Mars 2021

27/02/2021 16:24

Plan de lecture quotidienne :

Josué 7-9    Actes 28 : 17-31

 

La persévérance

 

Transmis par René Barrois le 31/03

 

Nous pouvons, d’une façon réelle et directe, participer, avec Dieu, dans l’avancement de Son Royaume. Et c’est le plus difficile, parce qu’il n’y a probablement pas de ministère qui suscite autant d’opposition de l’ennemi.

 

Il ne craint pas particulièrement la prière. Toutes religions prient, et la plupart avec beaucoup plus d’intensité et de discipline que de nombreux chrétiens ! Mais c’est la prière selon la parole de Dieu, selon Sa volonté qui lui fait vraiment peur…

 

La première chose dont vous allez avoir besoin est la persévérance. Lisez avec moi ce que l’apôtre Paul dit, dans l’épître aux Romains :

 

«Dieu, que je sers en mon esprit dans l’Évangile de son Fils, m’est témoin que je fais sans cesse mention de vous, demandant continuellement dans mes prières d’avoir enfin, par sa volonté, le bonheur d’aller vers vous.» (Romains. 1 :9-10)
Sans cesse’... ‘continuellement’... ‘enfin, par sa volonté...’. Paul ne priait pas simplement une fois, et lorsqu’il n’a pas vu l’exaucement, se disait : «tant pis, ce n’est probablement pas la volonté de Dieu...».

 

Non, il continuait. Ailleurs il dit qu’il a été ‘empêché’ par l’ennemi ! Il faut de la persévérance et du discernement pour savoir si un obstacle est là parce que Dieu n’ouvre pas la porte, ou si l’ennemi essaie de vous empêcher !

 

«Seigneur, je veux vraiment apprendre à prier. Donne-moi de la persévérance. Aide-moi à poursuivre ce cours, et de le mettre en pratique pour l’avancement de ton Royaume. Au Nom de Jésus, amen.» - René de Groot

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Plan de lecture quotidienne :

Josué 5-6   Actes 28 : 1-16

 

Je t'aime d'un amour éternel...

 

Transmis par René Barrois le 30/03

 

« Je t'aime d'un amour éternel; c'est pourquoi je te conserve Ma bonté. » (Jérémie 31 : 3)

 

Par cet amour agissant, nous avons été retirés de la main de « Pharaon », et nous avons été attirés vers Dieu, notre Père céleste en Jésus-Christ. Cette puissance est constamment active en notre faveur; cet amour brise les liens qui nous lient à « l'Egypte » - le monde, le péché, la chair - et nous attache en même temps à notre Sauveur. Ainsi s'opère notre sanctification, qui est l'oeuvre du Saint-Esprit, opérant en nous par la Parole écrite et rendant efficace l'oeuvre de la croix dans nos vies.

Plus nous sommes livrés à notre Seigneur et plus nous sommes conscients de Sa présence. Quand nous sommes prêts à accepter Sa volonté, Il nous affranchit en nous retirant hors de ce qui neutralise notre témoignage ou voile Sa communion. Notre sanctification ne se fait pas par chocs ou heurts, à moins que nous ne Lui désobéissions, mais dans la tranquillité et le repos. Le Saint-Esprit, n'est-Il pas l'huile d'onction, n'agit-Il pas comme la rosée? Son action est plus forte qu'aucun lien, qu'aucune habitude.

Apportons-Lui nos habitudes, nos attitudes, nos conceptions mentales provenant de la vaine tradition du siècle présent religieux ou incrédule. Que tout ce qui appartient à la vie du vieil homme soit dévoilé et détruit par l'Esprit de vie et d'amour. La vie du « moi religieux » fait toujours la guerre à la vie de l'Esprit ; la « piété » traditionnelle et ses faux raisonnements menacent et disputent la vocation que nous avons faite nôtre. Combien peu de chrétiens sont sur leur garde dans ce domaine! Combien confondent la vie, le zèle et le service « religieux » avec ce qui est vraiment spirituel ! Que notre vie psychique, nos pensées et notre mentalité subissent l'influence sanctifiante et libératrice de cet amour qui attire à Dieu.

Tout cela, l'amour de Dieu le fait, cet amour dont nous avons tellement besoin, cet amour qu'Il est prêt à nous témoigner toujours davantage. Cet amour préside à la vie de Son enfant et ambitionne pour lui le meilleur. Il est répandu dans nos coeurs par le Saint-Esprit, afin de nous attirer à Christ et de faire paraître en nous ce qui provient de Lui. - H.E. Alexander

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Plan de lecture quotidienne :

Josué 3-4   Actes 27 : 27-44

 

Seigneur, aide-moi à user de sagesse dans mes relations…

 

Transmis par René Barrois le 29/03


« Tends l'oreille pour écouter les paroles des sages ; applique ton cœur à ma connaissance. En effet il est bon que tu les gardes au fond de toi et qu’elles soient toutes présentes sur tes lèvres. Pour que ta confiance soit placée en l’Eternel, je veux t’instruire aujourd’hui, oui, toi. N’ai – je pas déjà mis par écrit à ton intention des conseils et des paroles de connaissance pour t’enseigner des choses sûres, des paroles vraies afin que tu répondes par des paroles vraies à celui qui t’envoie. » (Proverbes 22 : 17-21)


Avez-vous déjà remarqué qu’en fonction des personnes avec qui nous passons notre temps, des personnes que nous écoutons, nous avons tendance à agir différemment ? Que nous le voulions ou pas, nous pouvons facilement nous laisser influencer par ce que nous entendons, ce que nous apprenons, ce que nous voyons, qui va peu à peu forger notre conception du monde et par là même, influencer notre manière d’agir et d’interagir avec les autres.


Le livre des proverbes, au chapitre 13, verset 20 nous dit également que « Celui qui marche en compagnie des sages devient sage et celui qui fréquente des hommes stupides se retrouvera en mauvaise posture ».

En fréquentant des personnes sages et de bon conseil, nous aurons tendance à devenir plus comme elles, au contraire, si nous fréquentons des personnes de mauvais conseil, nous aurons tendance à écouter leurs mauvais conseils et à agir d’une manière peu sage.
Il est donc important de faire attention à nos relations et à la manière dont elles nous influencent. Non pas que nous devions nous exclure de la société, pas du tout, mais que pour veiller sur nos actes et nos pensées, nous devons aussi veiller aux sources auxquelles nous sommes exposés. Il nous appartient de choisir qui nous voulons écouter et ce que nous voulons retenir.

Quand nous appartenons à Jésus Christ, nous avons ce désir de Lui ressembler plus chaque jour, pour cela, passez du temps avec Lui, choisissez d’écouter Sa Parole et de retenir Ses enseignements, de baser vos pensées et vos actions sur Ses conseils divins. Si vous recherchez la sagesse de Christ, vous ne serez pas déçus. Dans son amour pour nous, Il s’est donné Lui-même, afin que quiconque croit en Son sacrifice suite auquel Lui, le Fils de Dieu est ressuscité prenant nos péchés sur Lui, ait la vie. C’est cette sagesse de Jésus Christ qui mène à la vie. Et si vous ne pouvez pas encore dire que vous appartenez à Jésus Christ, il est encore temps de se rapprocher de Lui !

Comme le dit Salomon dans le livre des Proverbes (22 : 18 Pour que ta confiance soit placée en l’Eternel), écouter les paroles des sages n’est pas sans but : le but de cette écoute, de cette attention prolongée est de pouvoir placer sa confiance en Dieu. L’expérience de vie de celui qui connaît Dieu témoigne de la bonté de Dieu et de Sa grâce envers les êtres humains. Le témoignage de ce que Dieu fait dans la vie de chacun devrait nous encourager, nous fortifier et nous mener à placer toujours plus notre confiance en Lui, voyant combien Il est bon.

Prions ensemble :

Seigneur, merci pour Ta sagesse, merci de ce que Tu veux m’enseigner à être sage. Je veux marcher à tes côtés chaque jour, et être transformé par cette marche avec Toi jour après jour. Donne-moi la sagesse de choisir qui écouter, avec qui passer du temps, afin que mes actes et mes pensées te rendent gloire en tout temps. Amen. - Julie

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Plan de lecture quotidienne :

Josué 1-2   Actes 27 : 1-26

 

7 choses admirables concernant Jésus-Christ

 

Transmis par René Barrois le 28/03

 

Dans un petit village italien du Piémont vous trouverez une église qui n'est pas comme les autres. A l'intérieur, le long des murs, vous remarquerez plusieurs statues représentant des prophètes de l'Ancien Testament. L'index de la main droite de chacune d'elle est dirigé vers la même direction. Toutes convergent vers le même point. Vous remarquerez alors une statue plus grande que les autres, représentant Jésus-Christ. Toutes ces statues veulent simplement dire la même chose: « Nous annonçons la venue de Jésus ».

Vous le savez, le prophète qui a probablement parlé le plus de Jésus-Christ est le prophète Esaïe. Il est celui qui a annoncé sa naissance. Ésaïe 9 : 5 « Car un enfant nous est né, un Fils nous est donné, et la domination reposera sur son épaule. 0n l'appellera Admirable, Conseiller, Dieu puissant, Père éternel, Prince de la paix ».

Mais c'est aussi Esaïe qui a annoncé sa mort en écrivant Ésaïe 53 : 2-10.

Dans les mots magnifiques décrivant celui qui devait naître à Bethléhem, je veux en retenir un seul : ADMIRABLE!

 

Admirable

Heureusement, nous n'employons pas souvent cet adjectif car qu'est-ce qui est vraiment admirable dans ce que font les hommes? Consacrons ce mot à celui qui était, qui est et qui sera "admirable".

Limitons-nous à 7 choses, 7 caractéristiques, 7 étapes du parcours admirable de notre Seigneur Jésus :

 

Admirable dans sa naissance - dans sa vie - dans sa mort - dans sa résurrection - dans son ascension - dans son ministère présent - dans son retour.

 

Admirable dans sa naissance

Quand le temps est arrivé, quand à l'horloge de Dieu l'heure a sonné, Dieu a dit: « C'est le moment pour mon Fils de quitter la gloire du ciel et de descendre sur la terre pour sauver l'homme de ses péchés ». Comment l'a-t-il envoyé ? Il aurait pu l'envoyer sous la forme d'un ange, ou d'un un roi puissant. Il aurait pu l'envoyer directement comme adulte. Non, il a décidé de l'envoyer comme un faible enfant, dans une famille toute simple afin de connaître tous les problèmes de l'enfance, puis toutes les épreuves et les tentations qui sont le propre de l'homme.

Dieu a choisi la femme qui enfanterait son Fils. Son choix s'est porté sur une certaine Marie, une jeune fille craignant Dieu, de qui l'on rendait un bon témoignage. Nous apprenons par l'évangile de Luc (Luc 1 : 26-38) que Dieu a envoyé l'ange Gabriel à Nazareth, c'est là que vivait Marie. L'ange lui annonce qu'elle aura un fils « Tu lui donneras le nom de Jésus, il sera grand et sera appelé Fils du Très-Haut, et le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David son ancêtre et il régnera sur la maison de Jacob éternellement, et son règne n'aura point de fin ».

Marie dit à l'ange: « Comment cela se fera-t-il puisque je suis vierge ? L'ange lui répondit : Le Saint-Esprit viendra sur toi et la puissance du Très-Haut te couvrira de son ombre ».

Le message a été donné non seulement à Marie mais ensuite à Joseph ,son fiancé, et ils ont accepté cette extraordinaire responsabilité.

