l'humanité reçoive une sévère et magistrale leçon d'humilité en voyant sombrer son chef d'oeuvre dans les eaux glacées de l'Atlantique.

 

Quel contraste avec le premier "géant des mers", l'arche de Noé, construite par un seul homme, et dirigée par Dieu lui-même. Elle a navigué une année environ au milieu d'un déluge sans équivalent dans l'histoire, et préservé tous ses passagers. Ce récit-là non plus, les hommes ne devraient pas l'oublier (Luc 17:26). - Graine d’ensemencement

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Plan de lecture quotidienne :

1 Rois 20-21  Luc 2 : 1-52

La vie n’est pas toujours tendre

 

Transmis par René Barrois le 17/05

 

« Jésus, voyant sa mère, et auprès d’elle le disciple qu’il aimait, dit à sa mère : Femme, voilà ton fils. » (Jean 19. 26)

 

Drames, deuils, détresses diverses, maladies, accidents… jalonnent la vie des uns et des autres… Dans toutes ces situations, Dieu a voulu que la famille soit un refuge, un abri, un havre où l’on puisse être épaulé, consolé, encouragé.

Au début du siècle dernier, un pauvre commerçant, suite à un dramatique incendie qui détruisit sa boutique, rentra chez lui complètement abattu et désespéré. Il pleurait et disait : « Nous avons tout perdu, je dois licencier nos employés, notre commerce est fini, il ne nous reste plus rien, tout est fini. » Alors qu’il était prostré et dans un profond désespoir, sa fille de dix ans s’approcha et lui dit : « Papa, tu ne m’as pas perdue, je suis là. » Son épouse vint également vers lui et lui adressa ces mots d’encouragement : « Chéri, prends courage, je suis à tes côtés et ensemble on va se battre. » C’est alors que la grand-mère, qui était en train de lire la Bible, lui dit : « Mon fils, il te reste toutes les promesses de Dieu. » Encouragé par tous les membres de sa famille, il releva la tête et dit : « Combien c’est bon, à l’heure de la détresse, d’avoir le soutien de la famille ! »

Peut-être me direz-vous : « C’est bien beau tout cela, c’est une belle histoire, mais moi je n’ai pas de famille, je suis seul(e), je n’ai plus personne à mes côtés sur qui m’appuyer… » Vous avez raison, votre conjoint(e) n’est plus là, votre fils unique vient de partir suite à un terrible accident, vous n’avez ni frère ni sœur, vous êtes seul(e) ! C’était la situation de Marie, au moment où son fils était agonisant, mourant sur la croix. Seule, et personne pour la consoler ! Alors, dans un dernier souffle, Jésus la confie à Jean : « Voilà ta mère !» Jésus lui donne une famille pour qu’elle soit consolée, entourée, soutenue.

Savez-vous que Dieu désire également vous donner une famille ? C’est la volonté de Dieu : « Dieu donne une famille à ceux qui étaient abandonnés » (Psaumes 68. 7). Dieu désire que vous trouviez auprès de ceux qui aiment Jésus – comme Jean aimait Jésus – une famille de substitution, auprès de laquelle vous trouverez aide et réconfort à l’heure de l’épreuve, du deuil, du drame.

 

Ma prière en ce jour : Merci Seigneur pour ma famille, merci pour le réconfort qu’elle m’apporte et celui que je puis lui offrir. Quant à moi qui n’ai pas de famille, merci pour mes frères et sœurs en la foi, merci pour l’amour qu’ils me manifestent, et merci surtout pour celui que je peux leur témoigner. Amen ! - Paul Calzada

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Plan de lecture quotidienne :

 1 Rois 18-19  Luc 2 : 1-20


 Une éblouissante clarté jaillit... 

 

Transmis par René Barrois le 16/05

 

« Le Fils... a fait la purification des péchés, et S'est assis à la droite de la Majesté divine dans les lieux très-hauts. »  (Hébreux 1 : 3)

 

Une éblouissante clarté jaillit de l'Épître aux Hébreux ; le Saint-Esprit y magnifie la Personne de Christ qui accomplit l'Ancien Testament et surpasse tous les personnages sacrés de l'ancienne alliance. Il est le Fils, l'Héritier de toutes choses, Dieu béni éternellement. Toute cette révélation est introduite par ce qui en est le glorieux fondement: après avoir fait la purification de nos péchés, le Fils S'est assis à la droite de Dieu afin d'accomplir Son ministère sacerdotal en notre faveur.

 

Voici notre salut, notre espérance, notre tout... en Lui-même! Voici notre assurance, notre paix et la source de notre joie et de notre vie présente: Son oeuvre entièrement suffisante et absolument parfaite! Son sang expiatoire de Substitut divin a satisfait les exigences de la justice divine à l'égard de notre péché. Par le témoignage que Dieu rend de Son Fils et de Son oeuvre, nous en recevons l'assurance présente. Il a tout accompli sans notre aide et sans nos efforts. Il est l'Auteur et le Consommateur de notre foi; tout est accompli.

 

Et maintenant, le Seigneur est assis à la droite de la Majesté divine comme preuve que le Père a accepté Son sacrifice. Plus encore, Il a accepté et adopté comme fils tous ceux qui, cessant leurs vains efforts et rejetant leurs mérites illusoires, se reposent sur Jésus-Christ seul. Au centre de cette gloire céleste, notre Seigneur siège comme Souverain Sacrificateur en faveur des Siens, pour les délivrer, les purifier, les sanctifier en vue de Son retour.

 

Telle est la pierre de touche de la vie du combattant. Tout est de Christ, en Christ et pour Christ! Il veut faire de nous Ses héritiers et être notre Sauveur, Seigneur et Sacrificateur tout-suffisant et toujours présent. Les oeuvres de foi et de combat qu'Il nous appelle désormais à accomplir pour Lui dans ce monde dépendent de Son sacerdoce. Il est là, à la droite de la Majesté divine, Il nous garde en Son Nom, Il nous inspire et nous soutient dans notre témoignage. Son Nom est notre suprême privilège, mais il nous appartient de sauvegarder le témoignage qui s'y rattache ici-bas, en face de tous les rivaux, tous les ennemis, tous les dangers. - H.E. Alexander 

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Plan de lecture quotidienne :

 

1 Rois 15-17  Luc 1 : 26-80

 

Seigneur, merci car tu me libère de la honte…

 

Transmis par René Barrois le 15/05

 

« Ils ont regardé vers lui, et ils ont été illuminés, et leurs faces n'ont pas été confuses. »
(Psaume 34 :5 )

 

On porte parfois la honte sur nos épaules, à cause de nos erreurs, le poids de nos fautes passées, ou à cause de la médisance ou des paroles dévalorisantes dont on a été l'objet. Parfois nous avons subit l'humiliation et le déshonneur. Mais quelque soit notre situation, David nous encourage à regarder une fois de plus à notre rédempteur, parce que celui qui s'appuie sur l'Éternel n'est pas couvert de honte (Psaume 25 : 3).

Et quand on tourne nos regards vers l'Eternel, il nous illumine de sa gloire et nous ne sommes plus dans la confusion ou la honte. La honte est l'opposée de la gloire (Habakuk. 2 : 16), elle nous pousse à nous cacher, à nous replier sur nous-mêmes, elle nous conduit dans la peur, nous paralyse et nous détruit.

Chaque blessure qui a produit en nous un sentiment de honte a besoin d'être soignée. Chacune de nos blessures peuvent devenir un atout si on laisse Dieu nous guérir et nous transformer.

