Mai 2020

27/04/2020 10:46

Plan de lecture quotidienne :

1 Chroniques 5-6      Luc : 18-36

 

Manifestation de la plénitude du Saint-Esprit

 

Transmis par René Barrois le 31/05

 

« Ne vous enivrez pas de vin : c’est de la débauche. Soyez, au contraire, remplis de l’Esprit. » (Éphésiens 5 : 18).

 

La manifestation de la plénitude de l’Esprit est double :

Premièrement  : une vie de sainteté

Deuxièmement  : une vie de puissance spirituelle

 

Nous avons tous des caractères différents et l’expression de notre façon de se comporter diffère de l’un à l’autre. La plénitude du Saint-Esprit dépend de la réaction des croyants face à la grâce qui leur est accordée. Par exemple, deux hommes qui viennent juste d’être sauvés après un tremblement de terre. L’un pleure tranquillement, sa voix tremble avec émotion, l’autre rit et frappe des mains.

En dépit de la différence des tempéraments, la manifestation de la plénitude est identique : sainteté et puissance. Par l’Esprit qui habite en nous, nous reflétons le portrait de Seigneur Jésus (Galates 5 : 22-23). Nous remarquons que le fruit de l’Esprit est le contraire des œuvres de la chair.

À l’opposé des œuvres de la chair qui représentent la nature humaine et ses désirs corrompus. Le fruit de l’Esprit se manifeste dans la vie des croyants pour anéantir la puissance du péché et particulièrement les oeuvres de la chair.

Le fruit de l’esprit est :

L’amour  : est de prendre soin des autres et rechercher ce qu’il y a de meilleur pour eux sans vouloir retirer quoi que que ce soit pour soi-même.

La joie : est le chant de l’amour

La paix : est le repos de l’amour

La patience : est la persévérance de l’amour

La bonté : est la compassion de l’amour

La bénignité : est le caractère de l’amour

La foi : est la confiance de l’amour

La douceur : est la confiance de l’amour

La tempérance : est la sobriété de l’amour.

 

La plénitude de l’Esprit se manifeste dans la vie du chrétien par :

une disposition de dévouement

une vie aimante

un esprit rayonnant qui supporte tout

un tempérament gai

une intelligence paisible

une assistance pleine de courtoisie

une loyauté qui inspire la confiance dans toutes circonstances

une humilité qui s’oublie soi-même...

Quel magnifique tableau qui nous révèle la vie de Christ en nous ! Cette plénitude du Saint-Esprit est préparée pour tous le croyants et il nous est commandé de vivre cette manifestation quotidiennement.

Cette manifestation de puissance est accordée uniquement si nous obéissons à la voix de l’Esprit, soumis à la Parole de Dieu et que nous acceptons le ministère que l’Esprit a choisi pour nous.

Le Saint-Esprit ne cesse de déverser son onction sur les croyants si tant est que ces derniers entretiennent une foi vivante en Jésus-Christ « Celui qui nous accorde l’Esprit, et qui opère des miracles parmi vous, le fait-il donc par les œuvre de la loi, ou par la prédication de la foi ? » (Galates 3 : 5). La manifestation de l’Esprit ne peut qu’entraîner l’accomplissement de toutes sortes de miracles, de prodiges et de signes pour la gloire de Dieu. - René Barrois

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Plan de lecture quotidienne :

1 Chroniques 3-4      Luc 9 : 1-17

La Pentecôte

 

Transmis par René Barrois le 30/05

 

« 1) Le jour de la Pentecôte, ils étaient tous ensemble dans le même lieu.

2) Tout à coup il vint du ciel un bruit comme celui d'un vent impétueux, et il remplit toute la maison où ils étaient assis.

3) Des langues, semblables à des langues de feu, leur apparurent, séparées les unes des autres, et se posèrent sur chacun d'eux.

4) Et ils furent tous remplis du Saint-Esprit, et se mirent à parler en d'autres langues, selon que l'Esprit leur donnait de s'exprimer.

5) Or, il y avait en séjour à Jérusalem des Juifs, hommes pieux, de toutes les nations qui sont sous le ciel.

6) Au bruit qui eut lieu, la multitude accourut, et elle fut confondue parce que chacun les entendait parler dans sa propre langue.

7) Ils étaient tous dans l'étonnement et la surprise, et ils se disaient les uns aux autres : Voici, ces gens qui parlent ne sont-ils pas tous Galiléens?

8) Et comment les entendons-nous dans notre propre langue à chacun, dans notre langue maternelle?

9) Parthes, Mèdes, Elamites, ceux qui habitent la Mésopotamie, la Judée, la Cappadoce, le Pont, l'Asie,

10) la Phrygie, la Pamphylie, l'Egypte, le territoire de la Libye voisine de Cyrène, et ceux qui sont venus de Rome, Juifs et prosélytes,

11) Crétois et Arabes, comment les entendons-nous parler dans nos langues des merveilles de Dieu?

12) Ils étaient tous dans l'étonnement, et, ne sachant que penser, ils se disaient les uns aux autres: Que veut dire ceci ?

13) Mais d'autres se moquaient, et disaient: Ils sont pleins de vin doux. » (Actes 2 : 1-13).

 

La Pentecôte (qui veut dire en grec « 50ième jour») est une fête chrétienne qui a lieu cinquante jours après Pâques, et dix jours après l’Ascension.