Ce sera un peu plus tard, le voyage à Bethléhem dont nous aimons nous souvenir au mois de décembre. Et c'est au son de la musique du ciel, entendue par les bergers que l'enfant allait naître. Quelle extraordinaire naissance! Depuis qu'Adam et Eve avaient été créés par Dieu, aucun enfant n'était venu au monde sans une relation intime entre homme et femme.

Dans la naissance de Jésus, aucune intervention humaine. Tout s'est fait à l'échelon du divin. Au Ciel, Jésus est sans mère, et dans l'étable de Bethléhem il était en réalité sans père.

Nous le savons, la naissance miraculeuse de Jésus n'a pas fini de faire parler. C'est un miracle. Un miracle ne s'explique pas, il est fait pour être cru. La naissance de Jésus étant admirable, miraculeuse, elle donne la possibilité de se réjouir pleinement le jour de Noël et elle donne la possibilité de découvrir d'autres choses admirables concernant le Fils de Dieu.

 

Une vie admirable

Il y a beaucoup de choses dans le Nouveau Testament décrivant sa vie.

Premièrement il n'a jamais commis de péché. L'apôtre Pierre l'affirme en ces termes (1 Pierre 2 : 22) « Lui qui n'a point commis de péché et dans la bouche duquel il ne s'est point trouvé de fraude ». L'auteur de l'épître aux Hébreux le dit : (Hébreux 4 : 15) « Il a été tenté comme nous en toutes choses, sans commettre de péché ».

Il y a eu à travers les siècles, de pars le monde, des hommes de bien, mais aucun n'était parfait. Un seul l'a été, c'est Jésus Christ. Personne n'a pu prouver une chose mauvaise dans toute sa vie. Si bien que Pilate n'a pas pu dire autre chose que « je ne trouve point de crime en Lui ».

Un pasteur annonça qu'il y aurait un service funèbre dans son église, sans indiquer le nom de la personne décédée. La foule est venue. Le cercueil était devant, avec des fleurs tout autour. Le pasteur n'a pas rendu hommage au défunt, mais au contraire a énuméré toute une liste de péchés et dit que le châtiment éternel l'attendait. Quand il eu fini de prêcher, il invita l'assemblée à venir voir ce terrible pécheur. Les gens ont défilé et ont eu la surprise de constater que le cercueil était vide, mais au fond on avait disposé un grand miroir, dans lequel chacun pouvait se regarder. D'une manière un peu brutale, ce pasteur avait voulu montrer que nous sommes tous des pécheurs. Quelle différence avec Jésus dans lequel il n'y avait pas de péché !

Il y a certainement des minutes, des heures où nous ne péchons pas, mais il y a-t-il vraiment un jour pendant lequel nous ne péchions d'aucune manière ? Mais quant à Jésus, toutes les minutes, toutes les heures, toutes les années de sa vie, Il n'a jamais été effleuré par le péché.

Une dernière chose concernant sa vie. Vous le savez, il fit des miracles étonnants. Jean à la fin de son évangile dit : (Jean 21 : 25) « Jésus a fait encore beaucoup d'autres choses, si on les écrivait en détail, je ne pense pas que le monde même put contenir les livres qu'on écrirait ».

Il touchait les aveugles et ils voyaient. Il touchait les paralytiques et ils marchaient. Il a guéri les lépreux, Il a calmé la tempête, Il a ressuscité des morts. Il faisait des choses extraordinaires, car toute la puissance du Ciel était avec Lui.

 

Une mort admirable

Il est mort comme aucun autre homme. C'est certain que quelques-uns ont donné leur vie pour un autre ou pour certaines grandes causes. Mais Jésus est le seul à être mort pour sauver les hommes et leur donner la possibilité d'aller un jour auprès de Lui.

Il n'avait pas à mourir. Il a dit  : « Personne ne m'ôte la vie, j'ai le pouvoir de la donner et j'ai le pouvoir de la reprendre » (Jean 10 : 18) et encore: « Il n'y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis » (Jean 15 : 13).

Faut-il rappeler la scène de la crucifixion? Il y a quelques années en visitant les lieux à Jérusalem, je relisais ce récit. De bonne heure le matin on l'obligea à porter sa croix en direction du Golgotha, mais il n'avait plus la force de la porter, si bien qu'on la fit porter par Simon. En arrivant au lieu appelé Le Crâne, on étendit son corps sur la croix. Il me semble entendre les coups de marteau enfonçant les clous dans ses mains et ses pieds, puis la croix est dressée pendant six longues heures. Il a souffert terriblement. Le soleil s'est voilé et les ténèbres sont descendues sur la Terre. Finalement, à trois heures de l'après-midi, il a poussé un cri : « tout est accompli » et Il a remis son esprit entre les mains de Son Père. En disant ces paroles, il expira.

Il a fait tout cela pour moi et pour chacun d'entre vous. Si nous avions été les seuls sur la terre, Il l'aurait fait pour nous.

Une question: depuis que le Christ a fait cela pour vous, qu'avez-vous fait pour lui? Que faites-vous pour Celui qui vous aime et s'est donné pour vous sauver ?

Une résurrection admirable

C'est vrai, ils ont crucifié Jésus et l'ont mis dans un tombeau. Mais aucune tombe sur terre ne pouvait le conserver. Le troisième jour comme Il l'avait annoncé, Il est sorti de la tombe. Vivant pour toujours. La résurrection prouve qu'il était vraiment le Fils de Dieu.

Parlant à un chef musulman, un chrétien lui disait: « Nous croyons que Dieu s'est révélé aux hommes". Le musulman de répondre: "Nous croyons aussi cela » :

 

Nous croyons que Dieu s'est révélé dans un livre appelé la Bible.

Nous croyons que Dieu s'est révélé dans un livre qui s'appelle le Coran.

Nous croyons que Dieu s'est révélé dans un homme appelé Jésus-Christ.

Nous croyons que Dieu s'est révélé dans un homme appelé Mahomet.

Nous croyons que Jésus-Christ est mort pour sauver le monde.

Nous croyons que Mahomet est mort pour son peuple.

Nous croyons et nous avons la certitude que Jésus-Christ est ressuscité et que plus de

500 personnes l'ont vu après sa résurrection.

Nous n'avons aucune information après la mort de notre prophète...

 

Oui, Jésus est le seul et l'unique qui a été victorieux de la mort et qui est sorti triomphant du tombeau.

La différence entre le christianisme et toutes les autres religions, c'est que tous leurs fondateurs sont morts. Sur tous les tombeaux de Mahomet en Arabie, de Confucius en Chine, de Bouddha en Inde, on pourrait mettre: "ici repose tel et tel". Ce n'est pas le cas à Jérusalem, le tombeau est vide, la pierre qui le fermait a été roulée. Quelle résurrection admirable !

 

Son ascension admirable

Au printemps 1961, le premier homme s'élançait dans l'espace et la science applaudissait. Mais en réalité, ce n'était pas la première fois qu'un homme s'élevait dans l'espace.

Après 40 jours passés sur terre après la résurrection, Jésus conduisit ses disciples sur la colline dominant Jérusalem, le Mont des Oliviers. Et là, alors que les disciples restaient la bouche ouverte d'étonnement, Jésus s'élevait dans les nues et disparaissait à leurs yeux. Juste un nuage lui suffisait pour retourner dans la gloire du Ciel, qu'il connaissait déjà avant que le monde existât. Quel retour glorieux ce fut !

Nous comprenons mieux cette parole de Philippiens 2 : 9 : « C'est pourquoi Dieu l'a souverainement élevé et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom, afin qu'au nom de Jésus tout genoux fléchisse dans les cieux, sur la terre et sous la terre et que toute langue confesse que Jésus Christ est Seigneur à la gloire de Dieu le Père ».

Et chose merveilleuse, après que Jésus soit retourné au ciel, le Saint-Esprit est venu, 10 jours plus tard, pour habiter le cœur de tous ceux qui croiraient dans le sacrifice du Fils.

 

L'admirable travail présent

Que fait Jésus au Ciel en ce moment? Il est en train de prier pour nous!

Très souvent, nous recevons des lettres disant : « Je prie pour vous ». C'est un grand encouragement, c'est vrai. Mais il y a mieux encore. Au Ciel, notre Seigneur Jésus-Christ parle au Père et Il intercède pour moi, jour après jour. Nous ne connaîtrons que lorsque nous serons dans Sa présence, ce qu'a signifié Son ministère pour chacun de Ses enfants.

Jésus, avant de quitter ses disciples, leur a fait une promesse extraordinaire : « Voici, je suis avec vous jusque à la fin du monde » (Matthieu 28 : 20). Saviez-vous que chacune de nos Bibles contient plus de 30 000 promesses? Et que nous avons tout simplement à les découvrir et à les faire nôtres.

Un des livres les plus merveilleux à cet égard est le livre des Psaumes. Le Psaume le plus connu est probablement le Psaume 23 et j'aime tout particulièrement cette phrase : « Quand je marche dans la vallée de l'ombre de la mort, Tu es avec moi ».

Vous avez certainement fait, comme moi, des ascensions. Vous arrivez au sommet et vous admirez le paysage, mais vous réalisez bien vite que vous ne pouvez pas toujours rester en haut. La vue est magnifique, l'air est pur et frais, mais vous savez qu'il faut redescendre dans la vallée, où il n'y a plus de vue, sinon les maisons qui nous entourent.

De même, le chrétien réalise qu'il ne peut pas toujours être sur les sommets, mais il sait par expérience que la vie l'oblige plus souvent qu'il ne le souhaite à descendre dans la vallée du chagrin, des difficultés. Et quelque fois, il sait que la mort est au bout.

Votre sérénité, votre joie, peuvent être subitement brisées par une grosse difficulté, mais vous pouvez toujours trouver encore la paix dans la vallée, si Jésus est avec vous. N'a-t-il pas promis de s'y trouver ? Est-ce que Jésus n'est pas présent aussi bien dans la vallée que sur les sommets ? Il a dit : « Je ne te délaisserai point et je t'abonnerai point », (Hébreux 13 : 5) et le verset suivant ajoute: « C'est donc avec assurance que nous pouvons dire le Seigneur est mon aide, je ne craindrai rien, que peut me faire un homme ? »

Quand vous êtes en voiture et que vous devez traverser un long tunnel, que faites-vous? Vous allumez vos phares. Si vous avez une voiture en bon état, vous ne doutez pas un instant que les phares vont éclairer votre route.

Jésus n'a-t-il pas dit : « Je suis la lumière du monde ». Vous passez en ce moment par l'épreuve, par la difficulté, prenez courage. C'est justement dans les difficultés que nous expérimentons la présence de Jésus à nos côtés. Avez-vous remarqué que lorsque tout va relativement bien, nous avons tendance à laisser Jésus de côté. Mais vienne la difficulté, nous avons besoin de nous souvenir qu'Il est là et qu'il veut nous aider. Job a passé par la vallée. Il avait perdu tous ses enfants, tous ses biens, et enfin sa santé, mais pourtant il a pu s'écrier : « Mais je sais que mon rédempteur est vivant » (Job 9 : 25). Il n'a pas perdu confiance et, à la fin, Dieu a honoré sa foi. Après cette épreuve, sa situation a été meilleure qu'avant.

Oui, la sombre vallée nous attend tous un jour. Mais ceux qui ont connu le sommet de la colline où se trouve la croix de Christ, l'ont aussi avec eux dans cette vallée. Nous avons besoin de nous rappeler que la vie chrétienne n'a jamais été une vie facile.

 

L'admirable chose que sera son retour

Au moment où Jésus quittait cette Terre, deux anges ont dit aux disciples que Jésus reviendrait de la même manière qu'Il était monté au Ciel.