Jésus a tout porté à la croix, nos erreurs, le poids de nos transgressions, mais aussi nos peurs et notre honte. La guérison de nos blessures a été acquise à la croix, c'est une réalité. On peut pleinement en bénéficier mais tout dépend d'où l'on regarde. Nous avons besoin de nous aligner avec la vérité. Refusons la fausse culpabilité, refusons de garder de la rancune envers les personnes qui nous ont blessés, refusons de donner plus d'importance au regard des gens sur nous ou à leurs paroles qu'au regard de notre Père céleste et à ce que Lui pense de nous.

Parfois, on peut sentir aussi le poids de la honte quand on témoigne de notre espérance et de notre foi. C'est normal, en tant que disciple de Jésus, de subir les railleries, les critiques ou la calomnie car lui même l'a subit et Il ne nous dit pas que nous serons épargnés.

Le disciple n'est pas plus que le maître, ni le serviteur plus que son seigneur (Matthieu.10 : 24).

Il nous donne l'assurance qu'il marche lui-même à nos côtés et que le plus important c'est ce que Dieu pense de nous. Nous sommes les enfants du Dieu Tout-Puissant, nous sommes citoyens de son Royaume et nous sommes ses ambassadeurs dans ce monde. Il nous a donné une nouvelle identité, une identité royale !

Nous n'avons pas à rougir d'être l'objet de ces outrages car Dieu nous dit que lorsqu'on regarde à Lui, nous ne sommes plus confus. Comme Paul, que nous n'ayons aucune raison d'avoir honte de l'Évangile, car il est puissance de Dieu pour le salut de tous (Romains 1 : 16).

Nous sommes des lumières qui brillent comme des flambeaux dans ce monde au milieu d'une génération corrompue et perverse (Philippiens 2 : 15) alors gardons courage et continuons de témoigner car Dieu veut utiliser chacun d'entre nous pour toucher les cœurs, comme il l'a utilisé David vis à vis des personnes qui étaient avec lui.

Alors ne regardez pas à ce que les hommes pensent de vous, ni à ce qu'ils disent de vous. Quelles que soient vos épreuves, souvenez-vous de regarder à Jésus, vous serez illuminés de sa gloire et de sa grâce, vous ne serez plus dans la honte, et votre témoignage, comme celui de David, encouragera et apportera consolation et le réconfort à ceux qui sont dans l'affliction.

Car un moment de légère affliction produit pour nous au-delà de toute mesure un poids éternel de gloire. Aussi nous regardons, non point aux choses visibles, mais à celles qui sont invisibles ; car les choses visibles sont momentanées, et les invisibles sont éternelles. (2 Corinthiens 4 :1 7-18)

Merci parce qu'auprès de toi je trouve le pardon, la guérison et la force de persévérer dans l'épreuve. Merci parce que c'est toi qui me libère de la honte et que dans ton amour, tu m'as aussi mis à part afin que je serve à célébrer ta gloire. Amen. - Delphine Fereyre

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Plan de lecture quotidienne :

1 Rois 12-14   Luc 1 : 26-56

Défense de la foi

 

 

Transmis par René Barrois le 14/05

 

« La Bible est la complète révélation de la Vérité divine à laquelle rien ne peut être ajouté ni retranché sans impunité ! Toute tentative de falsification ou d'altération de cette Vérité pour s'accommoder aux goûts du jour, pour éviter la désapprobation ou pour courtiser la faveur de nos amis, est un affront à la majesté de Dieu et un acte de trahison envers les hommes. Ma conscience me rend témoignage que je suis déterminé à prêcher la Vérité. Que la grâce de Dieu me rende toujours capable de le faire ». - John Newton

 

Les hommes qui parlent de la part de Dieu ne se mêlent jamais à la confusion qui se trouve autour d'eux. Noé se tint seul au sein d'une civilisation de culture et de progrès. Ses contemporains devaient sans aucun doute se moquer de lui et le traiter d'excentrique parce qu'il croyait à la fin du monde. Elie, lui aussi, se tint seul parmi les prêtres de Baal et tous ceux qui mangeaient à la table de Jézabel.

Les vrais prophètes sont des personnes solitaires ; les aigles ne volent pas en grand nombre. Ce n'est pas du tout facile d'être seul à contester. Lorsqu'un messager fut envoyé vers Michée, le prophète, le message (selon le livre de Michée) pouvait se résumer en substance à ceci : « Les autorités religieuses sont toutes d'accord et tu as intérêt à te joindre à cette unanimité… Nous sommes dans le train de l'abondance. Nous sommes dans le vent des toutes dernières révélations et tu as avantage à les accepter »

Une même pression subtile cherche aujourd'hui à persuader les prédicateurs à accepter de nouvelles doctrines à la mode dans les églises. Ce n'est pas de cela que l'Église actuelle a besoin, c'est au contraire d'un nombre plus grand de prédicateurs qui ne se conforment pas au siècle présent, ni à l'esprit de compromis ou d'apostasie. - Vance Havner

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Plan de lecture quotidienne :

1 Rois 10-11  Luc 1 : 1-25

 

Quels sont le sens et l’importance de l’ascension de Jésus-Christ ?

 

Transmis par René Barrois le 13/05

 

    Réponse : Après sa résurrection, Jésus « se présenta [...] vivant » (Actes 1 : 3) aux femmes près de la tombe (Matthieu 28 : 9-10), à ses disciples (Luc 24 : 36-43) et à plus de 500 autres personnes (1 Corinthiens 15 : 6). Les jours après la résurrection, Jésus a enseigné ses disciples concernant le Royaume de Dieu (Actes 1.3).    Quarante jours après la résurrection, Jésus et ses disciples se sont rendus au Mont des Oliviers, près de Jérusalem. Là, Jésus leur a promis qu’ils recevraient bientôt le Saint-Esprit et leur a demandé de rester à Jérusalem jusqu’à ce qu’il vienne. Puis il les a bénis et pendant qu’il les bénissait, il est monté au ciel. Le récit de l’ascension de Jésus se trouve en Luc 24 : 50-51 et en Actes 1 : 9-11.    

    Les Écritures montrent clairement que l’ascension de Jésus était une montée au ciel littérale et physique : il s’est petit à petit élevé au-dessus du sol sous les yeux d’un grand nombre de témoins attentifs. Alors que les disciples s’efforçaient de l’apercevoir une dernière fois, une nuée l’a caché à leurs yeux. Deux anges leur sont alors apparus et leur ont promis qu’il reviendrait « de la même manière que vous l’avez vu aller au ciel » (Actes 1 : 11).

L’ascension de Christ est importante pour plusieurs raisons :

 

    1) Elle marque la fin de son ministère terrestre. Par amour, Dieu le Père avait envoyé son Fils dans le monde à Bethléem et maintenant, le Fils retournait au Père. La période pendant laquelle il avait été soumis aux limitations humaines était terminée.

    2) Elle indique le succès de son œuvre sur terre. Il avait accompli tout ce pourquoi il était venu.

    3) Elle marque son retour à sa gloire céleste. La gloire de Jésus avait été voilée pendant sa vie sur terre, avec la courte exception de sa Transfiguration (Matthieu 17.1-9). 

    4) Elle symbolise son élévation par le Père (Éphésiens 1 : 20-23). Celui à qui le Père avait donné toute son approbation (Matthieu 17 : 5) a été accueilli avec les honneurs et a reçu un nom au-dessus de tout nom. (Philippiens 2 : 9).