Elle a été instituée pour commémorer un événement particulier, marquant le début de l’Eglise chrétienne, peu de temps après la mort et la résurrection de Jésus-Christ. Cet événement est la venue dans les croyants, de l’Esprit de Dieu (ou Saint Esprit), pour leur communiquer la présence et l’amour de Dieu.

 

Histoire

A Jérusalem, plusieurs jours après la mort de Jésus, une centaine de disciples du Christ assistent à la fête juive des Semaines, qui démarre 50 jours après Pâques. Ils sont assemblés en un même lieu quand soudain, des langues de feu se posent au dessus d’eux, un vent venu de nulle part traverse l’endroit où ils sont, tandis qu’eux-mêmes se mettent à chanter des louanges à Dieu, mais dans des langues qu’ils ne connaissent pas du tout ! Il s’agit des langues des peuples de l’empire romain, de telle sorte que les personnes de ces contrées venues à Jérusalem pour la fête, les comprennent ! La foule, étonnée de voir et d’entendre ce phénomène surnaturel et mystérieux, s’assemble autour des disciples. Ceux que Jésus avait désignés comme ses apôtres prennent la parole. Ils expliquent que Dieu a répandu sur eux le Saint-Esprit (= l’Esprit de Dieu), promis à tous ceux qui croient en la résurrection de Jésus. Ils leur annoncent le pardon des fautes grâce au sacrifice du Christ. Des milliers de personnes se convertissent alors à Jésus. L’Eglise chrétienne est née et elle va se répandre de là, à tout l’empire romain, en moins d’un siècle.
 

Signification

La Pentecôte est un événement qui fait intervenir la 3ème personne de la trinité : le Saint Esprit, pour le bonheur des croyants. Dieu met ainsi le terme à sa révélation, nous indiquant qu’il est un en 3 «personnes» : Dieu-le Père, Dieu-le Fils (Jésus-Christ) et Dieu-le Saint Esprit (ou Esprit de Dieu).

En Jésus, Dieu-le Fils s’est fait homme, pour que nous puissions voir et connaître son amour infini. Il s’est sacrifié pour chacun(e) de nous, prenant sur lui nos fautes, afin de nous délivrer du mal qui nous blesse. En tant qu’homme, il est mort pour mettre fin à la séparation qui existe entre nous et Dieu.

Ressuscité, triomphant de la mort, Jésus est «remonté» auprès de Dieu-le Père, retrouvant tous ses attributs divins. 50 jours après sa résurrection, lors de la fête juive des semaines, il inaugure une nouvelle ère : par l’envoi du Saint Esprit en ceux qui croient en son sacrifice, il offre la possibilité à chacun(e) d’expérimenter la présence et l’amour de Dieu.

Avant la venue de Jésus, l’Esprit de Dieu était donné à certaines personnes du peuple Juif, pour les aider à accomplir leurs responsabilités (notamment les rois, les grands prêtres, les prophètes). Ils pouvaient ainsi se sentir en contact direct avec Dieu, recevoir sa sagesse, sa force et son amour. Dieu les aidait dans les choix qu’ils avaient à faire. Les prophètes (= porte-parole de Dieu) recevaient par le Saint Esprit les messages que Dieu voulait adresser au peuple. Dieu montrait par leur exemple le bénéfice de le rencontrer personnellement et il préparait ainsi le peuple à une nouvelle ère.

« Mais vous recevrez une puissance, le Saint-Esprit survenant sur vous, et vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée, dans la Samarie, et jusqu'aux extrémités de la terre. » (Actes 1 : 8). A partir de la Pentecôte, Dieu donne son Esprit à tous ceux qui croient en Jésus, quel que soit leur rang, leur sexe, leur classe, leur âge. Plusieurs milliers de personnes ont ainsi découvert une relation personnelle avec Dieu et l’assurance de la vie éternelle. Chaque croyant peut expérimenter dans sa vie de tous les jours le pardon, l’amour, le secours et le conseil de Dieu. Par l’Esprit de Dieu résidant en lui, il peut entendre Dieu lui parler.

Voulez-vous goûter à l’amour de Dieu ? Si vous êtes croyant, avez-vous fait cette expérience de la venue du St Esprit en vous ? - toi de voir adapté par René Barrois

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Plan de lecture quotidienne :

1 Chroniques 1-2      Luc 8 : 40-56

Recevoir le Saint-Esprit

Transmis par René barrois 

« Si donc méchant comme vous l’êtes, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, à combien plus forte raison le Père céleste donnera-t-il le Saint-Esprit à ceux qui le demandent. » (Luc 11 : 13 ; Actes 2 : 4).

« Avez-vous reçu le Saint-Esprit quand vous avez cru ? » (Actes 19 : 12).

Le baptême du Saint-Esprit est pour les hommes et les femmes qui ont cru et ont accepté de passer par Gethsémané, par Golgotha. C’est pour tous ceux qui ont le cœur, les pensées, les raisonnements purifiés par la foi et par le sang précieux de Jésus.

L’effusion du Saint-Esprit est la volonté de Dieu : « Jusqu’à ce que l’Esprit soit répandu d’en-haut sur nous. » (Ésaïe 32 : 15) Pour le recevoir, vous devez croire simplement dans la promesse de Dieu. Il faut que Jésus-Christ tienne la première place dans votre cœur, lui abandonnant votre volonté, vos projets, vos désirs. Le Seigneur ne doit jamais tenir la seconde place dans votre vie. Vous devez vous détourner du mal, du péché et de la vie du monde, avoir une vie d’obéissance à la Parole de Dieu.