Le retour du Seigneur est un sujet qui m'a toujours passionné. Le Nouveau Testament en parle à 318 reprises. En pensant à son retour, nous avons besoin d'avoir la certitude de notre salut. Il est possible de faire une confession verbale de foi, d'être associé à Ses enfants et pourtant ne pas être un chrétien dont le cœur a été changé. C'est ce que Jésus a illustré par la parabole des 5 vierges folles de Matthieu 25 : 1-13. Les 5 vierges folles professaient d'être dans l'attente du Seigneur et pourtant elles n'avaient pas d'huile dans leur lampe. C'est typique de ceux qui se disent chrétiens, mais qui n'ont pas le Saint-Esprit dans leur cœur.

Car quand il y a une vraie conversion, en acceptant Christ comme Sauveur et Seigneur de sa vie, le chrétien est scellé par le Saint-Esprit, il le sait et les autres le voient.

Bien que beaucoup de signes soient là pour nous révéler l'imminence du retour du Seigneur, nous ne pouvons par dire quand il aura lieu. Par conséquent, nous devons veiller.

En pensant à ces 7 choses admirables concernant Jésus Christ : Sa naissance - Sa vie - Sa mort - Sa résurrection - Son ascension - Son travail présent et Son retour, soyons prêts et travaillons de mieux en mieux ! - Jean-Louis Steudler

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Plan de lecture quotidienne :

Deutéronome 33-34    Actes 26 : 19-32

 

Avez–vous été rejeté par quelqu’un ?

 

Transmis par René Barrois le 27/03

 

Jésus est venu chez les siens, et les siens ne l’ont point reçu (Jean 1 : 11)
Que de personnes, aujourd’hui, sont rejetées par ceux ou celles qui les ont aimés le plus. 

 

Peut-être vous êtes–vous marié, et en ce moment même, celui ou celle que vous avez le plus aimé s’est détourné de vous pour s’attacher à une autre personne ! 

 

Quel désastre dans votre vie. Il vous semble que la terre s’écroule sous vos pieds, que c’est la catastrophe la plus grande qui puisse vous arriver.

Il n’y a certes pas de réponses faciles à une telle douleur. Nous ne pouvons que vous suggérer de regarder à Jésus, vous souvenant que lui-même est passé par ce chemin-là et par conséquent qu’il comprend votre douleur, parce qu’il la connaît personnellement. Il a lui-même été abandonné par ses propres frères, ses concitoyens. Lui qui dans son pays avait béni et guéri tant de personnes autour de lui, a entendu cette même foule crier à Pilate : crucifie-le. Sur la croix, alors qu’il avait pris sur lui nos péchés, s’est senti tellement rejeté, abandonné, qu’il n’a pu que s’écrier : « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? »

 

Peut-être vous trouvez-vous dans une de ces tempêtes de la vie, ressentez-vous la profonde douleur du rejet. Alors rappelez-vous que quelqu’un vous comprend, que quelqu’un réalise ce que vous ressentez : c’est le Seigneur Jésus lui-même. Il vous aime. Vous qui avez cru en lui, souvenez-vous qu’il vous a accepté et qu’il ne mettra jamais dehors celui qui vient à lui (Jean 6 : 37) pour être consolé, réconforté, fortifié. Le fait de réaliser que Jésus prend soin de vous fera certainement toute la différence dans votre situation.

Le Seigneur est le soutien de votre vie. Il vous protègera dans son tabernacle au jour du malheur. Il vous cachera sous l’abri de sa tente. Il vous élèvera sur un rocher. Il est votre secours ; il ne vous laissera pas et ne vous abandonnera pas. Il est le Dieu de votre salut. Comme il le dit dans sa Parole : « Si même ton père et ta mère t’abandonnaient, Je te recueillerai ».

 

Si vous vous plongez dans la profondeur de son amour, les tempêtes les plus fortes de votre vie ne sauraient vous ébranler. 

 

Ne permettez pas à vos épreuves de douter de l’amour de Dieu à votre égard, ni de ternir votre relation avec lui.

 

Bien sûr qu’en vous-même vous n’avez pas la force de résister à ces difficultés, à ces problèmes, à ces souffrances, mais si vous vous confiez en lui, c’est lui qui le fera. Il vous portera sur ses bras puissants, vous caressera sur les genoux, comme un homme que sa mère console. Il vous consolera et vos os reprendront de la vigueur comme l’herbe. Il manifestera sa puissance à votre égard. C’est lui, c’est lui qui vous consolera. - Dorothée Hatzakortzian

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Plan de lecture quotidienne :

 Deutéronome   31-32   Actes 26 : 2-18

« Avez-vous reçu le Saint-Esprit quand vous avez cru ? »

 

Transmis par René Barrois le 26/03

 

Lecture : Actes 19 : 1-1-7

 

En suivant l’apôtre Paul lors de son séjour à Éphèse, Paul a rencontré quelques disciples du Christ, et durant leur entretien, il leur a posé une question étonnante et qui paraissait primordiale pour lui : « Avez-vous reçu le Saint-Esprit quand vous avez cru ? »

Paul note bien, qu’ils ont cru, qu’ils ont convertis, mais qu’il manquait à ces frères, vrais sincères et désireux d’apprendre et d’obéir au Seigneur, une puissance telle que le Saint-Esprit la donne ?

Il se rend compte qu’ils manquent d’enseignement et leur pose la question sur leur cheminement, le baptême dont ils ont été baptisés... En entendant qu’ils ont été baptisés du baptême de Jean, il leur explique que ce baptême n’était qu’une transition :  « Jean a baptisé de repentance, disant au peuple de croire en celui qui venait après lui, c’est-à-dire, en Jésus. Sur ces paroles, ils furent baptisés au nom su Seigneur Jésus » (Actes 19 : 4-5).

Ce récit nous montre qu’il est possible d’être disciple du Christ, d’avoir cru, mais de connaître très peu, d’avoir beaucoup à apprendre et à recevoir... Mais aujourd’hui comme de tous temps, lorsque l’on se fonde tout à nouveau sur la Bible, tout s’éclaire. La parole du Christ, son exemple nous guide : nous examinons les paroles et les actes du Christ, des disciples, pour en tirer leçon.

Les promesses des Évangiles :

« Si vous m’aimez, vous garderez mes commandements. Et moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre consolateur, afin qu’il demeure éternellement avec vous, l’Esprit de vérité » (Jean 14 : 15-17).

« Quand sera venu le consolateur que je vous enverrai de la part du Père, l’Esprit de vérité qui vient du Père, il rendra témoignage de moi. » (Jean 15 : 26).

Le consolateur, l’Esprit Saint que le Père enverra en mon nom, vous enseignera toutes choses, et vous rappellera tout ce que je vous dit » (Jean 15 : 26).

Ainsi les disciples, bien avant la Pentecôte, étaient remplie de l’Esprit Saint comme nous le montre l’Évangile : « Après ces paroles, il souffla sur eux et leur dit :  recevez le Saint-Esprit » (Jean 20 : 22)...

L’attente a pu paraître longue aux disciples Mais leur désir d’obéir au Seigneur a été premier sur tous raisonnements humains. Et ils ont attendu : « Le jour de la Pentecôte, ils étaient tous assemblés dans le même lieu. Tout à coup, il vint du ciel un bruit comme un vent impétueux, et il remplit toute la maison où ils étaient assis. Des langues , semblables à des langues de feu, leur apparurent, séparées les unes des autres, et se posèrent sur chacun d’eux. Et ils furent tous remplis du Saint-Esprit, et se mirent à parler en d’autres langues, selon que l’Esprit leur donnait de s’exprimer » (Actes 2 : 1-4).

Si le Christ leur a demandé d’attendre ce baptême de l’Esprit, c’est qu’il savait l’importance que cela revêtait pour eux. Ils allaient recevoir une très grande grâce, une force, une aide pour évangéliser...

Or, le Seigneur dit que : « la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui croiront, en aussi grand nombre que le Seigneur en appellera » (Actes 2 : 39).

Ce don est un secours, une force d’eau qui jaillit pour nous-même tout d’abord, mais également pour ceux qui nous entourent. Une force nous est donnée pour témoigner comme pour « Pierre, rempli du Saint-Esprit » prend la parole, et les chefs religieux sont stupéfaits ( Actes 4 : 8-13)...

Ainsi en a-t-il été pendant des siècles et des siècles pour l’Église, et en est-il encore aujourd’hui pour de nombreux chrétiens des églises. L’oubli, l’assoupissement ont fait leur œuvre, de doctrines et explications erronées ont masqué la source d’eau vive qui pourtant se trouve toujours à proximité. Pourtant, le Christ avait promis : cette eau deviendra en vous une source qui jaillira jusque dans la vie éternelle (Jean 4 : 14)...

Cette promesse est également pour nous. Les textes bibliques, les paroles du Christ nous concernent aussi.

Sommes-nous languissants, sans force ? Notre prière est-elle routinière, chancelante ? Alors recherchons le source d’eau qui jaillit.

Avons-nous reçu le Saint-Esprit quand nous avons cru ?

Si oui, alors ne laissons pas combler la source.

Mais si tel n’est pas le cas, sans plus perdre de temps, recherchons, demandons et comme les Éphésiens, nous recevrons le don de Dieu. - Yvon Charles

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Plan de lecture quotidienne :

 

Joies au ciel

 

Transmis par René Barrois le 25/03

 

Alors que notre intelligence limitée ne peut pas connaître, ni même imaginer l’immensité des cieux, demeures du Très-haut « qui habite la lumière inaccessible, lui qu’aucun homme n’a vu ni ne peut voir » (1 Timothée 6 v.16), sa sainte Parole nous révèle, à plusieurs reprises, la joie qui éclate dans ces lieux célestes, faisant chanter les anges à la gloire de Dieu.  A quelles occasions ?

 

I – La joie au ciel lors de la création.

 

Dieu dit à Job : « Où étais-tu quand j’ai fondé la terre … alors que les étoiles du matin éclataient en chants d’allégresse, et que tous le fils de Dieu poussaient des cris de joie ? » (Job 38 : 4-7)

 

Les premières pages de la Bible relatent d’une manière simple et grandiose à la fois le récit de la création. Il suffit à Dieu d’une parole pour que l’immense univers et tout ce qu’il contient surgissent du néant : le ciel, la terre, la lumière, les nuées, les mers, le firmament avec le soleil, la lune, les étoiles innombrables, l'infiniment grand et l'infiniment petit, la prodigieuse variété des plantes et des animaux... Qui ne serait pas en extase en voyant apparaître, à partir de rien, une création aussi admirable ? Devant la grandeur infinie de cette œuvre magnifique, les anges éclatent de joie.

 

« Oh ! Quelle joie éclata dans le ciel,

Lorsqu’à la voix du Fort, de l'Éternel,

Surgissait la lumière !

Quand de son bras il étendait les cieux,

Quand, déployant son pouvoir glorieux,

Sa main formait la terre ! »

 

Mais cette joie, hélas, fut bien assombrie par la désobéissance de l’homme introduisant le péché dans le monde, et par le péché, la mort (Romains 5 : 12). Pour que la joie soit retrouvée, il fallait ... un Sauveur !

 

II – La joie au ciel lors de la naissance de Jésus, le Sauveur.