    5) Elle lui a permis de nous préparer une place (Jean 14 : 2).

    6) Elle marque le début de son ministère de souverain sacrificateur (Hébreux 4 : 14-16) et médiateur de la Nouvelle Alliance (Hébreux 9 : 15).

    7) Elle établit le modèle de son retour. Jésus reviendra établir son Royaume de la même manière qu’il est parti : littéralement, corporellement et visiblement, sur les nuées (Actes 1 : 11, Daniel 7 : 13-14, Matthieu24 : 30, Apocalypse 1 : 7).

    Pour l’instant, le Seigneur Jésus est au ciel. Les Écritures le représentent souvent à la droite du Père, une position d’honneur et d’autorité (Psaumes 110 : 1, Éphésiens 1 : 20, Hébreux 8 : 1). Christ est la tête du corps de l’Église (Colossiens 1 : 18), il donne les dons spirituels (Éphésiens 4 : 7-8) et il remplit tout l’univers (Éphésiens 4 : 9-10). L’ascension de Christ marque la transition entre son ministère terrestre et son ministère céleste. - Got Question

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Plan de lecture quotidienne :

1 Rois 9      Jacques 4 : 13 à 5 : 1-20

L’amertume et le non pardon me voilent la face de Dieu

 

Transmis par RenéBarrois le 12/05

 

En tant qu’enfant de Dieu pardonné par grâce, le Seigneur attend de moi que je pardonne à mon tour à tous ceux qui m’ont offensé, comme Lui m’a pardonné. Si je ne le fais pas, ma relation avec Dieu sera coupée et cela me rendra absolument incapable de le servir.

Jésus, à maintes occasions, insiste sur la nécessité de pardonner comme lui l’a fait pour nous. Dans la prière dominicale, il nous dit :

« Si vous pardonnez aux hommes leurs offenses, votre Père céleste vous pardonnera aussi ; mais si vous ne pardonnez pas aux hommes, votre Père ne vous pardonnera pas non plus vos offenses. » (Matthieu 6 : 9-15)

Le pardon transforme nos prières, nos relations avec les autres ; notre foi grandit. Le pardon transforme aussi les autres. Mais refuser ou négliger de pardonner aux autres nous paralyse et nous empêche de servir Dieu. Où faut-il donc commencer à pardonner ?

Notre mission de pardonner aux autres commencera dans la famille. La semence de l’amertume, du ressentiment et même la haine sont insidieusement semés dans notre cœur, dès notre plus tendre enfance et plus nous grandissons, plus l’amertume s’accumule en nous, si nous ne réglons pas ce grave problème.

Le mari doit apprendre à pardonner à sa femme et la femme à son mari. Sans l’esprit de pardon, il est impossible de vivre ensemble. Que de foyers seraient sauvés, si les époux avaient appris à se pardonner. Le pardon est la respiration du couple et si nous voulons servir le Seigneur, il est vital pour nous d’appliquer ce principe dans notre vie personnelle comme dans celle de notre foyer.

Nous êtres humains imparfaits et maladroits arrivons toujours à nous blesser mutuellement ; nous aurons toujours à nous pardonner quelque méfait, quelque mauvaise parole, quelque mauvaise attitude….

Avoir raison, et quand même demander pardon. Faire nous, la première démarche, c’est là notre rôle d’épouse. La femme doit aider son mari ; si le mari est le premier qui devrait le faire, comme chef du foyer, l’épouse a sa responsabilité en tant que son aide (Genèse 2 : 18). Elle ne doit pas condamner son mari, mais l’aider, le secourir, le compléter. Son mari a besoin d’elle, de son soutien, de son aide, de son encouragement pour pardonner.

Si votre mari a de la peine à demander pardon, n’attendez pas qu’il le fasse, mais agissez la première. Vous l’aiderez et le libèrerez ; vous serez une grande bénédiction pour lui.

L’esprit de pardon mutuel affermira votre amour l’un pour l’autre. Plus vous vous pardonnerez, plus vous vous aimerez. Votre foyer en sera transformé et ce sera une grande bénédiction pour les enfants, un témoignage pour le monde.

Nous les parents avons aussi la responsabilité de pardonner à nos enfants. Le pardon seul gardera notre famille unie. Sachons reconnaître nos fautes à nos enfants et leur pardonner les leur.

Un enfant sera toujours prêt à pardonner à sa maman ou à son papa ses mauvaises paroles ou ses mauvais actes, lorsqu’elle les reconnaît. Ne laissons pas les années passer et envenimer nos relations avec nos enfants.

Chères épouses chrétiennes et chères mamans, le Seigneur vous a confié le ministère de la réconciliation. Pardonnez à votre mari et ne rejetez pas vos enfants rebelles. Pardonnez-leur. Disciplinez-les avec amour dans un esprit de pardon.

Le manque de pardon ruine votre relation avec Dieu, votre vie de prière et votre vie de famille. Il empoisonne même votre église et surtout paralyse votre service pour Dieu.

Pardonner n’est pas un luxe, mais une nécessité absolue, si vous voulez vous épanouir en Christ et mener une vie chrétienne victorieuse. Si vous désirez avoir une vie bénie et efficace, savoir pardonner sera indispensable pour vous ! Nourrir l’amertume est un frein majeur, quel que soit la tâche ou le ministère que le Seigneur vous a confié !

L’esprit de pardon brise les cœurs les plus durs, en commençant par le vôtre ! Reconnaissez que vous avez tort d’en vouloir à telle ou telle personne. Remettez-lui, ses dettes envers vous, comme Jésus l’a fait.

Rejetez toute amertume, tout non pardon qui pourrait vous rendre malade physiquement. Le non-pardon peut vous conduire jusqu’à la haine, si vous ne le réglez pas. Avoir de la haine contre une personne peut même ouvrir la porte au diable et vous mener jusqu’à la possession démoniaque, dans le pire des cas. Le non-pardon n’est pas inoffensif ; en un mot, il détruit une personne. Il peut littéralement vous détruire, vous faire mourir !

 

Comment pardonner :

pardonnez en oubliant : quelle mauvaise habitude de se rappeler ce qu’il faudrait oublier
2. pardonnez immédiatement, avant que le mal ne s’aggrave.

3.pardonnez continuellement 70 x 7 x comme Dieu le fait pour chacun d’entre nous.
4.pardonnez définitivement, ne plus revenir sur ce qui a été pardonné.
5.pardonnez en priant pour ceux et celles qui nous ont offensés.

 

Des relations rompues sont-elles venues assombrir votre existence ? Le meilleur remède reste le pardon qui vous libèrera instantanément et vous rendra désormais capable de servir Dieu. - Dorothée Hatzakortzian

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Plan de lecture quotidienne :

1 Rois 7-8   Jacques 3 : 14 à 4 : 1-12

 

Portez la bonne nouvelle

 

Transmis par René Barrois le 11/05

 

« Allez par tout le monde, et portez la bonne nouvelle. » (Marc 16 : 15-16 ; Matthieu 28 : 19-20).

 

Évangéliser : voilà une des tâches essentielles données par le Christ à ses disciples, ainsi qu’à tous ceux qui le deviendraient au fils des siècles.

« Allez dans le monde entier et annoncez la bonne nouvelle à toute la création. Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné » (Marc 16 : 15-16 )

Cette bonne nouvelle du salut par la grâce en Jésus-Christ, quand vous l’avez reçue, a transformé votre vie, votre vision du monde, du sens de l’existence et de la mort. Elle vous a apporté la paix du cœur, la joie, la certitude de la vie éternelle...