Quand le cœur est prêt, la bénédiction vient, comme lors du réveil, au temps d’Ézéchias : « Ézéchias et tout le peuple se réjouirent de ce que Dieu avait disposé le peuple car la chose se fit subitement. » (2 Chroniques 29 : 36) Comme une terre altérée, votre cœur doit soupirer après l’eau de ciel.

Si vous n’avez pas encore reçu la plénitude dans le Saint-Esprit, préparez-vous à le recevoir, comme si vous receviez un ami qui vous est cher.

Le général Booth a écrit : « Pour recevoir le baptême de feu, veillez à ce que votre âme soit en harmonie avec la volonté et le dessein du Saint-Esprit que vous recherchez. Veillez à ce que le canal de communication par le quel on reçoit le Saint-Esprit soit ouvert. »

a) Il faut croire avec force

La foi est l’élément indispensable l’accomplissement des choses que Dieu vous promet « Qu’il demande avec foi, ne doutant nullement ; car celui qui doute est semblable au flot de la mer, agité par le vent et jeté çà et là... » (Jacques 1 : 6-8).

Vous devez savoir que le baptême du Saint-Esprit est une promesse de Dieu, selon Jésus : « La promesse du Père, ce que le Père a promis est pour tous ceux qu’il appelle.» (Actes 2 : 39). Aussi vous pouvez croire que le baptême du saint-Esprit est pour chacun de vous !

b) Il faut le désirer ardemment

« Jésus s’écrie : Si quelqu’un a soif qu’il vienne à moi et qu’il boive. Il dit cela de l’Esprit que devaient recevoir ceux qui croiraient en lui. » (Jean 7 : 37-39) .

En 1 Corinthiens 14 : 1 la version Darby précise : « Désirez avec ardeur...les dons spirituels. » Nous devons prendre conscience de l’importance du baptême du Saint-Esprit pour une vie chrétienne riche et bien remplie « Soyez remplis du Saint-Esprit » (Éphésiens 5 : 18)

c) Il faut le demander

Jésus enseigne à prier pour recevoir le Saint-Esprit : « Combien plus forte raison le Père céleste donnera le Saint-Esprit à ceux qui le demandent. » (Luc 11 : 13).

Les apôtres prièrent pour les disciples de Samarie qui avaient été baptisés d’eau, afin qu’ils reçoivent le Saint-Esprit (Actes 8 : 15). Demandez et vous recevrez... Priez pour être baptisés du Saint-Esprit.

          Priez, seul ou avec d’autres, mais de toute manière PRIEZ !

d) Il faut sonder votre propre coeur

Le canal peut être bouché à cause du péché – de compromis avec le monde – quelque chose que vous ne voulez pas abandonner... Il faut que la communication entre Dieu et le croyant soit libre par la méditation de la Parole du Seigneur, pour cela vous devez être en mesure d tenir en bon état votre corps, qui est le temple du Saint-Esprit. Tout Chrétien peut discipliner son corps au service de Dieu. Votre ami le Saint-Esprit, désire entrer dans votre vie pour y demeurer et vous remplir de s toute-puissance. - René Barrois

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Plan de lecture quotidienne :

2 Rois 23-25      Luc 8 :22-39

L’attente du Saint-Esprit

 

Transmis par René Barrois le 28/05

 

« Comme (Jésus) se trouvait avec eux, il leur recommanda de ne pas s’éloigner de Jérusalem, mais d’attendre ce que le Père avait promis...Car Jean a baptisé d’eau, mais vous, dans peu de jours vous serez baptisés du Saint-Esprit. » (Actes 1 : 4-5).

 

Entre le jour de l’Ascension et celui de la Pentecôte les disciples ont attendu dix jours avant d’être remplis du Saint-Esprit.

Les cent vingt croyants ont obéi au dernier commandement du Seigneur Jésus-Christ. Tous d’un commun accord se rendirent dans la chambre haute, ensemble spirituellement en ayant tous un même but : la réception du Saint-Esprit.

Les disciples ont donc commencé cette réunion dans l’après-midi du jeudi de l’Ascension. Ils décidèrent de chercher Dieu d’une manière déterminée avec ferveur. Ils priaient, chantaient, louaient Dieu de tout leur cœur tout en étant attentifs à la voix du Seigneur.

Tous les jours ils étaient présents. Ils passaient des heures avec les mêmes activités, les mêmes recherches dans l’attente de la venue de l’Esprit Saint et jour après jour aucun changement, rien de nouveau.

Le neuvième jour, toujours rien d’extraordinaire, absolument rien. La nature humaine ne change pas avec les siècles ; À force d’attendre, dans le raisonnement de beaucoup plusieurs questions ont été pensées :

« Pourquoi ne travaillons-nous pas pour Dieu ? Nous avons reçu la directive pour un grand travail. Quittons cette chambre haute et partons annoncer l’Évangile. »

« Je suis fatigué d’attendre. Il n’y a eu aucune manifestation spectaculaire. La situation paraît sans espoir. »

« Je pense que nous sommes hors de la volonté du Seigneur. » etc.

De telles pensées entrent très vite à l’improviste dans l’Esprit des hommes. Ce neuvième jour est crucial, car, si les 120 avaient abandonné l’attente cela aurait détourné le plan de Dieu. L’histoire de l’Église aurait été bien différente si ce groupe n’était pas demeuré ferme ce neuvième jour.