 

Quand le Fils de Dieu vint ici-bas, prenant la forme d’un homme en naissant dans une étable (ô mystère profond digne de notre adoration éternelle : le Créateur vu dans un petit enfant couché dans une crèche !), la gloire du Seigneur resplendit autour des bergers qui étaient aux champs gardant leur troupeau durant les veilles de la nuit. Ils furent saisis d’une grande peur et un ange leur dit :

« N’ayez pas peur, car voici, je vous annonce une bonne nouvelle, un grand sujet de joie qui sera pour tout le peuple : Aujourd’hui, dans la cité de David, vous est né un Sauveur qui est le Christ, le Seigneur. En voici pour vous le signe : vous trouverez un petit enfant emmailloté et couché dans une crèche. »

Soudain, il y eut avec l’ange une multitude de l’armée céleste qui louait Dieu et disait :

« Gloire à Dieu dans les lieux très hauts ; et sur la terre, paix ; et bon plaisir parmi les hommes ! » (Luc 2 : 10 à 14)

 

« Oh ! Quelle joie éclata dans le ciel,

Lorsqu’ici-bas, Jésus, Emmanuel,

Naquit dans la faiblesse !

Les anges saints disaient : « Gloire au Seigneur !

Paix sur la terre ! » et le céleste chœur

Tressaillait d’allégresse. »

 

Le Christ, le Sauveur, venait apporter sur la terre : paix, et bon plaisir parmi les hommes. Dès lors, tout homme reconnaissant son état de péché, se repentant et croyant au Seigneur Jésus le Sauveur non seulement connaît la joie d’être sauvé pour l’éternité mais aussi produit la joie dans le ciel parmi les anges.

 

III – La joie au ciel lorsqu’un pécheur se repent.

 

Jésus dit, après avoir énoncé la parabole de la brebis perdue et retrouvée : « Je vous dis qu’ainsi il y aura de la joie au ciel pour un seul pécheur qui se repent, plus que pour 99 justes qui n’ont pas besoin de repentance » (Luc 15 : 7)

Et aussi à la fin de la parabole suivante - la drachme perdue et retrouvée - : « Ainsi je vous le dis, il y a de la joie devant les anges de Dieu pour un seul pécheur qui se repent. » (Luc 15 : 10)

Si nous entendons les anges chanter lors de la création puis lors de la naissance du Sauveur, la joie remplit aussi le ciel pour un seul pécheur qui se repent. Le prix d’une âme est si grand aux yeux du Dieu d’amour !

 

« Oui, le pécheur misérable

A plus de prix à Ses yeux

Que le cortège innombrable

Des étoiles dans les cieux. »   - La Vérité Sure

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Plan de lecture quotidienne :

Deutéronome 28   Actes 25 : 1-12

 

Saint-Esprit : vent, personne et feu

 

Transmis par René Barrois le 24/03

 

« Celui qui croit en moi, des fleuves d’eau vivent couleront de son sein, comme dit l’Écriture. Il dit cela de l’Esprit qu’allaient recevoir ceux qui croiraient en lui ; car l’Esprit n’était pas encore donné, parce que Jésus n’avait pas encore été glorifié. » (Jean 7 : 38-39).

 

Jésus parlait du Saint-Esprit qui allait être donné. Dans Actes 2 nous trouvons trois manifestations du Saint-Esprit : vent, personne et feu. La première manifestation est un vent impétueux. La deuxième, des langues de feu. Pensez à ce vent impétueux et à ces langues de feu au-dessus de chaque disciple. La troisième, c’est la réception et l’effusion du Saint-Esprit. Pouvons-nous être rempli de ce fleuve ? Comment cela est-ce possible ?

 

Un cours d’eau est toujours un symbole de la Parole de Dieu, l’eau de la vie. Ainsi, quand l’Esprit Saint se manifeste, il revêt et oint le Christ qui demeure déjà dans tout croyant.

 

Vous ne parviendrez jamais à connaître Dieux mieux que par le témoignage. Celui-ci devrait toujours venir de la Parole. Nous ne connaîtrez pas davantage Dieu par la prière. Elle doit provenir de la Parole. Seule la Parole révèle Dieu et est utile pour le monde. Quand le souffle et la présence de Dieu viennent, le Saint-Esprit parle expressément selon la pensée du Père et du Fils.

Pa conséquent lorsque vous êtes rempli du Saint-Esprit, le souffle, la puissance, l’onction, le feu de l’Esprit saisit la parole de vie qui est Christ. Dieu veut vous remplir de la puissance divine pour que de votre cœur jaillissent des fleuves d’eau vive.

 

Prière du jour : Ô feu, vent et personne du Saint-Esprit, fait jaillir en moi des fleuves d’eau vive pour que d’autres connaissent Jésus, par ma vie. Amen. - Smith Wigglesworth

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Plan de lecture quotidienne :

Deutéronome 25-27    Actes 24

 

Des messages venus du ciel ?

 

Transmis par René Barrois le 23/03

 

« Parle, Éternel, car ton serviteur écoute. » (1 Samuel 3 : 9)

« Prenez garde de ne pas refuser celui qui parle…, celui qui parle ainsi des cieux. » (Hébreux 12 : 25)

 

Sur l’île de Porto Rico, le radiotélescope géant d’Arecibo, dont l’antenne circulaire mesure 305 mètres de diamètre, scrute l’espace profond. En 1974, une tentative a été faite pour envoyer un message vers d’autres mondes. Mais la réponse se fait toujours attendre.

La Nasa a lancé en avril 2018 le télescope spatial TESS, dédié à la recherche de planètes situées en dehors du système solaire. Le but est surtout de détecter des signes de vie et, pourquoi pas, de la vie intelligente. Mais jusque-là rien n’a été détecté.

Écouter des messages intelligents provenant du ciel est pourtant un exercice que les chrétiens devraient faire chaque jour. Nul besoin pour cela d’antennes ou d’ordinateur. Leur Maître dans le ciel a pris l’initiative de leur parler par sa Parole écrite, et avec l’aide de l’Esprit Saint. Ils reçoivent ainsi des communications émanant du Seigneur de l’univers. Les messages envoyés par Dieu leur font toujours mieux connaître le Seigneur Jésus, et son plan d’amour pour nous sur la terre.

« Fais-moi entendre dès le matin ta bonté, car en toi j’ai mis ma confiance ; fais-moi connaître le chemin où j’ai à marcher, car c’est à toi que j’élève mon âme » (Psaume 143 : 8).

Un mot de plus : imaginons quelle fiévreuse interrogation soulèverait la réception d’un bruit pouvant cacher un langage. Comment comprendre alors l’acharnement de tant de personnes à refuser le message millénaire de Dieu qui déclare : « Je n’ai pas parlé en secret… Je suis l’Éternel parlant justice, déclarant ce qui est droit » (Ésaïe 45 : 19). - La Bonne Semence

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Plan de lecture quotidienne :

Deutéronome 3-4      Actes 19 : 8-41

Invoque-moi, et je te répondrai

 

Transmis par René Barrois le 15/03

 

« Invoque-moi, et je te répondrai : Je t’annoncerai de grandes choses, des choses cachées, que tu ne connais pas. » (Jérémie 33 : 3).

 

Dieu nous encourage à prier.

On nous dit que la prière est un exercice pieux qui n’a d’influence que sur l’esprit qui y est engagé.

Nous savons autre chose. Notre expérience a fait mentir cent fois cette attestation des incrédules.

Ici, l’Éternel, le Dieu vivant, promet positivement de répondre à la requête de son serviteur.

Implorons-le avec foi, et ne mettons pas en doute qu’il ne nous écoute et ne nous exauce. « Celui qui a fait l’oreille n’entendra-t-il pas ? »

Dieu qui a donné aux parents l’amour pour leurs enfants, restera-t-il sourd aux cris de ses fils et de ses filles ?

Oui, notre Dieu répondra aux supplications de son peuple dans l’angoisse. Il a des merveilleuses réserves pour eux.

Ce qu’ils n’ont jamais vu, ni entendu, ni même rêvé, il le fera pour eux. Il inventera de nouvelles bénédictions si cela est nécessaire.

Il videra la terre et les mers pour les nourrir, et enverra n’importe quel ange du ciel pour les secourir, lorsque leur détresse le nécessitera.

Il nous stupéfiera par ses grâces et nous fera voir des choses telles qu’il n’en avait encore point fait de semblables.

Tout ce qu’il demande de nous c’est que nous l’invoquions. Il ne peut pas nous demander moins.

Faisons donc joyeusement monter vers lui nos requêtes. - C.H. Spurgeon

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Plan de lecture quotidienne :

Deutéronome 1-2      Actes 18 : 24 à 19 : 1-7

La boussole indicatrice

 

Transmis par René Barrois le 14/03

 

« Qui parmi vous donnera une pierre à son fils, s'il lui demande du pain ? » (Matthieu 7 : 9)

 

Notre Seigneur compare ici l'homme qui prie à un enfant normal qui fait une demande normale. L'enfant de Dieu n'est-il pas assuré d'avoir l'oreille de son Père ? Si Dieu ne vous exauce pas tout de suite, ne croyez pas qu'il ne veut pas le faire, ne vous laissez pas aller au découragement, mais consultez votre boussole. Êtes-vous en un rapport normal avec votre mari, avec votre femme, avec vos parents, avec vos enfants, avec vos camarades ? « Oh ! Seigneur, dites-vous, je me suis laissé aller à la mauvaise humeur, mais j'ai tant besoin de réconfort spirituel ! » Vous ne l'obtiendrez pas tant que vous n'aurez pas rétabli en vous l'état normal.

Nous mêlons quelque révolte à notre adoration. Nous discutons, nous avons l'audace de discuter avec Dieu les conditions de notre abandon. Nous ne voulons pas regarder notre boussole. M'est-il arrivé de demander à Dieu de m'envoyer de l'argent pour acheter quelque chose dont j'ai envie, alors qu'il y a une dette que je n'ai pas payée ? Ai-je demandé à Dieu de m'accorder plus de liberté, alors que je prive de sa liberté quelqu'un de ma famille ? Je n'ai pas pardonné à telle personne. J'ai oublié le commandement de Jésus : « Tout ce que vous désirez que les autres fassent à votre égard, faites-le pareillement pour eux. » Je ne suis enfant de Dieu que grâce à la nouvelle naissance. Je ne suis enfant de Dieu que tant que je marche dans la lumière. La prière chez la plupart d'entre nous devient du patois de Canaan, une sorte de vague excitation mystique. Notre vie spirituelle est une fabrique de brouillards. Si nous regardons la boussole, nous verrons ce qui n'est pas en règle : telle dette, telle amitié, telle inclination. La prière ne sert à rien, si nous ne vivons pas en enfants de Dieu. - Oswald Chambers

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Plan de lecture quotidienne :

Nombres 34-36      Actes 18 : 1-25

 

Le triomphe dans les épreuves

 

Transmis par René Barrois le 13/03

 

« Étant donc justifié par la foi, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus-Christ, à qui nous devons d’avoir eu par la foi accès à cette grâce, dans laquelle nous demeurons fermes, et nous nous glorifions dans l’espérance de la gloire de Dieu. Bien plus, nous nous glorifions même des afflictions... » (Romains 5 : 1-11).

 

Pour l’esprit humain, ces paroles paraissent invraisemblables, car jusqu’à ce jour l’esprit naturel n’a pas été capable d’associer l’affliction avec ce qui est bon. Dans notre esprit, il ne peut y avoir rien de bon à supporter l’affliction, les épreuves...

Dieu a un programme pour ses enfants, un plan, un but, qui est avant tout pour sa gloire, ensuite pour notre bien. Si nous gardions ces choses en permanence dans nos pensées, nous nous éviterions bien des inquiétudes inutiles.

Dieu permet les tribulations dans notre vie afin de montrer l’efficacité de sa grâce et de constater les réalités glorieuses que nous ne pouvons voir se manifester uniquement si marchons dans l’Esprit.