Allez la partager avec ceux qui sont sans espérance, qui savent que leurs jours sont comptés et qui se disent : « Pourquoi naître, grandir, éprouver de l’affection, chercher une raison de vivre, puis marcher de désillusion en désillusion jusqu’à la mort et la disparition dans le néant ? »

Beaucoup, quand il réfléchissent, font ce constat dramatique : « Sans Dieu, le monde est absurde et la vie n’a pas de sens »

Mais la Bible révèle à ceux qui le cherchent de tout leur cœur qu’à l’origine l’Éternel a créé l’univers et la terre dans une but : accueillir des êtres appelés à devenir fils et fille de Dieu et à partager sa lumière, la vie éternelle.

Elle dit aussi que Dieu n’a pas voulu que ces êtres soient prédéterminés comme des robots. Il a donc créé l’homme et la femme à son image (Genèse 1 : 27) et leur a donné la possibilité de connaître et de choisir entre le bien et le mal.

Mais pour que leur liberté de choix puisse pleinement exercer, il fallait qu’ils soient mis à l’épreuve. C’est alors que, dans le jardin d’Eden, Ève et Adam choisirent le mal.

Poussés par l’orgueil, l’ambition, l’égoïsme, l’ingratitude, ils écoutèrent les suggestions de l’adversaire, Satan, leur faisait par l’intermédiaire du serpent. Ils acceptèrent son argumentation et laissèrent le doute et la suspicion envahir leur cœur.

Pour satisfaire leur convoitises, leur désir « d’être comme des dieux », ils désobéirent à l’ordre de l’Éternel, trahirent celui qui leur avait donné la vie et sortirent du chemin qu’il avait préparé pour eux.

Chassés du jardin d’Eden, les hommes furent, dès lors, séparés de Dieu et commencèrent une longue errance qui se poursuit encore de nos jours.

De génération en génération, ils se lancèrent dans toutes sortes d’entreprises, bâtir divers organisations, telles que royaume ou autres...pour essayer de recréer le paradis perdu dont leur mémoire gardait le souvenir et a nostalgie.

Mais l’histoire nous apprend que toutes leurs tentatives furent vaines car le mal, les mauvais instincts et le péché finirent toujours par triompher.

Dieu vit leur errance, leurs échecs, mais aussi leurs souffrances et leur désespérance... Et dans son amour – car « Dieu est amour » nous dit la Bible – il fit, dès les temps anciens, un plan pour les sauver.

Il se révéla alors aux hommes qui, tels Hénoch, Noé, Job, Abraham, cherchaient de tout leur cœur à retrouver sa présence et vivre en communion avec lui.

Quand ils se laissaient conduire, ils redécouvraient le chemin perdu et Dieu les remplissait de paix, de joie, d’espérance et de lumière.

Puis vint le temps où l’Éternel choisit son peuple, le peuple d’Israël, qu’il mit à part pour être un signe, témoin au milieu des autres peuples.

Par l’intermédiaire de Moïse, il lui donna les Dix Commandements, qui brillèrent comme dix traits de lumière pour éclairer ceux qui voudraient les vivre et leur permettre de trouver le chemin qui mène à Dieu.

La Bible nous relate la longue marche de ce peuple, auquel l’Éternel avait promis sa bénédiction s’il restait fidèle à la mission qu’il lui avait confiée.

Mais il l’avait aussi averti qu’il connaîtrait des jugements s’il devenait infidèle et s’endurcissait dans la désobéissance à ses commandements.

Enfin, au temps marqué par Dieu, vint Jésus, le Messie, dont l’avènement avait été annoncé bien des siècles auparavant par les prophètes.

Il était, écrit l’apôtre Jean, la lumière était véritable, « celle qui vient dans le monde et qui éclaire tous les hommes. Celui qui est la Parole était dans le monde. Dieu a fait le monde par lui, et pourtant le monde ne l’a pas reconnu. Il venu dans son propre pays, amis les siens ne l’ont pas reçu. Cependant, quelques-uns l’ont reçu et on cru en lui ; il leur a donné le droit de devenir enfants de Dieu » (Jean 1 : 9-12).

Depuis lors le chemin est ouvert, les ténèbres sont dissipées.

Chaque être humain peut revenir de son errance et de son égarement vers le Seigneur qui est lumière, et recevoir gratuitement son pardon.

Sur la croix du calvaire, Jésus-Christ a donné sa vie, lui le Juste, pour nous qui sommes injustes, afin qu’en son nom, par sa mort expiatoire, nous soyons réconciliés avec Dieu, libérés des chaînes du péchés, des passions, de l’emprise de l’adversaire et de la crainte de la mort.

La Bible affirme : « Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle. » (Jean 3 :16). Voilà la belle, la plus décisive des informations !

Cette bonne nouvelle doit être annoncée à tous les hommes. Elle concerne toujours le chrétien, qui doit en témoigner autour de lui...

Elle te concerne aussi, toi qui te tiens loin de Dieu. Il faut que tu saches que Dieu, en Jésus-Christ, t’offre son pardon.

Il t’invite à vivre ses commandements, à abandonner ta vie ancienne pour « naître à une vie nouvelle », par sa puissance, et à le suivre dans les voies de l’Évangile.

Mais il te laisse libre, et donc totalement responsable de ton choix.

Vas-tu écouter son appel, lui répondre et te repentir pour marcher dans un chemin nouveau ?

Ton destin terrestre et éternel dépend de ta décision. - Yvon Charles

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Plan de lecture quotidienne :

 Rois 4-6   Jacques 2 : 1 à 3 : 1-13

Êtes-vous ambitieux ?

 

Transmis par René Barrois le 10/05

 

«  Avez-vous de l’ambition ? ». C’est souvent la question que pose un employeur au candidat à un poste et une réponse positive satisfait généralement l’employeur car celui qui est ambitieux fera tout pour produire un travail satisfaisant dans l’espoir de monter les échelons de la hiérarchie. Dans ce cas, le mot ambition a perdu son vrai sens, faisant plutôt penser à une qualité.

 

L’ambition est, selon le grand dictionnaire encyclopédique Larousse, « le désir ardent de gloire, d’honneurs et, en général de tout ce qui est supérieur, qui élève socialement, intellectuellement, etc. » autrement dit le désir orgueilleux de s’élever.

 

Dès le commencement, l’homme possède le caractère ambitieux. Dans le jardin d’Eden, Satan se présenta à Ève sous la forme d’un serpent et, pour l’inciter à manger du fruit de l’arbre défendu, lui dit : « Vous serez comme Dieu... ».

« Et la femme vit que l’arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qu’il était précieux pour ouvrir l’intelligence ; elle prit de son fruit et en mangea et en donna à son mari qui était près d’elle, et il en mangea » (Genèse 3 : 5-6). Ce fut donc l’orgueil, l’ambition d’être « comme Dieu » qui fit tomber nos premiers parents dans le péché, entraînant avec eux toute leur descendance. (Romains 5 : 12)

 

Quelques générations plus tard, les habitants de la terre se dirent l’un à l’autre : « Allons, bâtissons-nous une ville et une tour dont le sommet touche le ciel, et faisons-nous un nom... » (Genèse 11 : 4)

L’histoire n’a pas changé depuis, car l’homme, dans son orgueil, ne cherche-t-il pas à se faire un nom ? Que ne ferait-il pas pour être  connu et honoré de tous ! Et comme au temps de Babel, nous retrouvons partout une forte tendance à former des unions, des associations, aussi bien dans les revendications que dans le monde politique, religieux, etc. et c’est souvent par ces moyens que les hommes cherchent à arriver à l’accomplissement de leurs intentions. Il n’y a pas de mal à cela, dira-t-on. « L’union fait la force » dit un proverbe. Mais là où se trouve le mal, c’est dans le fait que, comme au temps de Babel, Dieu n’est ni reconnu ni recherché. Bien au contraire, dans cette volonté de bâtir « une tour dont le sommet atteigne le ciel » on y voit le désir de rivaliser avec le Créateur. De nos jours, des scientifiques passent leur temps (ou plutôt perdent leur temps) à chercher à créer la vie, espérant que leurs recherches aboutiront. N’est-ce pas la récidive du désir d’Adam et Eve incités par le diable leur disant : « vous serez comme Dieu » (Genèse 3 : 5) ?