Et puis le dixième jour, le dimanche de la Pentecôte cela est arrivé !

 

Tout à coup, il vint un bruit du ciel comment un vent impétueux.

Tout à coup, le chemin fut ouvert, les doutes furent chassés, la situation fut changée. (Actes 2 : 4).

 

L’Esprit Saint : vent, personne et feu vient revêtir les disciples de la puissance d’en haut qui les rendait capables de devenir des témoins pour Christ, pour porter l’Évangile aux extrémités de la terre (Actes 1 : 8). Ainsi au travers de ce baptême de l’Esprit les disciples sont devenus les successeurs de Christ pour continuer d’enseigner ce qu’il avait commencé.

Les disciples sont restés fermes jusqu’au dixième jour. Ce fut la victoire ! La victoire la plus douce n’est pas donnée à ceux qui ce précipitent voulant activer les choses. Elle est pour ceux qui demeurent fermes dans le calme avec sagesse, qui cherchent Dieu de tout leur cœur et lui obéissent pendant les jours d’attente. C’est pourquoi il faut rester dans la prière, l’intercession et la louange. - René Barrois

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Plan de lecture quotidienne :

2 Rois 20-22      Luc 8 : 1-21

Regarde l’oeuvre de Dieu !

 

Transmis par René Barrois le 27/05

 

« Regarde l’oeuvre de Dieu : qui pourra redresser ce qu’il a courbé ? » (Ecclésiaste 7 : 13)

« Éternel, tu as fait de mon corps une œuvre si étonnante et si merveilleuse. Que tes œuvres sont admirables ! » (Psaume 139 : 13-14).

 

Selon le docteur Leininger, chirurgien ophtalmologiste, « l’oeil est un organe ultra-perfectionné ; chaque élément : la cornée, le cristallin, l’ris, la pupille et la rétine, a son rôle et son importance. Relié par le nef optique, l’oeil permet au cerveau d’enregistrer, d’interpréter et de traduire les images avec un automatisme extraordinaire »

Dans une publicité d’une grande marque de téléphone portable, j’ai lu : « Parce que votre iris est unique, vous pouvez sécuriser votre smartphone d’un simple regard. La reconnaissance de l’iris est aujourd’hui la solution de verrouillage la plus efficace et la plus sécurisé pour votre smartphone.

Personne d’autre que vous sur la terre n’a votre empreinte digitale ou ADN. Les scientifique attestent de façon formelle que nous sommes tous des êtres uniques. Pour Dieu notre Créateur, nous ne sommes pas des clones anonymes ni des numéros. Dieu disait à Moïse : « Je te connais par ton nom » (Exode 33 : 12). De plus, le bible dit : « Du lieu de sa demeure, Dieu observe tous les habitants de la terre...Il est attentif à toutes leurs actions » (Psaume 33 : 14).

Dieu connaît tout de notre vie, de notre conduite, de nos pensées, de nos sentiments, de nos œuvres, de notre passé, de notre présent et de notre avenir. Convaincu de cette réalité, David disait : « Ô Dieu ! Tu connais ma folie, et mes fautes ne te sont point cachées » (Psaume 69 : 6).

Il faut savoir que « Dieu nous appellera en jugement » (Écclésiaste 12 : 1). Alors que faire ? « Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner... » (1 Jean 1 : 9). - Joël Chédru

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Plan de lecture quotidienne :

2 Rois 18-19       Luc 7 : 36-50

Voir et se laisser voir

 

Transmis par René Barrois le 26/05

 

« Heureux ceux qui ont le coeur pur, car ils verront Dieu !” » (Matthieu 5 : 8)

 

Un jour, des Grecs interpellent Philippe, l’un des disciples, et lui confient : “Nous voudrions voir Jésus !” Voilà une excellente démarche : chercher à voir, à mieux connaitre le Christ, le Seigneur. C’est d’ailleurs une des prières que nous pourrions également avoir à l’esprit chaque jour : voir Jésus dans notre quotidien ; Le retrouver dans la lecture de la Bible ; Le côtoyer lorsque l’on va à la rencontre de l’autre… Or, voir Jésus, c’est voir Dieu Lui-même ! (Jean 14 : 9).

Mais comment Le voir aujourd’hui ? La réponse est là, clairement énoncée dans les Béatitudes : « Heureux ceux qui ont le cœur pur, car ils verront Dieu ! » Avoir le cœur pur ouvre la vision sur Dieu et sur Son Fils. Tant que notre regard restera encombré par diverses passions ou pensées mal ordonnées, nous aurons une vision imparfaite, floue, troublée.

Un moine d’Orient, dans un siècle passé, confiait : « J’apprends à regarder Jésus dans la mesure où j’apprends à être regardé par Lui. » Il est vrai que nous stagnons souvent dans notre vie chrétienne parce que nous ne nous laissons pas voir tels que nous sommes par Celui de qui, pourtant, nous ne pouvons nous cacher. Cela provoque un blocage, un écran qui nous sépare de Dieu. De fait, nous mentons à notre entourage, nous nous mentons à nous-mêmes et nous croyons pouvoir mentir à Dieu. Or, que pouvons-nous soustraire au regard de Dieu sur nous. Il nous voit tels que nous sommes et du coup, le mieux est de capituler et de nous soumettre à Son regard.