 

La paix avec Dieu. (v.1) La justification donne au croyant la paix avec Dieu, la grâce, l’espérance, l’assurance, les tribulations, l’amour de Dieu, le Saint-Esprit. Lorsque nous venons à Jésus-Christ pour le pardon , nous sommes justifiés, et étant justifiés par la foi, la paix règne dans notre cœur, car l’éloignement avec le Seigneur n’est plus, c’est le salut par la vie et la présence de Jésus. Gloire à Dieu !

La grâce qui demeure. (v.2) C’est merveilleux d’avoir quelques choses qui reste et qui nous amène à tenir ferme lorsque les difficultés nous envahissent et que toutes sortes de problèmes se multiplient. Nous devons avoir la foi que la grâce de Dieu sera toujours présente malgré les hauts et les bas de la vie et elle nous amènera à rester ferme.

 

Se réjouir dans l’espérance. (v. 4) Croyons que le projet de Dieu triomphera de tous les intermédiaires qui pourraient nous décourager et nous abattre.

Une autre façon de se réjouir de l’espérance vient des effets de la souffrance sur notre assurance de l’espérance. La joie dans la souffrance est enracinée non seulement dans l’espérance de la résurrection et de la récompense, mais aussi dans la manière dont la souffrance elle-même œuvre à approfondir cette espérance. « Heureux serez-vous lorsqu’on vous insultera, qu’on vous persécutera et qu’on dira faussement de vous toute sorte de mal à cause de moi. Réjouissez-vous et soyez dans l’allégresse, parce que votre récompense sera grande au ciel. » (Matthieu 5 : 11-12).

Ce qui nous arrive, fait partie du plan dont Dieu permet la réalisation afin que dans nos vies soit rendue une parfaite manifestation de sa volonté. Bien-aimés, il n’y a aucune puissance dans le monde, ni dans l’enfer qui puisse résister à la force d’accomplissement de la volonté de Dieu à notre égard pour que nous triomphions dans les afflictions. Nous devons garder l’espérance et la confiance que Dieu accomplira ce qu’il a décidé de faire.

Comprenons que nos vies ne sont pas des pions sur un échiquier, nous ne sommes pas un jeu des circonstances entre les mains de Dieu. Notre Père céleste nous aime, et il surveille jalousement nos pas. Il marche devant nous et permet que notre chemin soit établi suivant son plan.

Supporter, n’est pas triompher. Ne croyons pas que notre rôle consiste simplement à supporter les difficultés.

Frères et sœurs, ne croyons pas qu’endurer l’affliction est le triomphe. Nulle part dans la Parole nous lisons que les chrétiens remplis du Saint-Esprit sont exempts de de tout problème. Nos épreuves ont un but, nous sommes revêtus de l’armure de Dieu, avons le privilège de la prière, et Dieu veille à ce que les épreuves n’ébranlent pas notre foi. Notre position en tant qu’enfants de Dieu est assurée ; nous ressortirons intacts de l’épreuve. « J’ai l’assurance qu[’] […] aucune […] créature ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ notre Seigneur. » (Romains 8 : 38-39). Sans cesse ayons la certitude que nous ne serons jamais séparés de l’amour de Dieu, car la puissance de Dieu nous garde dans nos afflictions.

Un éducateur. L’affliction peut être une source de bénédiction.

L’affliction peut être un éducateur. Parfois l’adversité et les épreuves sont indispensables pour éveiller les puissances et les capacités qui sont cachées en nous. C’est dommage d’avoir des richesses spirituelles qui sont négligées. Quelque fois Dieu envoie quelque tribulation pour nous accorder une chance d’exercer la richesse spirituelle qu’il nous accordée.

Nous devons réaliser qu’une affliction peut nous amener à une foi plus délicate dans une espérance plus vigoureuse que nous n’avons pas toujours cru posséder.

Dans ces moment de tribulation, saisissons ce que le Saint-Esprit nous apporte au quotidien afin de ne pas nous laisser décourager par les épreuves.

Un correcteur. L’affliction peut être non seulement un éducateur , mais aussi un correcteur.

Ne nous trompons pas sur la nature de la vie, pensant que c’est une chemin couvert de fleurs.

Jésus dit : « Vous aurez des tribulations dans le monde » (Jean 16 : 33).

Il y a des choses plus importantes que la vie elle-même.

Il y a des choses de plus grande valeur naturel que toutes ces choses matérielles que nous regardons avec une certaine dévotion.

Lorsque nous quittons toutes ces choses et que les ponts s’écroulent, nous voyons ce qui est réel, authentique, et béni.

Si nous réagissons aux épreuves comme nous devons le faire, elles peuvent être un merveilleux correcteur. Elles peuvent nous séparer des choses qui obscurcissent notre esprit, et nous amènent dans la confusion.

Nous aurons ainsi une meilleur espérance plus parfaite de ce que Dieu est Dieu. C’est lui qui nous dirige car notre main est dans la sienne.

Un adoucisseur. Ô ! combien nous pouvons être durs !

Bien aimés, par l’affliction Dieu peut enlever le jugement rude, l’esprit critique, l’attitude arrogante de notre coeur pour mieux comprendre ce que ressentent les autres.

L’affliction nous donne la douceur qui nous permet de nous approcher de notre prochain avec compassion.

 

Un révélateur. L’affliction peut être un grand révélateur.

Lorsque tout va bien nous ne pouvons pas réaliser la bonté des grandes ressources de Dieu. Mais elles sont présentent !

Frères et sœurs, nous devons savoir, quand nous lisons la Parole de Dieu, ce n’est pas de la fiction. C’est la réalité.

Lorsque nous avons trouvé la paix avec Dieu, par la foi nous avons accès à la grâce de Dieu. Lorsque nous trouvons l’espérance de la gloire de notre Seigneur nous pouvons nous glorifier dans nos épreuves, ainsi Dieu nous conduira à chaque pas.

« Trois fois j’ai prié le Seigneur de l’éloigner de moi, et il m’a dit : Ma grâce te suffit, car ma puissance s’accomplit dans la faiblesse. Je me glorifierai donc bien plus volontiers de mes faiblesses, afin que la puissance de Christ repose sur moi. » (2 Corinthiens 12 : 8 -9). Pour que la grâce du Seigneur se déploie dans sa plénitude, il faut que la force naturelle de l’homme soit brisée, que son moi soit crucifié, et que, dans cette infirmité, il consente à ne vivre que de cette grâce.

Mais la grâce de Dieu suffit, car la puissance divine alors s’accomplit ou devient parfaite dans la faiblesse même de son enfant.

Le chrétien peut toujours « être joyeux », car il sait que l’avenir lui appartient, qu’il va au-devant de l’affranchissement de toute souffrance et de l’éternelle félicité (1Thessaloniciens 5 : 16 ; 1 Pierre 1 : 8).

Lorsque le Seigneur réalise sa volonté en nous, avec Lui nous remportons les plus grandes victoires . Amen ! - René Barrois

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Plan de lecture quotidienne :

Nombres 32-33      Actes 17 : 16-34

 

Dieu et le pécheur (2)

 

Transmis par René Barrois le 12/03

 

« Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle. » (Jean 3 : 16 Darby).

 

Dieu a le péché en horreur et ne peut l’accepter dans sa présence, mais il aime le pécheur. Cependant cela ne signifie pas que Dieu s’accommode de l’état de mort spirituelle dans lequel se trouve tout homme pécheur. De quelle manière alors l’aime-t-il ?

Dieu considère sa créature, le couronnement de sa créature, celle qui est porteuse de son image, et la voit enfoncée dans le bourbier du péché. Déjà dans l’Ancien Testament, le Dieu saint se présente comme étant aussi un Dieu de grâce, miséricordieux : « L’Éternel ! Dieu miséricordieux et faisant grâce, lent à la colère, et grand en bonté et en vérité, gardant la bonté envers des milliers (de générations), pardonnant l’iniquité, la transgression et le péché, et qui ne tient nullement (celui qui en est coupable) pour innocent. » (Exode 34 : 6-7). et son amour pour sa créature se déploie pleinement à travers l’oeuvre de la rédemption : « Mais lorsque Dieu notre Sauveur a manifesté sa bonté et son amour pour les êtres humains, il nous a sauvés » (Tite 3 : 4 BFC).

Le seigneur Jésus, pendant son ministère, a montré cet amour pour les hommes : « Voyant les foules, il fut ému de compassion pour elles, parce que ces gens étaient las et dispersés, comme des brebis qui n’ont pas de berger » (Matthieu 9 : 16). L’amour de Jésus-Christ pour l’humanité pécheresse est illustré par la parabole du bon Samaritain ; celui-ci s’occupe avec abnégation d’un homme couvert de blessures, laissé « à demi mort » (Luc 10 : 30). Plus encore, Jésus-Christ manifeste cet amour à la croix qu’il a endurée afin que « la repentance et le pardon des péchés soient prêchés en son nom à toutes las nations » (Luc 24 : 47).

L’amour de Dieu pour le pécheur date de l’éternité : « Je l’ai aimé(e) d’un amour éternel ; c’est pourquoi je t’attire avec bonté » (Jérémie 31 : 3). Il trouve son origine dans l’essence même de Dieu : « Dieu est amour » (1 Jean 4 : 16). mais ceux qui auront méprisé «  la bonté de Dieu (qui les) pousse à la repentance » (Romains 2 : 4) connaîtrons «  la colère, l’indignation (…) tourment et angoisse » (Romains 2 : 8-9).

Bien-aimés, ne refusez pas l’amour de Dieu qui « veut que tous les hommes soient sauvés » (1 Timothée 2 : 4). L’amour de Dieu est suffisamment grand pour englober tous les hommes, c’est-à-dire tout le monde. - Plaire au Seigneur adapté par René Barrois

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Plan de lecture quotidienne :

Nombres 29-31      Actes 17 : 1-15

Dieu et le péché (1)

 

Transmis par René Barrois le 11/03

 

« Tu as les yeux purs pour voir le mal. » (Habakuk 1 : 13 Darby)

 

La sainteté de Dieu est telle qu’elle ne peut coexister avec le péché. Celui-ci déclenche sa colère, et l’indignation extrême de Dieu génère alors son jugement. Il y a ainsi une totale incompatibilité entre le péché et Dieu.

 

Plusieurs métaphores bibliques illustrent ce fait :

 

. La hauteur : « Ils tentèrent et irritèrent le Dieu Très-Haut, et ne gardèrent pas ses témoignages » (Psaume 78 : 56). L’exaltation suprême du  « Dieu Très-Haut » exprime à la fois sa souveraineté sur tout, mais aussi son inaccessibilité aux pécheurs. « Tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu » (Romains 3 : 23) : l’homme pécheur est très en deçà de la grandeur de Dieu, il ne peut atteindre à sa gloire. Dieu est « tout autre »

 

. La distance : Moïse devait rester loin du buisson ardent. Dieu lui dit : « N’approche pas d’ici ; ôte tes sandales de tes pieds, car le lieu sur lequel tu te tiens est une terre sainte » (Exode 3 : 5) . Voir aussi Exode 19 : 24 et Josué 3 : 4.

. La lumière : Paul parle à Timothée de Dieu qui « habite la lumière inaccessible » (1 Timothée 6 : 16). Une lumière éclatant est aussi aveuglante. De la même façon qu’on ne peut fixer le soleil, l’homme pécheur ne peut se tenir devant le Saint.

 

. Le feu : il consume tout ce qui est impur. Dieu est présenté comme un « feu consumant » aussi bien dans l’Ancien Testament que dans le Nouveau Testament (Deutéronome 4 : 24 ; Hébreux 10 : 27 ; 12 : 29).