Hélas, chez les disciples également l’ambition se manifeste : ils discutaient entre eux, contestaient même pour savoir qui serait le plus grand (Marc 9 : 34 – Luc 22 : 24). Deux d’entre eux demandèrent un jour au Seigneur Jésus d’être assis l’un à sa droite et l’autre à sa gauche, dans la gloire. Jésus dit alors aux disciples : « Vous savez que ceux qui paraissent gouverner les nations dominent en seigneurs sur elles, et que les grands parmi elles exercent l'autorité sur elles. Or il n'en est pas ainsi parmi vous, mais celui qui voudra devenir grand parmi vous sera votre serviteur, et celui qui voudra devenir le premier parmi vous sera l'esclave de tous. Car même le Fils de l'homme n'est pas venu pour être servi, mais pour servir et pour donner sa vie en rançon pour un grand nombre. » (Marc 10 : 42- 45)

« Le Fils de l’homme » : tel est le nom que se donne le Fils de Dieu qui s’est abaissé en devenant homme, le seul homme ayant marché sur la terre qui n’a jamais cherché à s’élever. Bien au contraire, il vint sur la terre non pour être servi, mais pour servir... Quel abaissement ! Plus bas encore il est descendu : jusqu’à la mort, la mort ignominieuse de la croix. L’ambition du premier homme (Adam et Ève) et tous ses descendants était d’être égal à Dieu, mais Jésus a suivi le chemin tout à fait inverse :

«  Le Christ Jésus dont la nature était celle de Dieu n’a pas regardé comme une chose à préserver à tout prix son égalité avec Dieu, mais s’est anéanti lui-même, prenant la condition de serviteur, étant fait à la ressemblance des hommes. Et, étant trouvé en apparence comme un homme, il s’est abaissé lui-même, étant devenu obéissant jusqu’à la mort, et à la mort de la croix. C’est pourquoi Dieu l’a élevé très haut ... » (Philippiens 2 : 6 -9)

Nous avons, en Christ « un modèle afin que nous suivions ses traces » (1 Pierre 2 : 21)

«  Revêtons-nous donc d’humilité ; car Dieu résiste aux orgueilleux, mais il donne la grâce aux humbles.» (1 Pierre 5 : 5)

« Quiconque s’élève sera abaissé, et quiconque s’abaisse sera élevé » (Luc 14 : 11 ; 18-14)

« Humiliez-vous donc sous la puissante main de Dieu, afin qu’il vous élève au temps convenable. » (1 Pierre 5 : 5) – La Vérité Sûre

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Plan de lecture quotidienne :

1 Rois 2-3   Jacques 1 

Justice par la foi

 

Transmis par René Barrois le 09/05

 

« Et d’être en lui, non avec une justice qui serait la mienne et qui viendrait de la loi, mais Ave la justice qui est (obtenue) par la foi en Christ, une justice provenant de Dieu et fondée sur la foi. » (Philippiens 3: 9).

 

Ô, si je pouvais, par la grâce de Dieu, vous faire comprendre la différence entre notre justice de tous les jours et l’attitude produite par la foi vivante qui ose proclamer et croire en lui ! Car je considère qu’il y a quelque chose selon la justice de la foi que vous ne pourrez jamais obtenir par la justice de la loi.

Il y a quelque chose dans la connaissance et la justice de Dieu qui est plus important que le reste. David nous parle de cela. Paul aussi le fait souvent. Quant à Abraham, il nous est dit qu’il a cru Dieu et que cela fut imputé à justice. Dieu s’est anvancé pour dire à tous les démons de l’enfer et à tous les hommes de la tere : « Ne touchez pas cet homme. »

 

Si vous parvenez à la connaissance de la justice de Dieu, si vous parvenez à la connaissance de la foi que procure la justice, vous serez alors prêt à tenir ferme et à faire face à n’importe quelle situation.

 

Vous pouvez être assurés que Dieu va vous délivrer car « tout instrument (de guerre) fabriqué contre toi sera sans effet » (Ésaïe 54: 17).

 

Prière du jour : Seigneur, à cause de la foi, impute ta justice afin que je puisse tenir ferme même contre les forces de l’enfer. Amen. - Smith Wigglesworth

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Plan de lecture quotidienne :

1 Rois 1   2 Pierre 3

Différences ?

 

Transmis par René Barrois le 08/05

 

« Il n’y a pas de différence, car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu. » (Romains 3 : 22-23)

 

« Tous ceux qui croient sont justifiés gratuitement par sa grâce, par la rédemption qui est dans le Christ Jésus. » (Romains 3 : 24)

 

De nombreuses différences existent entre les humains (fortune, éducation, religion, modes de vie, etc.). Mais sur le plan moral, il n’y a pas de différence pour Dieu : « Tous ont péché », déclare-t-il solennellement. « Il n’y a pas d’homme juste sur la terre qui ait fait le bien et qui n’ait pas péché » (Ecclésiaste 7 : 20). L’apôtre Paul dira : « Il n’y a pas de différence, car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu”. Dieu les considère tous comme désobéissants. Pourquoi ? Pour les condamner ? Non ! Afin de faire miséricorde à tous » (Romains 11 : 32).

Dieu veut pardonner nos péchés, et il a même le pouvoir de les effacer, de chasser tout ce qui est négatif en nous, et d’ouvrir l’accès à son paradis à tous ceux qui croient en Jésus. Il y a un seul Dieu et un seul médiateur entre Dieu et les hommes, « l’homme Christ Jésus, qui s’est donné lui-même en rançon pour tous » (1 Timothée 2 : 5-6). Le désir de Dieu est de nous rendre tous justes, pour nous donner accès au vrai bonheur, avec lui. Le sacrifice de Christ est suffisant pour cela.

Il y a bien une différence capitale entre les hommes. Pourquoi ? Parce qu’il « a plu à Dieu… de sauver ceux qui croient » (1 Corinthiens 1 : 21), seul critère qui fait la différence entre eux. Les uns ne croient pas Dieu et ne veulent pas de son plan de salut, ils sont perdus. Les autres le croient. Ils se reconnaissent pécheurs, se repentent et reçoivent la grâce de Dieu pour toutes leurs fautes. Ils sont sauvés pour toujours.

Un jour il sera trop tard pour croire. N’attendez pas ! - La Bonne Semence

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Plan de lecture quotidienne :

2 Samuel 23-24  2 Pierre 2

 

Celui qui respecte le commandement en aura la récompense 

 

Transmis par René Barrois le 07/05

 

« Celui qui méprise la parole devra en subir la peine, mais celui qui craint le commandement sera récompensé. » (Proverbe 13 : 13).