Ce regard divin n’est pas accusateur, mais bien plutôt libérateur parce que Dieu est bienveillant, au contraire des hommes toujours prêts à humilier leur prochain. Nous verrons mieux Jésus (et Dieu) dans notre vie dès lors que nous Le laisserons regarder la nôtre. Cette expérience est à vivre au quotidien. - SPPA

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Plan de lecture quotidienne :

2 Rois 16-17      Luc 7 : 1-35

Jésus est-il mon Seigneur ?

 

Transmis par René Barrois le 25/05

 

« Que m’importe la vie, pourvu que j’accomplisse ma course, et la tâche que j’ai reçue du Seigneur Jésus » (Actes 20 : 24).

 

Paul ne demande qu’une chose : la satisfaction d’accomplir jusqu’au bout la tâche que le Seigneur lui a prescrite.

Je ne dois pas chercher ma joie dans le succès, mais dans le parfait achèvement de ce que Dieu avait en vue quand il m’a créé et m’a régénéré.

Notre Seigneur mettait sa joie à faire ce pour quoi son Père l’avait envoyé.

« Comme mon Père m’a envoyé, dit-il, moi aussi je vous envoie. »

Si le Seigneur m’a confié une tâche, je dois m’y vouer tout entier, et n’attacher de prix à ma vie que pour l’accomplissement de cette mission.

Quelle joie vous aurez, quand vous entendrez Jésus vous dire : « Cela va bien, bon et fidèle serviteur. »

Nous avons tous à trouver notre emploi dans la vie, et au point de vue spirituel nous le trouvons dans la mission que nous recevons du Seigneur.

Pour cela, il faut avoir vécu dans la compagnie de Jésus, avoir trouvé en lui plus que notre salut personnel.

« Je lui ferai connaître ce qu’il doit souffrir pour l’amour de moi. »

« M’aimes-tu? »Alors « pais mes brebis. »

Nous n’avons pas à choisir notre tâche.

Nous avons à nous consacrer à celle que le Seigneur nous donne, dans un moment de communion directe avec Dieu.

L’appel des circonstances n’est jamais l’appel du Seigneur, mais seulement l’occasion d’agir.

Dieu vous appelle directement.

Cela n’implique pas que tout le programme de votre mission soit tracé d’avance.

Mais cela signifie que vous devez mettre résolument de côté toute autre tâche qui pourrait s’offrir à vous. - EPU

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Plan de lecture quotidienne :

2 Rois 13-15      Luc  : 17-49

Non, les bontés de Dieu pour toi ne sont pas épuisées !

 

Transmis par René Barrois le 24/05

 

« Voici ce que je veux repasser en mon cœur, ce qui me donnera de l’espérance : les bontés de l’Eternel ne sont pas épuisées, ses compassions ne sont pas à leur terme ; elles se renouvellent chaque matin ! Oh ! Que sa fidélité est grande ! … C’est pourquoi je veux espérer en lui ; L’Eternel a de la bonté pour qui espère en lui…Il est bon d’attendre en silence le secours de l’Eternel. » (Lamentations 3 : 21-26)

Plusieurs d’entre nous sommes parfois menacés par différentes craintes de la vie, en particulier celles de notre avenir. Elles peuvent venir troubler notre cœur ; certaines d’entre elles sont peut-être tout à fait personnelles, comme celles concernant notre propre existence, notre entreprise, notre santé, notre couple, notre famille, nos enfants (dont l’éducation donnée ne semble pas avoir laissé beaucoup d’impact)… et tant et tant d’autres choses. Nous avons souvent tant de raisons de ressasser nos malheurs à longueur de journée.

Combien il est alors urgent et utile de détourner notre regard du sombre tableau de notre situation pour le porter vers notre Dieu et de repasser dans notre cœur les promesses de la Parole de Dieu comme celle que je viens de citer ! Refusons de méditer sur nos échecs, nos malheurs et efforçons-nous de penser à ce qui peut nous donner de l’espérance. Et quelle autre certitude le pourrait mieux que la fidélité de notre Seigneur ?

Effectivement, même si les jours à venir semblent mauvais et sombres, voir sans espoir pour vous, si votre monde semble s’écrouler, souvenez-vous que les bontés de votre Dieu ne sont pas épuisées, qu’elles se renouvellent chaque matin pour chacun de nous. Ses compassions ne sont pas à leur terme, et elles ne le seront jamais, car elles sont inépuisables. Quand l’épreuve se prolonge, quand vous souffrez de l’ingratitude ou de l’hypocrisie ambiante, quand un drame se produit et vous pèse au point de sembler insupportable, le moment est alors plus que jamais venu de vous souvenir de l’essentiel : la bonté de Dieu qui prépare une solution et qui fait concourir toutes choses pour le bien de ceux qui L’aiment ; cette bonté n’est pas épuisée. Gloire au Seigneur !

Ses bontés se renouvellent chaque matin

Ne vivons-nous pas chaque jour de Ses bontés ? C’est bien grâce à la fidélité de notre Seigneur que nous subsistons jour après jour, instant après instant. Avec le prophète Samuel, puissions-nous dire : « Jusqu’ici l’Eternel m’a secouru ». (1 Samuel 7 : 12). Indépendamment de mes erreurs, de mes infidélités, de mon incapacité d’être vraiment fidèle envers les autres, de mes manquements à l’égard de Dieu, Lui demeure fidèle à mon égard. Chacun d’entre nous l’a sans aucun doute expérimenté à plusieurs reprises dans sa propre vie : le Seigneur renouvelle ses bontés, sa compassion comme tout à nouveau chaque matin, et cela malgré les déceptions ou les moments difficiles de la veille.