 

. Le vomissement : Dieu éprouve une sainte répulsion en présence du mal : « 40 ans j’ai eu cette génération en dégoût », dit-il en rappelant les péchés de son peuple (Psaume 95 : 10). L’assemblée de Laodicée, si elle ne se repent pas, est avertie : « Je vais te vomir de ma bouche » (Apocalypse 3 : 16).

 

Ces images nous font prendre conscience de la gravité du péché aux yeux de Dieu et de l’immensité de sa grâce qui l’a conduit à s’abaisser jusqu’à nous dans la personne de son Fils (Philippiens 2 : 8), qui nous a approchés (Éphésiens 2 : 13), nous a amenés dans sa merveilleuse lumière (Colossiens 1 : 12) et mis à l’abri du jugement (Jean 5 : 24). Demandons à Dieu de nous rendre sensibles à sa perception du péché et de nous aider à le combattre pour sa gloire. - Plaire au Seigneur

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Plan de lecture quotidienne :

 Nombres 27-28     Actes 16 : 16-40
 

Mais nous voyons Jésus !

 

Transmis par René Barrois le 10/03

 

Aujourd’hui, Satan essaie de détourner le message de l’Église du point central qu’est Jésus-Christ. Satan désire plus que tout détourner le peuple de Dieu de leur message et l’une de ses techniques est de les agacer avec un problème politique jusqu’à ce que cela les consume. Quand cela arrive, le problème devient le principal sujet de conversation et Jésus n’est plus la préoccupation principale.

Le peuple de Dieu doit s’intéresser à certains problèmes, mais pas au point de laisser leur cœur s’ouvrir à l’amertume et à des activités qui ne sont pas de Christ. Nous devons être capables de prier sans être distraits. Jésus insiste sur le fait que nous ne devons pas laisser quoi que ce soit nous voler notre paix. En effet, Il nous ordonne d’entrer et de demeurer dans Son repos. « Or, puisqu'il est encore réservé à quelques-uns d'y entrer, et que ceux à qui d'abord la promesse a été faite n'y sont pas entrés à cause de leur désobéissance » (Hébreux 4 : 1). 

Il ne s’agit pas d’une déclaration politique. Il s’agit d’un avertissement pour les chrétiens de ne pas se laisser piéger dans l’amertume grandissante de la politique actuelle. Le témoignage de Jésus, c’est que nous pouvons être dans ce monde mais ne pas être du monde. Cela signifie que nous ne prenons pas part à son esprit et que nous ne nous laissons pas séduire par son attirance. Le fait est que c’est ainsi que l’on devient un témoignage d’espoir dans un monde qui n’en a aucun. Quand des personnes anxieuses nous posent des questions, nous pouvons répondre avec foi et confiance : « Jésus est mon espérance et ma paix. »

Jésus doit rester au centre de notre cœur, de nos pensées et de nos activités, pas les ténèbres que nous voyons de ce monde ou la politique. Même si ces choses sont importantes, elles peuvent nous détourner de ce qui doit être notre préoccupation principale : l’évangile de Jésus Christ. Notre assurance en tant que chrétiens, c’est que nous savons que toutes les nations seront sous l’autorité de notre Seigneur Jésus.

Tout autour de nous, le monde est ébranlé. Mais nous voyons Jésus ! Nous Le voyons dans nos épreuves présentes. Nous Le voyons se tenir près de nous dans notre peine, notre souffrance, nos temps de crise, en toutes choses.

Plus que tout, nous voyons Jésus préparer toutes choses pour Son retour. Alléluia ! - David Wilkerson

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Plan de lecture quotidienne :

Nombres 24-26     Actes 15 : 36 à 16 : 1-15

Émerveillements

Transmis par René Barrois le 09/03

 

« Son oeuvre est glorieuse et magnifique... il a établi un mémorial de ses merveilles. » (Psaumes 111 : 3-4)

 

De l'avis des scientifiques, le télescope Hubble a pris des images « époustouflantes » des confins de l'univers. Ces photos montrent dans le ciel comme de grands nuages menaçants qui reçoivent les dernières lueurs du soleil couchant. Leurs contours son tellement nets qu'ils semblent tout proches de la terre ; mais ce ne sont pas des nuages ordinaires. La lumière qui les illumine n'est pas celle que la terre réfléchit, mais le rayonnement de la fournaise nucléaire au coeur d'une poignée d'étoiles qui viennent de naître. Et elles se trouvent à sept mille années-lumière de notre planète, soit à une distance qui est plus de quatre cents millions de fois supérieure à celle qui sépare la terre du soleil. Le vertige nous saisit. « En voyant ces nouvelles images venues de l'espace, j'ai vraiment été bouleversé » dit E. Weiler, le chef du projet Hubble.

 

Il y a plus de vingt-cinq siècles que le prophète Ésaïe traduisait lui aussi son émerveillement devant la grandeur du Créateur : « Qui a mesuré les eaux dans le creux de sa main,... et mesuré dans un boisseau la poussière de la terre, Qui a pesé les montagnes... dans la balance ? » (Ésaïe 40 : 12).

Réalisons-nous que ce grand Dieu Créateur est aussi le Dieu Sauveur ? « Son oeuvre est glorieuse et magnifique... il a établi un mémorial de ses merveilles » (Psaumes 111 : 3-4). Connaissez-vous son grand salut ? - Graines d’ensemencement

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Plan de lecture quotidienne :

Nombres 22-23      Actes 15 : 22-23

Prêt pour l’enlèvement ?

 

Transmis par René Barrois le 08/03

 

« Nous serons tous ensemble enlevés avec eux sur des nuées, à la rencontre du Seigneur... » (1 Thessaloniciens 4: 17).

 

Êtes-vous prêt pour l’enlèvement ? Quand il se produira, il sera trop tard car il aura lieu « en un clin d’oeil » (1 Corinthiens 15: 52) et il sera difficile, trop tard même à ce moment-là de dire : « Voilà Jésus qui vient prendre les croyants, je vais me préparer » !

Jésus a promis qu’il reviendrait chercher ceux qui lui appartiennent : « Lorsque je m’en serai allé et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai, et je vous prendrai avec moi, afin que là où je suis vous y soyez aussi » (Jean 14: 3).

Le retour de Jésus est proche, il faut donc être prêt ! Le hommes sont aveugles, inconscients ; ils ne prennent pas garde à tous les évènements prophétiques qui se mettent en place et que Dieu lui-même a annoncé pour la seconde venue de Christ. De même que sa première venue a marquée- notre monde de son empreinte indélébile, sa seconde venue et l’enlèvement de milliers de croyants, donc leur disparition terrestre, occasionnera un bouleversement mondial à l’échelle planétaire.

Quelle attitude devons-nous adopter ? Qu’est-ce que Dieu attend de nous ?

Le Seigneur cherche à nous faire échapper à cette période terrible dont il a lui-même déclaré : « Car alors, la détresse sera si grande qu’il n’y en a point eu de eu de pareille depuis le commencement du monde jusqu’à présent, et qu’il n’y en aura jamais » (Matthieu 24: 21).

Si vous n’avez pas encore fait la paix avec Dieu en lui demandant de pardonner vos péchés, faites-le maintenant, car il est impossible d’entrer au ciel si nous ne sommes pas passés par Jésus, son Fils, celui qui, par sa mort, est venu nous réconcilier avec Dieu et qui a déclaré : « Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi » (Jean 14: 6). Faites-le, il vous attend ! - Pierre Segura

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Plan de lecture quotidienne :

Nombres 20-21    Actes 15 : 1-21

 

C'est par Mon Esprit, dit l'Eternel

 

Transmis par René Barrois le 07/03

 

« Ce n'est ni par la puissance, ni par la force, mais c'est par Mon Esprit, dit l'Eternel. » (Zacharie 4 : 6)

 

La lecture de ce chapitre du prophète Zacharie nous met en face d'extrêmes: le commencement de l'oeuvre de Christ en faiblesse et réjection, et l'aboutissement de cette oeuvre en gloire et majesté.

Combien nous avons besoin de cette vision, aujourd'hui ! Il est le Souverain des cieux et de la terre, Celui qui présida au déluge et Celui qui marche encore sur les eaux. Une ferme conviction émanant de cette certitude gardera notre esprit en paix dans le temps présent. Il est le Seigneur de toute la terre qui attend Son jour, pour établir Son règne de gloire sur les ruines où les hommes auront conduit les royaumes de cette terre.

Au milieu des remous politiques et des situations nationales rendant difficile l'oeuvre de l'évangélisation, en face des mouvements précurseurs du temps de l'Antéchrist, Dieu exhorte Ses fidèles à ne point mépriser "le jour des faibles commencements", dont l'un des principaux éléments consiste, sur toute la terre par courue par le regard de l'Eternel, en semailles abondantes de la Parole divine, semence incorruptible sur laquelle Son royaume sera établi. Alors des oeuvres cachées et méprisées aujourd'hui seront manifestées, tandis que des oeuvres qui s'affichent et se font valoir maintenant seront effacées. Ne méprisons pas le jour des petits commencements!

Dans ces conditions, sachons que le travail qui nous est confié ne s'accomplit ni par la force, ni par la puissance, mais par Son Esprit. « force » et « puissance » signifient des capacités, des moyens dont les hommes se glorifient. Dieu a Ses moyens à Lui, Ses moyens de grâce, et Il emploie nos capacités seulement quand elles sont déposées au pied de la croix.

Ce que Dieu nous a donné de commencer, Il nous charge de le mener à bout, de l'achever, de l'établir dans le triomphe de Son plan, de Sa vocation... ni par la force ni par la puissance... mais par Son Esprit! C'est Lui qui communique les pensées de Dieu, c'est Lui qui inspire nos prières, c'est Lui qui emploie notre faiblesse, répond à notre consécration et honore notre action pour Lui. - H.E. Alexander

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Plan de lecture quotidienne :

 Nombres 18-19      Actes 14

Avance avec foi, avec persévérance comme le Seigneur lui-même a marché

 

Transmis par René Barrois le 06/03

 

« Que chacun marche selon la part que le Seigneur lui a faite, selon l'appel qu'il a reçu de Dieu. C'est ainsi que je l'ordonne dans toutes les Églises »  (1 Corinthiens 7 : 17).

 

À travers ce passage des Corinthiens, Paul nous encourage à avancer en conservant en nous "la part que le Seigneur nous a faite", c'est-à-dire en restant tels que nous étions lors de notre appel. Non pas en demeurant dans le péché, mais en gardant les préceptes qu'il a gravés dans nos coeurs. Nous ne devons pas chercher à ressembler aux autres ou à vouloir devenir différents. Le Seigneur nous a choisis avec nos particularités et il veut nous utiliser tels que nous sommes, dans notre milieu social, dans notre travail, dans notre famille ou autour de nous. Dieu nous donne à tous un ou plusieurs dons, il nous appelle à une charge dans l'Église ou dans un ministère bien spécifique, et il attend de nous une totale obéissance, avec humilité, une soumission respectueuse et confiante.