 

Une sainte crainte de la Parole de Dieu est un «placement à gros intérêts »

Les homme se croient plus sages que la parole de Dieu et se permettent de la juger.

Mais « je n’ai pas agi ainsi à cause de la crainte de mon Dieu. » disait Néhémie, l’homme de Dieu...

Nous tenons le livre divin pour infaillible, et lui prouvons notre estime par notre obéissance.

Cette parole ne nous donne pas de terreur mais nous cause une crainte filiale.

Nous ne sommes pas effrayés de ses menaces, parce que nous craignons ses commandements.

Cette crainte du commandement nous donne le repos de l’humilité que nous préférons à l’insouciance de l’orgueil.

Elle devient un guide dans nos mouvements, un stimulant pour monter la colline, un frein si nous la descendons.

Préservés du mal, et conduits sur la voie de la justice par l’obéissance à ses précepte, nous gagnons ainsi une conscience tranquille, la libération de toute crainte, l’assurance d’être agréable à Dieu, en un mot, le ciel sur la terre.

Les impies peuvent tourner en ridicule la vénération que nous avons pour la Parole de Dieu, mais nous n’y prenons pas garde.

Le prix de notre vocation céleste est pour nous une consolation suffisance et la récompense attachée à notre obéissance nous fait dédaigner les mépris des dédaigneux.- C.H. Spurgeon

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Plan de lecture quotidienne :

2 Samuel 22  2 Pierre 1

La direction divine

 

Transmis par René Barrois le 06/05

 

« Moi-même, l'Éternel m'a conduit chez la famille de mon seigneur. » (Genèse 24 : 27)

 

Nous devons arriver à une communion si étroite avec Dieu que nous n'ayons plus à lui demander continuellement sa direction. Notre sanctification est la preuve que nous sommes enfants de Dieu, et la vie normale d'un enfant, c'est l'obéissance. Quand l'envie le prend de désobéir, aussitôt sa conscience l'avertit. Dans le domaine spirituel, l'avertisseur, c'est le Saint-Esprit. Quand il nous dit : « stop ! » nous devons nous arrêter aussitôt, et rechercher ce qui doit être corrigé, de façon à discerner clairement la volonté de Dieu. Si nous sommes nés de l'Esprit, nous ne devrions pas demander sans cesse à Dieu sa direction. « Le Seigneur m'a conduit », dirons-nous, et en regardant en arrière, nous verrons le plan admirable que Dieu a lui-même tracé.

Nous n'avons pas de peine à voir la main de Dieu dans les événements exceptionnels, mais nous devons apprendre à reconnaître Dieu dans les petits détails de notre vie. Ne pensez jamais que le hasard soit autre chose que la manifestation de la volonté de Dieu, et soyez prêt à découvrir en tout ce qui vous arrive la main divine.

Prenez garde de ne pas vous faire une idole de la fermeté de vos convictions pour l'opposer à votre fidélité à Dieu. "Je ne ferai jamais cela", dites-vous ; mais vous le ferez certainement si Dieu l'ordonne. Personne n'a paru plus inconséquent que le Seigneur, mais il n'a jamais été inconséquent avec son Père. La logique chrétienne ne vient pas d'un principe, mais de la vie divine. C'est cette vie en nous qui, à tout moment, nous révèle la volonté de Dieu. Il est plus facile d'être un fanatique qu'un vrai fidèle, car être fidèle à Dieu peut être extrêmement humiliant. - Oswald Chambers

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Plan de lecture quotidienne :

2 Samuel 20-21    1 Pierre 5

Gardez-vous des faux docteurs ou prophètes de la fin des temps

 

Transmis par René Barrois le 05/05

 

« Plusieurs faux prophètes s’élèveront, et ils séduiront beaucoup de gens...Car il s’élèvera de faux Christ et de faux prophètes ; ils feront de grands prodiges et des miracles, au point de séduire s’il était possible, même les élus... C’est pourquoi, vous aussi tenez-vous prêts, car le Fils de l’homme viendra à l’heure où vous n’y penserez pas. » (Matthieu 24 : 11, 24, 44)

 

Jésus annonce qu’il reviendra et il a annoncé des signes avant-coureurs de son retour. Il avertit son peuple des temps difficiles qui arriveront, il nous demande de nous préparer, nous aussi, tenons-nous prêts, car le Fils de l’homme viendra à l’heure où nous n’y penserons pas.

 

L’un des plus grands signes annoncés, c’est l’apostasie.

« Car il viendra un temps où les hommes ne supporterons pas la sainte doctrine ; mais, ayant la démangeaisons d’entendre des choses agréables, ils se donneront une foule docteurs selon leurs propres désirs, détournerons l’oreille de la vérité, et se tournerons vers les fables. » (2 Timothée 4 : 3-4).

L’apostasie est graduel. Il y a deux sortes d’apostasie :

L’apostasie doctrinale, c’est-à-dire le rejet d’une partie, ou de la totalité des enseignements de Christ et des apôtres ,les compromis avec les œuvres du monde(1 Timothée 4 : 1 ; 2 Timothée 4 : 3).

L’apostasie morale, c’est-à-dire le fait qu’un enfant de Dieu cesse de demeurer en Christ, pour redevenir esclave du péché et de l’immoralité (Esaïe 29 : 13 ; Matthieu 23 : 25-28 ; Romains 6 : 15-23 et 8 : 6-13).

« Il a été donné à l’apôtre Paul d’énoncer une semblable prophétie. Il déclare que l’antichrist sera le fils de perdition, enfanté pour ainsi dire par la perdition ; qu’il s’élèvera contre tout ce qui est appelé Dieu et que, s’asseyant au temple de Dieu, il se présentera lui-même comme étant Dieu (2 Thessaloniciens 2 : 4). Il n’admettra qu’une religion, le culte de lui-même, l’homme devenu Dieu !

Tel est le tableau de l’apostasie chrétienne dont les premiers signes sont apparus au temps des apôtres déjà. Le mystère d’iniquité opère déjà, dit Paul. Et Jean : l’antichrist vient, comme… le vrai Christ vint, et les siens ne le reçurent pas (Jean 1 : 11 ; 1 Jean 2 : 18). Elle s’est développée au cours des siècles et se développera jusqu’à son plein épanouissement. Les apostats auront alors entièrement rejeté tout ce qui est du vrai Dieu et de son Christ, tant dans le monde juif que dans le monde christianisé. » (*)

Lorsque Jésus a pointé la première mise en garde « prenez garde aux faux prophètes » (Matthieu 24 : 3-5). Les disciples vinrent en particulier lui faire cette question : dis-nous, quand cela arrivera-t-il, et quel sera le signe de ton avènement et de la fin du monde ? Jésus leur répondit : prenez garde que personne ne vous séduise. Car plusieurs faux prophètes, ministres de Satan, viendront sous mon nom, disant : C’est moi qui suis le Christ. Et ils séduiront beaucoup de gens.

Aujourd’hui, ces faux prophètes sont au travail. Ils séduisent beaucoup de gens, même des croyants, particulièrement ceux qui sont peu ancrés dans la vie spirituelle.

Satan est subtil. S’il recherche l’ombre pour oeuvrer, il n’hésite pas à se transformer en « ange de lumière » pour mieux séduire afin d’égarer par des discours et insinuations. Il n’y a rien d’étonnant que ses ministres se déguisent en serviteurs de justice. (2 Corinthiens 11 : 13-15). Satan et ses ministres ont l’ingéniosité à tromper en utilisant des aspects attractifs, voire moraux. Ils tiennent un langages persuasif (Romains 16 : 17-18), citent la Bible, font souvent des miracles, séduisent les foules et même des enfants de Dieu... Les personnes naïves, désemparées, peu informées et mal enracinées dans la Parole de Dieu se laissent berner par une telle fourberie. Pour ceux qui n’ont pas une foi totale en la vérité, ils tomberont sous cette puissance.