Que ces promesses de la Parole de Dieu vous rassurent : vous êtes portés sur les bras de votre Seigneur compatissant à travers toute votre existence, et ce jusqu’à la fin. « Voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde. » (Matthieu 28 : 20). Ces paroles sont libératrices. Elles vous décrisperont, vous libèreront des craintes vaines que vous vous êtes peut-être infligé vous-même. Toutes pensées de frayeur ou d’angoisse pâliront face à la fidélité et la compassion infinies de notre Seigneur. Votre avenir est entre les mains de Dieu, et c’est également de Sa Main que vous viennent vos circonstances d’aujourd’hui, comme aussi celles de demain.

Tout n’est pas perdu !

Non, tout n’est pas perdu pour vous : votre cause est et demeure dans la Main de Celui qui est Tout-Puissant, infiniment fidèle et qui vous aime. Puissiez-vous dire, avec le psalmiste : « C’est en toi, Seigneur, que j’espère » et je sais que « Ceux qui espèrent en Toi ne seront pas confus. Apprenez à vous exhorter vous-même, dites à votre âme : « Mon âme, espère en ton Dieu, confie-toi en Lui ». Il est invariablement bon. Heureux seront tous ceux qui se confient en Lui. Le prophète Jérémie pouvait dire lui aussi : « L’Eternel a de la bonté pour qui espère en Lui » (Lamentations 3 : 25).

Celui qui dépose son avenir entre les mains infaillibles de son Dieu, conscient que la fidélité de son Seigneur à Ses promesses et à Sa Parole est plus grande que la sienne à son égard, verra son avenir s’éclairer. Car Dieu témoigne Sa fidélité et accorde Sa compassion à ceux qui ont confiance en Lui. En tant que chrétien, nous avons sûrement pris connaissance de ce principe divin.

Confions-nous en Lui !

Puisse notre confiance en Dieu ne jamais faiblir, même lorsque les circonstances de notre vie ne semblent pas nous convenir ou qu’elles restent inchangées, que notre cœur est rempli de questions ou encore que notre chemin est obstrué ! Puissions-nous alors nous ressaisir, et repasser dans notre cœur les nombreuses bénédictions, les multiples interventions que le Seigneur, dans Sa grande compassion, nous a permis de vivre.

Puissions-nous ne pas nous lasser de nous tourner vers Lui et, d’un cœur reconnaissant et du plus profond de notre être lui dire : « Seigneur, je veux encore et toujours compter sur Toi ; car je sais que Ta fidélité et Ta bonté à mon égard sont sans limites. Jusqu’ici Tu m’as secouru ! Je veux continuer d’aller de l’avant avec Toi, comptant sur Ta grâce et Ton amour infini démontré à la croix où Tu es mort à Ma place, et que Tu ne cesses de manifester jour après jour à mon égard ».

Y a-t-il un amour plus grand que celui de notre merveilleux Sauveur et Seigneur ? Comment oserais-je douter un seul instant de sa bonté à mon égard, lui qui m’a tant aimé jusqu’à mourir pour moi ! - Dorothée Hatzakortzian

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Plan de lecture quotidienne :

2 Rois 10-12      Luc 6 : 1-16

La foi isolée dans « la sphère privée »... ?

 

Transmis par René Barrois le 23/05

 

Un vent mauvais d’intolérance anti-religieuse souffle à nouveau sur la France...

Et des voix de plus en plus nombreuses s’élèvent pour affirmer que la foi et son expression appartiennent à la « sphère privée », ou pour réclamer qu’elles y soient circonscrites, disparaissant donc de la sphère publique »

Cette idée, martelée au point d’en faire un de ces slogans brefs et « chocs » dont les média sont friands, se réclame de la laïcité à la française...

La laïcité, principe de la séparation de l’État et des religions, est une règle excellente, aussi nécessaire au premier qu’aux secondes, pour la vie de nos sociétés.

Mais le mot est piégé et détourné, dans ce pays, tout comme la réalité qu’il désigne y est faussée.

La plupart des grandes démocraties du monde regardent d’ailleurs avec incompréhension et inquiétude les soubresauts et les tentations ou tentatives totalitaires qui secouent régulièrement la France en ce domaine.

Ainsi récemment, une sociologue allemande de l’Institut pour la recherche en Sciences Sociales de Hambourg disait-elle, lors de son colloque européen :

« Le mot même de laïcité n’a pas le même sens de part et d’autre du Rhin. En Allemagne, la laïcité à la française provoque un certain rejet, car on l’entend comme le refus des religions dans l’espace public. La laïcité allemande signifie simplement la neutralité de l’État à l’égard du fait religieux... »

En réalité, d’aucuns semblent s’être saisis de la légitime défense contre un islam intégriste qui récuse toute notion de laïcité, pour reprendre le vieux et malfaisant combat mené par le « petit père Combe » au début du siècle passé, non pour la laïcité, mais contre la foi ! Ils voudraient éradiquer du paysage social toute visibilité de la religion, et si possible toute foi des cœurs.

« La foi dans la sphère « privée » n’est qu’une version modernisée du vieux slogan laïciste : « L’Église dans la sacristie » !

Mais au nom de quoi faudrait-il que seule la foi parmi toutes les convictions n’ait pas le droit de vivre et de s’exprimer dans l’espace public ?

Au nom de quoi se verrait-elle - elle seule - interdite de parole publique ?