Que nous dit Paul dans 1 Corinthiens 3 : 9 ? « Car nous sommes des ouvriers avec Dieu. Vous êtes le champ de Dieu, l'édifice de Dieu ». J'aimerais que nous poursuivions notre lecture dans Éphésiens 2 : 21 « En lui tout l'édifice, bien coordonné, s'élève pour être un temple saint dans le Seigneur ». Ces deux passages me semblent très importants. Lorsque Dieu nous a appelés en son Fils bien-aimé Jésus-Christ, il nous a attribué une tâche, une place bien précise. Nous sommes des ouvriers. Notez bien le terme employé par Paul « ouvriers avec Dieu ». Non seulement, nous sommes ouvriers pour Dieu, mais aussi avec lui. Il ne nous laisse pas seuls, mais il est avec nous, il nous soutient par son Esprit-Saint et nous dirige avec amour en Jésus-Christ. Nous faisons partie de l'édifice de Dieu. Ensemble, nous constituons le corps de Christ (« Vous êtes le corps de Christ, et vous êtes ses membres, chacun pour sa part » 1 Corinthiens 12 : 27). Pour que ce corps soit bien coordonné, il faut que chaque membre reste à sa place, car nous sommes tous solidaires les uns des autres, tous complémentaires, tous uniques et importants. Nous sommes tous sous l'autorité de Jésus-Christ qui est la tête, le Chef de l'Église, et par qui nous sommes sanctifiés.

Il y a également un terme important qu'il ne faut pas ignorer; il nous est dit de « marcher ». C'est-à-dire d'avancer, de ne pas rester sur place. Nous devons nous mettre en mouvement pour pouvoir servir le Seigneur. Quel est le rôle des ouvriers ? Ils se mettent en action, ils participent au labeur, ils répondent à l'appel de celui qui les emploie. Nous pouvons lire ce passage d'Éphésiens 4 : 1 « Je vous exhorte donc, moi, le prisonnier dans le Seigneur, à marcher d'une manière digne de la vocation qui vous a été adressée ». Marcher de manière digne de la vocation, c'est s'investir avec foi, obéissance, persévérance et confiance, je le répète. Paul nous enseigne de quelle manière le Seigneur souhaite nous voir marcher. Lisons dans Colossiens 1 : 9-12 « ...Nous demandons que vous soyez remplis de la connaissance de sa volonté, en toutes sagesse et intelligence spirituelles, pour marcher d'une manière digne du Seigneur et lui être entièrement agréables, portant des fruits en toutes sortes de bonnes oeuvres et croissant par la connaissance de Dieu. Vous serez fortifiés à tout point de vue par sa puissance glorieuse pour être toujours et avec joie persévérants et patients, et vous exprimerez votre reconnaissance au Père qui nous a rendus capables de prendre part à l'héritage des saints dans la lumière ».

Ainsi, marchons selon la part et l'appel qui nous ont été donnés par Dieu en Jésus-Christ, soyons remplis du Saint-Esprit, méditons la parole divine, gravons-la en nous, en toutes sagesse et intelligence spirituelles, dans la vérité (3 Jean 1 : 3), mais aussi portons du fruit de l'Esprit. Il nous est demandé d'avancer avec foi, dans la joie, la patience, avec persévérance et reconnaissance, comme le Seigneur à lui-même marché (1 Jean 2 : 6), car l'héritage qui nous est échu est puissant, merveilleux, incorruptible, en Jésus-Christ notre seul Seigneur et Sauveur (1 Pierre 1 : 4 ; Colossiens 3 : 24 ; Éphésiens 1 : 18). - Michelle

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Plan de lecture quotidienne :

Nombres 16-17   Actes 13 : 13-52

Dans le coeur de Moïse...

 

Transmis par René Barrois le 05/03

 

« Je marcherai Moi-même avec toi, et je te donnerai du repos. »  (Exode 33 : 14)

 

Dans le coeur de Moïse, il y avait une prière, un désir inspirés par Dieu Lui-même. Derrière lui et autour de lui, c'était le trouble et la confusion; devant lui, l'inconnu. Le peuple de Dieu était sous la terrible menace des conséquences de son infidélité. Et c'est au milieu de telles circonstances que du coeur de celui qui était resté fidèle sortit un soupir entendu de Dieu seul: « Fais-moi connaître Tes voies... Fais-moi voir Ta gloire ! » Et l'Eternel lui répondit: "Je marcherai Moi-même avec toi, et Je te donnerai du repos."

Dieu entend de telles prières, et Il se propose de les exaucer. Pour Son enfant, Ses voies sont préparées, tracées d'avance, bien que dans Sa sagesse Il les révèle une à une; car Il veut que le principe de la foi gère la vie de Ses enfants obéissants. Ne nous étonnons pas qu'Il nous laisse dans l'ignorance quant à la forme que prendront Ses voies. Il nous suffit de savoir qu'Il a promis que Sa présence même irait devant nous, frayant le chemin. Remettre ses voies au Seigneur, c'est Le glorifier.

Si nous obéissons et Le suivons pas à pas, nous Le réjouissons, car l'épreuve de notre foi, plus précieuse que l'or périssable, Lui est chère. Il veut qu'au jour où nous Le verrons, notre foi Lui donne honneur et louange. S'Il nous demande la foi, Il l'accompagne du don de la paix, à laquelle s'ajoute l'espérance qui ne trompe pas, brillant dans nos coeurs comme une lumière grandissante, une force inspirante.

Nous faut-il plus que Sa présence? Elle comprend tout, absolument tout. Elle est notre avant-garde et notre arrière-garde. Elle nous assure direction et protection. Elle est notre sagesse et notre paix. Sa présence glorieuse nous est assurée par Son Esprit; au milieu de l'agitation, de la tempête, elle nous donne le repos. Elle rend notre travail fructueux et victorieux. Elle nous fait grandir dans la connaissance de Dieu et croître jusqu'à la stature parfaite de Christ. Et par le revêtement de cette présence divine, nos vies attirent les âmes à Lui et vainquent les difficultés. - H.E. Alexander

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Plan de lecture quotidienne :

 Nombres 14-15   Actes 13 : 1-12

 

Le Seigneur nous conduit pas à pas…

 

Transmis par René Barrois le 04/03

 

« L’Eternel sera toujours ton guide, il rassasiera ton âme dans les lieux arides, et il redonnera de la vigueur à tes membres ; tu seras comme un jardin arrosé, comme une source dont les eaux ne tarissent pas (ou une source qui coule toujours) » (Esaïe 58/11)

Quelle promesse pour celui ou celle qui marche avec Dieu. Quel privilège est celui du chrétien de pouvoir cheminer avec le Seigneur dans ce monde et combien il est sécurisant pour lui de savoir que quelqu’un veille sur chacun de ses pas.

 

Je lisais récemment dans un magazine allemand la petite histoire suivante qui illustre fort bien ce message. Il s’agit d’un père et de son jeune garçon qui avait trouvé un merveilleux endroit pour camper et s’apprêtaient à passer quelques bonnes journées de vacances à l’orée d’un bois.

 

Le père demanda à son garçon de bien vouloir se rendre dans le village voisin pour y poster une lettre qu’il venait d’écrire. Il le conduisit sur le haut de la colline voisine pour lui montrer le chemin qu’il devait prendre pour atteindre le village qui se trouvait en contrebas et dans lequel se trouvait la poste.

 

Le garçon, s’adressant à son papa, lui dit : « Mais papa, d’ici je ne peux pas vraiment voir si le chemin que tu m’indiques me mènera au village ». Le père prit alors la petite main de son garçon dans la sienne, lui montrant tout le bout de chemin que son fils et lui pouvaient apercevoir de l’endroit où ils se tenaient.

 

« Vois-tu », lui dit-il, « le chemin que tu vois t’amène jusqu’à ce grand arbre que tu vois là-bas ». « Oui, je vois bien que le chemin mène jusqu’à l’arbre, mais près de l’arbre, il n’y a pas de village » reprit le garçon. « C’est vrai », précisa le père, « mais lorsque tu seras arrivé près de cet arbre, tu apercevras un virage, et après le virage, le chemin descend encore plus bas. Rend-toi déjà jusqu’à l’arbre, poursuis jusqu’au virage, et continue simplement d’avancer jusqu’à ce que tu aperçoives les premières maisons du village. Et lorsque tu les auras atteintes, tu verras un peu plus loin la poste et la boîte aux lettres en question. Tu pourras alors y glisser cette lettre que je te confie ».

 

La réaction de ce petit garçon ne reflète-t-elle pas aussi souvent la nôtre à l’égard de Dieu ? Nous aimerions toujours connaître d’avance ses plans pour notre vie, alors que notre Seigneur, par amour pour nous et dans sa sagesse, connaissant notre fragilité, se garde bien de nous les révéler dans leur totalité. Il nous conduit, par contre, sur un sûr chemin qu’Il a lui-même préparé d’avance pour chacun de nous, mais un pas à la fois seulement. Il ne nous fait découvrir qu’un virage après l’autre, sachant pertinemment que nous serions incapables de supporter et de gérer la totalité de son plan divin pour notre vie en une seule fois. Il compte sur nous pour des projets à long terme. Notre route se dessine progressivement. D’étape en étape, son appel se confirme en nous. Quel amour et quelle sagesse ! Qu’il est bon de se laisser conduire par le Seigneur !

 

Ceci nous rappelle combien il est important pour nous chrétiens, de faire confiance à notre Seigneur quant à ses directives en ce qui concerne les circonstances qu’il permet dans notre vie. Une chose est certaine : quelle que soit notre situation, et peut-être nous semble-t-elle actuellement particulièrement insaisissable, rappelons-nous que lui, notre merveilleux Sauveur, connaît d’avance le prochain virage, la prochaine décision importante que nous aurons à prendre. Il sait ce qui se présente devant nous, avant même que cela ne nous arrive. Il nous accordera toujours la force nécessaire pour surmonter les obstacles les plus difficiles et nous aidera à maîtriser les situations les plus périlleuses.

La seule chose qu’Il attend de nous, c’est que nous lui accordions une confiance totale quant à la destinée de la route qu’il a tracée pour nous.

 

Une autre illustration me vient à l’esprit en ce moment, celle d’une personne que le Seigneur à appelée à se consacrer à son service et qui, en réponse à cet appel, lui aurait présenté une feuille blanche, représentant sa vie. Elle la lui remet blanche, toutefois signée en bas de page, en lui précisant : « Seigneur, tu peux inscrire sur cette feuille (qui représente ma vie), ce que tu veux, ce que tu jugeras bon ; je te fais entièrement confiance pour le contenu de ce que tu y inscriras ».

 

N’est-ce pas ce que le Seigneur attend de chacun d’entre nous ? Puissions-nous ne jamais reprendre les rennes, le contrôle de notre vie, mais l’abandonner entre ses mains, lui qui sait tellement mieux ce qui nous convient.

 

Le Seigneur nous indiquera toujours le chemin à suivre, pas après pas. Ce qui est aussi réconfortant, c’est de savoir qu’il nous donnera toujours les forces nécessaires pour affronter puis surmonter les obstacles qui se dressent sur notre route.

 

Mais voilà, c’est toujours de nôtre côté que se trouve le problème : lui accordons-nous toujours notre entière confiance ? Avons-nous appris à lui remettre notre destinée ou alors, en dépit de ses promesses, continuons-nous de vivre dans la crainte quant à notre avenir ?

 

Le chrétien qui regarde à Jésus et lui fait confiance, celui qui remet son sort à l’Eternel et s’attend à lui pour son avenir verra toujours le Seigneur aplanir ses sentiers, car pour Dieu, les montagnes seraient-elles les plus hautes, elles ne seront jamais insurmontables, ni un obstacle pour lui. Et à chaque étape de sa vie, il pourra dire sans aucune hésitation : « …jusqu’ici l’Eternel m’a secouru. Béni soit Son Nom ! »

 

Toi qui, en ce moment, ne comprends pas ce qui t’arrive, réalise que la main de Celui qui te tient, te conduit, te porte, te soutient, est sur toi et que jamais elle ne te délaissera. C’est la main de ton Seigneur Tout-Puissant auquel rien n’est impossible. Celui qui te bénit, te console et t’aime est aussi fidèle. Il est l’immuable et son amour, ses tendres soins, ne changeront jamais à ton égard.