Ces imposteurs cherchent par tous le moyens à se faire des disciples. Ils parlent de leur église, de leurs adeptes, de visions et de révélations surnaturelles. Ils sont affamés de pouvoir et de possessions. Ils prêchent des faussetés pour séduire à tout prix. Ils proclament un autre Evangile que celui de la Sainte Bible afin de satisfaire leurs ambitions (Galates 1 : 6-9). Leurs messages sont centrés principalement sur la richesse, la santé « l’évangile de la prospérité » et les guérisons qu’ils prétendent opérer sont généralement invérifiables. Néanmoins, il peut y avoir de vrais miracles dont l’origine est satanique (Exode 7 : 11-12 ; 2 Timothée 3 : 8).

 

Comment discerner les faux docteurs ou des faux prophètes ?

Nos impressions et sentiments ne sont pas un indicateur suffisamment sûr pour détecter qui est un vrai ou un faux prédicateur de Christ. Posons-nous plutôt les questions suivantes :

Les citations bibliques des prédicateurs sont-elles exactes et prises dans leur contexte ?

Ses enseignements sont-il conforme à la Bible (Actes 17 : 11) ?

Proclament-ils que Jésus-Christ est le Fils de Dieu (1 Jean 2 : 23), venu en chair dans ce monde (1 jean 4 : 1-3) pour sauver les pécheurs ?

Les prophéties annoncées trouvent-elles leur accomplissements (Deutéronome 18 : 20-22) ou, par contre sont-elles dites en termes vagues ?

Le propre style de vie de ceux qui disent parler au nom du Seigneur est déterminent. Est-il cohérent avec la morale biblique (Matthieu 12 : 33-37) ?

Ils aiment et recherchent les richesses et les biens terrestres, les vêtements somptueux, les belles et grandes maisons, les voitures de luxes, les suites cossues dans les hôtels. Ils sont adeptes de l’évangile de prospérité au dépend de ceux qu’ils dépouillent !

Jésus dit : « Gardez-vous des faux prophètes...ce sont des loups ravisseurs. Vous les reconnaîtrez à leurs fruits...Tout arbre qui ne porte pas de bons fruits est coupé et jeté au feu. C’est donc à leurs fruits que vous les reconnaîtrez. Ceux qui disent : Seigneur, Seigneur ! N’entrerons pas tous dans le royaume des cieux, mais celui-là seul qui fait a volonté de mon Père qui est dans les cieux, plusieurs me diront en ce jour-là : Seigneur, Seigneur, n’avons-nous pas prophétisé par ton nom ? n’avons-nous pas chassé des démons par ton nom ? Et n’avons-nous pas fait beaucoup de miracles par ton nom ? Alors je leur dirai ouvertement : Je ne vous ai jamais connus, retirez-vous de moi, vous qui commettez l’iniquité. » (Matthieu 7 : 15-23).

 

Il faut être vigilants, nous tenir sur nos gardes. Ne nous laissons pas séduire par les apparences extérieures. Nous devons persévérer dans la prière et rester fidèle à l’enseignement de la Bible. - René barrois

(*) Biblequest.

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Plan de lecture quotidienne :

2 Samuel 18-19    1 Pierre 4

Quel espoir pour Israël ?

 

Transmis par René Barrois le 04/05

 

« En effet, je ne veux pas, frères et soeurs, que vous ignoriez ce mystère, afin que que vous ne vous preniez pas pour des sages ; une partie d'Israël est tombée dans l'endurcissement jusqu'à ce que l'ensemble des non-Juifs soit entré. Et a ainsi tout Israël sera sauvé, comme le dit l'Écriture : Le libérateur viendra de Sion et il écartera de Jacob les impiétés. Et telle sera mon alliance avec eux, lorsque j'enlèverai leurs péchés. » (Romains 11 : 25-27)

 

Comment se fait-il que les plus puissantes nations du monde n’arrivent pas à régler la question du Proche-Orient ? Quand les efforts de certains hommes d’État paraissent sur le point d’aboutir, pourquoi la situation empire-t-elle à nouveau ? À vue humaine, la paix semble s’éloigner de plus en plus, tant les passions haineuses sont exacerbées entre Palestiniens et Israéliens.

Les chrétiens savent que le peuple d’Israël est, de tout temps, aimé de Dieu. Pourtant, au cours des siècles, l’Éternel a jugé bon de le faire passer par de très nombreuses épreuves ! La raison en a toujours été que ce peuple s’est détourné de lui. Aujourd’hui, les Israéliens cherchent à s’imposer par leurs capacités intellectuelles et techniques, ainsi que par leur puissance militaire. Toutefois, non seulement ils ne veulent pas croire en Jésus-Christ qui seul pourrait leur donner la paix, mais ils renient dans la pratique l’Éternel, le Dieu de leurs ancêtres.

Peut-être que, dans ses plans, Dieu permettra une amélioration de la situation. Mais elle ne sera que provisoire, car il a annoncé qu’un jour Jérusalem sera environné d’armées ennemies, au bord de la ruine définitive. C’est à ce moment-là seulement que le Messie se présentera à ceux qui seront dans le désespoir total.

Lorsqu’ils le reconnaîtront, ils diront : D'où viennent ces blessures que tu as aux mains ? (Zacharie 13 : 6). Elles attesteront qu’il est ce Jésus qu’ils ont mis à mort, et dont ils ont dit : Que son sang retombe sur nous et sur nos enfants ! (Matthieu 27 : 25). Ils seront bouleversés à sa vue, humiliés et attristés du crime qu’ils ont commis (Zacharie 12 : 10). Quand ce travail de conscience et de cœur sera terminé, alors le Messie les délivrera du malheur. Il détruira les armées assemblées contre Jérusalem, comme au temps du roi Ézéchias quand, en une nuit, un ange a détruit celles du roi d’Assyrie (2 Chroniques 32 : 21).

Les événements que nous vivons sont bien conformes aux indications de la Bible. L’enlèvement des croyants approche, qui sera suivi rapidement par les jugements apocalyptiques préalables à la restauration d’Israël par Christ. - Plaire au Seigneur

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Plan de lecture quotidienne
2 Samuel 15-17    1 Pierre 3

Accepté par le Père

Transmis par René Barrois le 03/04

Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles” (2 Corinthiens 5 :17).

Je crois que la justification par la foi est la vérité fondamentale du christianisme. On ne peut pas connaître le véritable repos et la paix tant que l’on n’est pas convaincu que l’on ne pourra jamais être juste aux yeux de Dieu par nos propres œuvres.

Si tu ne comprends pas la justice parfaite de Christ qui est tienne par la foi, tu vas mener une vie de dur labeur et de sueur, en essayant de plaire à Dieu à travers une tentative légaliste et désespérée d’établir ta propre justice. Mais la vérité, c’est que tu n’auras jamais aucune justice à apporter au Seigneur.

Un passage bien connu d’Ésaïe nous dit que toute notre justice n’est que vêtements souillés devant Dieu (Ésaïe 64:6). Cela ne veut pas dire que Dieu méprise nos bonnes œuvres – pas du tout. Dieu veut nos œuvres justes et nous devrions en faire autant que possible. Mais si tu penses qu’elles te permettent de mériter le salut, alors elles ne sont rien de plus que des vêtements souillés.