Au nom de quoi ne serait-elle pas autorisée à fonder une action sociale, ou autre ?

Ce serait, envers les chrétiens, de la discrimination, de l’exclusion,un déni de justice, de démocratie, de liberté, d’égalité...une forme de racisme !

Or, dans plusieurs départements, des « Bons Vacances » des Caisses l’Allocations Familiales ont été – illégalement - refusés à des enfants inscrits dans des séjours de vacances organisés par des associations chrétiennes par exemple...

Les temps que nous vivons réclament lucidité, vigilance, sagesse...et par dessus tout prière. Soyons « sur la brèche, pour prier en faveur du pays » (Ézéchiel 22 : 30). - Samuel Charles

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Plan de lecture quotidienne :

2 Rois 8-9      Luc 5 : 17-39

Je n’aurais pas été si fou !

 

Transmis par René Barrois le 22/05

 

En mai 1967, un terrible incendie ravagea le grand magasin « Innovation » à Bruxelles. 251 personnes périrent. Les flammes se propagèrent si rapidement qu’elles ne laissèrent à la plupart des clients aucune chance d’atteindre une sortie. Deux vendeuses averties à temps se précipitèrent vers une issue. L’une put se sauver, mais l’autre, arrivée près de la porte, se retourna et s’écria : « Mon manteau ! Je vais le chercher ». Malgré les appels pressants de sa collègue, elle courut vers le vestiaire… On ne la revit jamais !

Elle perdit sa vie pour ne pas perdre son manteau ! Peut-être vous dîtes-vous : « Jamais je n’aurais été si fou ! » Sans doute. Pourtant, savez-vous que, si vous n’êtes pas en règle avec Dieu, vous êtes menacé par « le feu qui ne s’éteint pas » ? Il ne s’agit vraisemblablement pas d’un incendie produisant des flammes, mais la Bible emploie ce langage symbolique pour faire comprendre l’intensité des tourments de ceux qui seront éternellement séparés de Dieu, ayant refusé l’Evangile de notre Seigneur Jésus Christ. Tant que vous ne l’avez pas accepté comme votre Sauveur qui, seul, peut vous délivrer de la colère qui vient, chaque jour, chaque seconde vous rapproche du terrible feu du jugement divin.

Heureusement, il y a une porte par laquelle vous pouvez vous échapper. Jésus a dit : « Moi, je suis la porte » (Jean 10 : 9)

Vous ne serez sûrement pas assez fou pour négliger cette issue pour la seule raison que vous avez, dans votre cœur, une passion pour quelque bien terrestre ou quelqu’idole ! La porte est grande ouverte encore maintenant, et elle est tout près de vous. Franchissez-la avant qu’il ne soit trop tard. La colère à venir dont parle la Bible va bientôt déferler sur le monde « parce que Dieu a établi un jour auquel il doit juger en justice la terre habitée » (Actes 17 : 31)

Au temps de Noé, il n’y avait qu’une seule porte par laquelle on pouvait se mettre à l’abri du déluge : la porte de l’arche. Aujourd’hui, pour être à l’abri du jugement de Dieu, il n’y a qu’une seule porte : JÉSUS CHRIST

 

« Moi, je suis la porte, a-t-il dit. Si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé. » (Jean 10 : 9) - La Vérité Sûre

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Plan de lecture quotidienne :

2 Rois 6-7      Luc 5 : 1-16

Pourquoi l’ascension ?

 

Transmis par René Barrois le 21/05

 

Pour Jésus

Quarante jours après Pâques, le Christ enlevé au ciel du milieu de ses disciples, retourna vers son Père pour être glorifié à sa droite (Marc 16 : 19).

Après son humiliation, il est maintenant souverainement exalté (Philippiens 2 : 5 -11).

Jésus a ainsi reçu tout pouvoir dans le ciel et sur la terre (Matthieu 28 : 18).

 

Pour les croyants

L’Ascension est extraordinaire car là-haut Jésus nous prépare une place (Jean 14.2). Il est notre intercesseur et souverain sacrificateur devant Dieu le Père (Rom 8.34); Héb 7.25).

Il est notre avocat devant Dieu, toujours prêt à nous accueillir au trône de la grâce (1 Jean 2 : 1).

 

Pour une mission à accomplir

Les apôtres insistent beaucoup dans le Nouveau Testament sur ce qui s’ est passé ce jour-là. Par ex. : Pierre, Actes 2 : 33-36; 3.21; 1Pierre 3 : 22 ; Paul, Éphésiens 1 : 20-22 ; 2 : 6 ; 4.8-10; etc… Jésus a dû partir pour nous donner son Saint-Esprit (Actes 2 : 33). « Une puissance survenant sur vous, et vous serez mes témoins » Actes 1 : 8. Voilà votre mission…

Chers amis, sommes-nous aujourd’hui vraiment ses témoins sous l’autorité de la puissance du Saint-Esprit ? N’avons-nous pas perdu un peu le sens profond de la signification de l’Ascension ?

 

Pour la préparation de son retour

Si Jésus est parti pour un but précis, il reviendra de la même manière que nous l’avons vu aller au ciel (cf, Actes 1 : 11).   Il reviendra : personnellement (Jean 14 : 3) corporellement (Matthieu 24 : 30) visiblement (Apocalypse 1 : 7-8) avec une grande gloire soudainement (1 Thessaloniciens 5 : 2-3) avec ses anges (Matthieu 16 : 27 ; 24 : 30) pour nous chercher (Apocalypse 22 : 17)

 

Pour détruire l’ennemi de Dieu

A l’époque des apôtres, comme aujourd’hui, beaucoup d’hommes se sont levés pour prétendre que l’histoire de l’ Ascension n’est qu’une légende…

N’est-ce pas le Père du mensonge qui sait qui lui reste encore peu de temps avant sa destruction totale (Apocalypse 19 : 11- 21 ; 20 : 10) ?