 

Serait-il possible de manquer de confiance à l’égard de celui qui a dit au prophète Esaïe :

« Ne crains rien, car je suis avec toi ; ne promène pas des regards inquiets, car je suis ton Dieu. Je te fortifie, je viens à ton secours, je te soutiens de ma (main) droite triomphante » (Esaïe 41/10).

 

Même si des montagnes de difficultés nous environnent, sa grâce ne s’éloignera jamais de nous. Elle nous soutiendra en toute circonstance. S’adressant à chacun d’entre nous, il nous dit une nouvelle fois aujourd’hui :

« Tu n’as rien à craindre. Laisse-moi conduire chacun de tes pas et je te conduirai à bon port »

Prends ces paroles pour toi et alors, avec le prophète Esaïe, tu pourras t’exclamer toiaussi :

« Voici, Dieu est ma délivrance, je serai plein de confiance, et je ne craindrai rien ; car l’Eternel, l’Eternel est ma force et le sujet de mes louanges » (Esaïe 12/2).

 

Quelle grâce pour chacun de nous, chrétiens, de pouvoir nous en remettre à notre Dieu Tout-Puissant et croire qu’il ne laissera jamais nos difficultés, nos problèmes ou nos épreuves nous dépasser ; qu’il nous accordera toujours la force correspondante pour les surmonter. Allons de l’avant avec courage, un pas à la fois, réalisant que le Seigneur marche devant nous et qu il se tient chaque jour à nos côtés, que rien ni personne ne saurait nous ravir de Sa forte Main! - Dorothée Hatzakortzian

 céleste si glorieuse qu’il a préparée pour moi. Voir la face de mon Sauveur pendant l’éternité sera mon plus grand bonheur et le célébrer mon plus grand ravissement ! - Dorothée Hatzakortzian

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Plan de lecture quotidienne :

Nombres 11-13   Actes 12

 

« Nous avons ri, pleuré, titubé... mais où était le réveil ?

 

Transmis par René Barrois le 03/03

 

C’est aux fruits, a dit Le Christ, que se reconnaît un arbre ; et que l’on peut savoir s’il est bon ou mauvais. Par cette parabole à l’image si claire, Jésus-Christ exhortait ses auditeurs à discerner, au-delà des apparences, la réalité d’une œuvre, d’une vie qui se réclameraient de la foi et de Dieu, mais seraient des contrefaçons...

Il est rare que les fruits poussent sur de jeunes plants. De même, c’est souvent dans la suite du temps que se révèle la vraie nature d’une entreprise ou d’une personne. L’apôtre Paul le rapportait à Timothée, jeune serviteur de Dieu : « Les péchés de certains hommes sont évidents, avant même qu’on les examine ; mais pour d’autres, ils ne se révèlent que dans la suite du temps. » (1 Timothée 5 : 24).

Ainsi en est-il souvent des « faux docteurs », des « faux prophètes »... et des faux réveils !

Récemment, le pasteur canadien Paul Gowdy écrivait ceci, au sujet du pseudo « réveil Toronto », que son église « Vineyard » du quartier de Scaborough, à Toronto même, avait adopté durant plusieurs années : « Nous avons ri, pleuré, titubé..., nous avons acheté le T-shirt de l’église, mais où était le réveil ?... Trois années de cette « bénédiction » avaient fait de nous des chrétiens les plus charnels et immatures que je n’aie jamais connus... »

Et ce pasteur d’affirmer, au fil d’un message de plusieurs pages, sa conviction que « Satan s’est servi de cette expérience pour en aveugler beaucoup, pour occulter des saintes doctrines enseignées depuis des siècles dans l’Église, et pour empêcher qu’on produise « des fruits dignes de la repentance » Par elle, il a empêché les gens de discerner les esprits et d’éprouver les prophéties (...) »

Et de s’interroger : « rétrospectivement, je me demande comment j’ai pu me laisser aveugler à ce point. »

Démarche de repentance et de mise en garde courageuse et profondément honnête, qu’il conclut en évoquant l’aveuglement de l’église de Laodicée sur son état spirituel (Apocalypse 3 : 14-22).

En janvier 1995, alors que cette « bénédiction de Toronto » commençait à gagner des églises en Europe, l’éditorial de Femme Chrétienne en avait alerté ses lecteurs, concluant par cette exhortation de St Paul aux Thessaloniciens : « ...ne vous laissez pas, frères, facilement ébranler dans votre bon sens. »

Les années se sont écoulées. d’autres modes destructrices de la foi véritable ont parcouru et parcourent les églises...cela n’est pas nouveau – errement, égarements, hérésies ont, hélas, jalonné l’histoire de l’Église depuis son origine – mais redouble en ce temps.

Qu’il est essentiel de fonder sa foi et tous les aspects de sa vie sur la Parole de Dieu, pour se garder d’être séduit et s’égarer dans des voies de traverse dont on peu ne pas revenir ! De vivre ce qui est biblique ; rien que ce qui est biblique ; et tout ce qui est biblique. De séparer ce qui est vil, charnel, ce qui est précieux, d’en haut, ainsi que Dieu le disait au prophète Jérémie.

Quand souffle l’Esprit de Dieu – l’Esprit-Saint, l’Esprit de vérité – alors s’accomplit ce que la Bible dit concernant les signes de sa présence, par exemple dans le livre des Actes au chapitre 2.

Alors, les vies manifestent aussi les fruits de l’Esprit (Galates ch. 5). Voilà ce qu’est, bibliquement, le réveil – Samuel Charles

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Plan de lecture quotidienne :

Nombres 9-10   Actes 11 : 19-30

Une mort paisible (2)

 

Transmis par René Barrois le 02/03

« Quand je marche dans la vallée de l'ombre de la mort, je ne crains aucun mal, car Tu es avec moi.» (Psaume 23 : 4).

 

Il y a quelques années, je rendis visite à mon beau-père à l'hôpital. Il était allongé sur son lit, fatigué, ayant de grosses difficultés respiratoires. Son visage était pâle, triste, et sa voix à peine audible.

« Que c'est long ! » me dit-il.

« Oui, c'est long, lui répondis-je. Mais c'est bien court à côté de l'éternité dans laquelle vous allez bientôt entrer. Là, vous serez avec le Seigneur, pour toujours, et vous ne vous souviendrez plus de vos souffrances sur la terre. Puis nous y serons tous et nos cœurs seront occupés de notre bien-aimé Sauveur... »

Quand il entendit parler du ciel et de Jésus, son visage s'est complètement transformé par un sourire. Un éclat de joie est passé sur ses yeux tristes et fatigués, et je me suis dit : la foi et l'espérance sont vraiment des réalités qui soutiennent le croyant même dans les moments les  plus pénibles.

Ami, cette foi et cette espérance, les possédez-vous ?  Votre cœur se réjouit-il lorsqu'on vous parle de Jésus et du ciel ? Si non, faites comme mon beau-père : A un moment de sa vie, il a reconnu devant Dieu qu'il était pécheur, méritant la condamnation divine, et il a reçu Jésus comme son Sauveur. C'est pourquoi, malgré ses souffrances physiques, il a traversé la mort de façon paisible.

Durant les jours de sa fin, il aimait rappeler ce verset la Bible :

« Les souffrances du temps présent ne sont pas dignes d'être comparées avec la gloire à venir qui doit nous être révélée. » (Romains 8 : 18) – La Vérité Sûre

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Plan de lecture quotidienne :

 Nombres 7-8    Actes 11 : 1-18

Une mort terrible (1) 


 

Transmis par René Barrois le 01/03

 

« Il est réservé aux hommes de mourir une fois, après quoi vient le jugement.» (Hébreux 9 : 27)

 

Enivré du succès d’une pièce nouvelle qu’il faisait représenter, Voltaire fut acclamé par la foule avec un tel enthousiasme qu’il s’écriait : « Vous voulez donc me faire mourir de plaisir ? »

Soudain une violente hémorragie se produisit et mit ses jours en danger. Ses amis, Diderot, d’Alembert, Marmontel, accoururent pour le soutenir dans ses derniers moments, mais ce ne fut, raconta l’un de ses biographes, que pour être témoins de la mort la plus terrible qui frappa l’impie. La rage, les remords, les blasphèmes, les reproches de la conscience, tout cela accompagna la longue agonie du mécréant mourant.

On l’entendit supplier et blasphémer le Dieu qu’il avait haï pendant sa vie. Un jour, un livre de prières à la main, il essaya d’invoquer Dieu. Tombant de son lit dans les convulsions de l’agonie, il restait étendu sur le parquet, impuissant, désespéré, s’écriant :

« Ce Dieu que j’ai renié ne viendra-t-il pas me sauver aussi ? »

S’adressant à son médecin, il s’écria avec horreur :

« Je suis abandonné de Dieu ! Docteur, je vous donne la moitié de ce que je possède si vous pouvez me prolonger la vie de six mois ! »

Son agonie fut telle que son infirmière déclara que pour tous les trésors de l’univers, elle ne consentirait pas à voir mourir un autre athée.

Les tourments indescriptibles ont été la fin de cet homme ayant été l’ennemi de Dieu durant sa vie. Quand je dis “la fin”, je parle bien sûr de la fin de sa vie sur la terre, mais qu’en est-il maintenant de son âme ?

Par la parabole du riche et de Lazare (Luc 16 v.19 et suivants) Jésus lève le voile sur l’au-delà et nous donne une idée des tourments dans lesquels se trouvent les âmes de ceux qui ont vécu sans Dieu. - La Vérité Sûre


 

 

Plan de lecture quotidienne :

 

Une mort terrible (1)


 

Transmis par René Barrois le 01/03

 

« Il est réservé aux hommes de mourir une fois, après quoi vient le jugement.» (Hébreux 9 : 27)

 

Enivré du succès d’une pièce nouvelle qu’il faisait représenter, Voltaire fut acclamé par la foule avec un tel enthousiasme qu’il s’écriait : « Vous voulez donc me faire mourir de plaisir ? »

Soudain une violente hémorragie se produisit et mit ses jours en danger. Ses amis, Diderot, d’Alembert, Marmontel, accoururent pour le soutenir dans ses derniers moments, mais ce ne fut, raconta l’un de ses biographes, que pour être témoins de la mort la plus terrible qui frappa l’impie. La rage, les remords, les blasphèmes, les reproches de la conscience, tout cela accompagna la longue agonie du mécréant mourant.

On l’entendit supplier et blasphémer le Dieu qu’il avait haï pendant sa vie. Un jour, un livre de prières à la main, il essaya d’invoquer Dieu. Tombant de son lit dans les convulsions de l’agonie, il restait étendu sur le parquet, impuissant, désespéré, s’écriant :

« Ce Dieu que j’ai renié ne viendra-t-il pas me sauver aussi ? »

S’adressant à son médecin, il s’écria avec horreur :

« Je suis abandonné de Dieu ! Docteur, je vous donne la moitié de ce que je possède si vous pouvez me prolonger la vie de six mois ! »

Son agonie fut telle que son infirmière déclara que pour tous les trésors de l’univers, elle ne consentirait pas à voir mourir un autre athée.

Les tourments indescriptibles ont été la fin de cet homme ayant été l’ennemi de Dieu durant sa vie. Quand je dis “la fin”, je parle bien sûr de la fin de sa vie sur la terre, mais qu’en est-il maintenant de son âme ?

Par la parabole du riche et de Lazare (Luc 16 v.19 et suivants) Jésus lève le voile sur l’au-delà et nous donne une idée des tourments dans lesquels se trouvent les âmes de ceux qui ont vécu sans Dieu. - La Vérité Sûre


 

 

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