Évidemment, tu peux te sentir bien à cause des bonnes œuvres que tu fais. Par exemple, tu vas certainement goûter un moment de victoire et de satisfaction quand tu résistes à la tentation. Mais le jour suivant, tu recommences à pécher et tu perds rapidement ta joie. Tu penses que le Seigneur est en colère contre toi et tu penses : “Je n’y arriverai jamais.”

Une telle montagne russe de hauts et de bas émotionnels peut déboucher sur toute une vie de misère. Pourquoi ? Parce que tu essayes de plaire à Dieu par la chair !

Bien-aimé, aucune justice de la chair ne tiendra jamais devant Dieu. Même la meilleure personne parmi nous – la plus morale et la plus sainte – a échoué lamentablement à atteindre la gloire de Dieu. Personne ne peut être accepté aux yeux du Père par ses propres œuvres. Mais la bonne nouvelle, c’est que nous sommes totalement acceptés en Jésus-Christ. - David Wilkerson

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Plan de lecture quotidienne

 Samuel 12-14    1 Pierre 1 : 22 à 2 : 1-25

 

À l’Agneau sur son trône

 

Transmis par René Barrois le 02/05

 

À l’Agneau sur son trône apportons la couronne.


Il l’a conquise sur la croix ; il est le Roi des rois ! 
Éveille-toi, mon âme ! Bénis, adore, acclame


Avec tous les anges du ciel, Jésus, Emmanuel !

 

 

À l’Agneau sur son trône, l’encens et la couronne.


Car il est le Verbe incarné, d’une vierge il est né.


Ô sagesse profonde ! Le créateur du monde


Pour vaincre le mal triomphant s’est fait petit enfant !

 



Il eut la croix pour trône, l’épine pour couronne.
Mais le Père a glorifié son Fils crucifié.
Au Prince de la vie, la mort est asservie ;
Hors de la tombe il est monté ; Christ est ressuscité !

À l’Agneau sur son trône, la palme et la couronne,
Car il est le Prince de paix, il règne désormais.
Les fureurs de la guerre s’éteindront sur la terre
Où renaîtront, comme jadis, les fleurs du paradis !

À l’Agneau tous les trônes et toutes les couronnes !
Il est le Maître souverain, les temps sont dans sa main.
Rendons l’honneur suprême à celui qui nous aime
Et qui revient victorieux pour nous ouvrir les cieux ! - George J. Elvey – Ruben Saillens

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Plan de lecture quotidienne :

2 Samuel 9-11  1 Pierre 1 : 1-21

 

Où es-tu ?

 

Transmis par René Barrois le 01/05

 

« Le lendemain, il (Jean) voit Jésus venant à lui, et il dit : Voilà l'agneau de Dieu, celui qui ôte le péché du monde ! » (Jean 1 : 29)

 


C'est la question posée à Adam par le Créateur après sa désobéissance. Placé dans les délices du jardin d'Éden, il avait eu jusque-là des relations heureuses avec son Dieu. Hélas ! le péché vient d'entrer dans le monde et par le péché la mort. La sentence divine sera mis à exécution. La mort a passé à tous les hommes. Elle est dès lors, elle aussi, inscrite dans nos gènes (Romains 5 : 12). Adam est devenu le chef d'une race coupable et donc mortelle. Il se cache, il a peur. Dieu va-t-il le frapper d'un jugement immédiat ? Non, il s'approche, le cherche, l'appelle : Où es-tu ?

 

La grâce de Dieu a trouvé un moyen merveilleux pour rétablir, sur les bases d'une divine justice, les relations perdues, en habillant Adam, en le couvrant d'un vêtement de peaux de bêtes qui parle d'un sacrifice accompli, préfiguration du sacrifice de Jésus-Christ.

Où es-tu ? Cette question reste posée à chacun par Dieu lui-même. Dans sa grâce, il cherche l'homme perdu pour le sauver, en vertu du parfait sacrifice dont celui du jardin d'Éden n'était qu'une faible image, le sacrifice de Jésus-Christ, l'Agneau de Dieu, à la croix du Calvaire.

 

Ami, Dieu t'interpelle. À toi aussi est posée cette question : Où es-tu ? Écoute, Dieu te cherche ; ouvre les yeux à la terrible réalité de ton état de perdition, regarde à la croix où Jésus est mort pour toi. Crois en lui et tu seras sauvé pour l'éternité. - Graine d’ensemencement

 

Plan de lecture quotidienne :

 

Quel espoir pour Israël ?

 

Transmis par René Barrois le 04/05

 

« En effet, je ne veux pas, frères et soeurs, que vous ignoriez ce mystère, afin que que vous ne vous preniez pas pour des sages ; une partie d'Israël est tombée dans l'endurcissement jusqu'à ce que l'ensemble des non-Juifs soit entré. Et a ainsi tout Israël sera sauvé, comme le dit l'Écriture : Le libérateur viendra de Sion et il écartera de Jacob les impiétés. Et telle sera mon alliance avec eux, lorsque j'enlèverai leurs péchés. » (Romains 11 : 25-27)

 

Comment se fait-il que les plus puissantes nations du monde n’arrivent pas à régler la question du Proche-Orient ? Quand les efforts de certains hommes d’État paraissent sur le point d’aboutir, pourquoi la situation empire-t-elle à nouveau ? À vue humaine, la paix semble s’éloigner de plus en plus, tant les passions haineuses sont exacerbées entre Palestiniens et Israéliens.

Les chrétiens savent que le peuple d’Israël est, de tout temps, aimé de Dieu. Pourtant, au cours des siècles, l’Éternel a jugé bon de le faire passer par de très nombreuses épreuves ! La raison en a toujours été que ce peuple s’est détourné de lui. Aujourd’hui, les Israéliens cherchent à s’imposer par leurs capacités intellectuelles et techniques, ainsi que par leur puissance militaire. Toutefois, non seulement ils ne veulent pas croire en Jésus-Christ qui seul pourrait leur donner la paix, mais ils renient dans la pratique l’Éternel, le Dieu de leurs ancêtres.

Peut-être que, dans ses plans, Dieu permettra une amélioration de la situation. Mais elle ne sera que provisoire, car il a annoncé qu’un jour Jérusalem sera environné d’armées ennemies, au bord de la ruine définitive. C’est à ce moment-là seulement que le Messie se présentera à ceux qui seront dans le désespoir total.

Lorsqu’ils le reconnaîtront, ils diront : D'où viennent ces blessures que tu as aux mains ? (Zacharie 13 : 6). Elles attesteront qu’il est ce Jésus qu’ils ont mis à mort, et dont ils ont dit : Que son sang retombe sur nous et sur nos enfants ! (Matthieu 27 : 25). Ils seront bouleversés à sa vue, humiliés et attristés du crime qu’ils ont commis (Zacharie 12 : 10). Quand ce travail de conscience et de cœur sera terminé, alors le Messie les délivrera du malheur. Il détruira les armées assemblées contre Jérusalem, comme au temps du roi Ézéchias quand, en une nuit, un ange a détruit celles du roi d’Assyrie (2 Chroniques 32 : 21).

Les événements que nous vivons sont bien conformes aux indications de la Bible. L’enlèvement des croyants approche, qui sera suivi rapidement par les jugements apocalyptiques préalables à la restauration d’Israël par Christ. - Plaire au Seigneur

 

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