Notre Seigneur est parti pour revenir en gloire. Et avec ses yeux comme des flammes de feu il jugera les nations, la bête et Satan.

 

Pour chercher l’Eglise, épouse du Christ

L’apôtre Paul développe l’image du mariage pour illustrer les rapports du Seigneur et des siens: comme le mari pour la femme, Christ est le chef de l’Eglise qui lui est soumise. Christ l’a aimée jusqu’à la mort, il la nourrit et en prend soin (Éphésiens 5 : 22-23).

L’Apocalypse parle de l’Epouse de l’Agneau(19 : 7).En décrivant la Jérusalem céleste, Jean écrit: «Viens, je te montrerai l’Epouse, la femme de l’Agneau» (Apocalypse 21 : 9). La prière qui termine la Bible appelle avec ferveur le retour de l’Epoux: «Et l’Esprit et l’Epouse disent: Viens.» Oui, viens Jésus !

 

Pour nous encourager à supporter patiemment nos souffrances… (Jacques 1 : 2-4)

«Vous êtes ressuscités avec le Christ cherchez les choses d’ en haut, ou le Christ est assis à la droite de Dieu» (Colossiens 3 : 7). Même si nous sommes attaqués par l’ennemi de Dieu (individuellement ou en tant qu’Eglise), Christ est vainqueur car il a vaincu la mort!

Cher lecteur, Il a reçu tout pouvoir. .. Il est l’ Alpha et l’Oméga, le début et la fin ! Alors prions afin que nous puissions réaliser la paix de Dieu qui surpasse toute intelligence, qu’Il garde nos coeurs ét nos pensées non vers le monde mais en Jésus-Christ seul (Philippiens 14 : 7).

Oui, c’est pourquoi «Tu es digne notre Seigneur et notre Dieu, de recevoir la gloire, l’honneur et la puissance» (Apocalypse 4 : 11). Amen. - Jan-Bert De Mooy

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Plan de lecture quotidienne :

2 Rois 4-5      Luc 4 : 14-44

 

Désir d’ascension !

 

Transmis par René Barrois le 20/05

 

« Après avoir dit cela, Jésus fut élévé pendant que ses disciples le regardaient,et une nuée le déroba à leurs yeux. » (Actes 1 : 9).

 

Aujourd’hui, beaucoup rêvent d’ascension : ascension à la célébrité, à un métier valorisant et bien payé, à un poste de responsabilités notamment dans le domaine politique ou économique. Et vous, de quoi rêvez-vous ?

Jésus nous propose une ascension d’un tout autre ordre : être élevé vers les lieux célestes ! Paul encourage les Colossiens à rechercher la gloire d’en haut : « Si donc vous êtes ressuscités avec Christ, cherchez les choses d’en haut, où Christ est assis à la droite de Dieu. Affectionnez-vous aux choses d’en haut, et non à celles qui sont sur la terre. » (Colossiens 3 : 4).

Bien sûr, nous savons que ce n’est pas ce que notre nature humaine recherche. David est conscient de cette difficulté et fait cette prière : « Conduis-moi sur le rocher que je ne puis atteindre » (Psaume 61 : 3b). Voulons-nous nous joindre à cette prière de David ? Demandons à Dieu de nous aider de changer de nos mentalités, à atteindre ce que nous ne pouvons atteindre par nous-mêmes, à être de ceux qui recherchent l’ascension de l’âme. Ainsi, nous pourrons connaître les choses qu’aucun œil n’a vu, qu’aucune intelligence n’a pu comprendre ; nous pourrons de plus en plus être revêtus de la mentalité du royaume de Dieu.

Paul avait bien saisi ces choses lorsqu’il disait : « Nous gémissons dans cette tente, désirant revêtir notre domicile céleste ? » (2 Corinthiens 5 : 2). Il venait de connaître une belle ascension humaine sur le plan religieux en persécutant les chrétiens, mais après sa rencontre avec Christ, il a changé de direction pour désormais connaître une ascension spirituelle qui le mènera vers des expérience hors du commun tout au long de l’exercice de son ministère d’apôtre. - L. Goillot

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Plan de lecture quotidienne :

2 Rois 1-3      Luc 4 : 1-13

Le don et les dons de guérisons

 

Transmis par René Barrois le 19/05

 

« Or, à chacun la manifestation de l’Esprit est donnée pour l’utilité (commune). En effet, à l’un est donnée par l’Esprit une parole de sagesse ; à un autre, une parole de connaissance, selon le même Esprit ; à un autre, la foi, par le même Esprit ; à un autre des dons de guérisons, par le même Esprit. » (1Corinthiens 12 : 7-9).

 

Le peuple de l’Esprit a un ministère. Je prie afin que tous ceux qui ont reçu le Saint-Esprit en soient si remplis que, sans même avoir le don, le Saint-Esprit opère en eux et manifeste la puissance de guérison. Voilà pourquoi j’aime être aidé quand je prie pour les malades. Il y a des personnes qui ne réalisent pas du tout l’étendue de ce qu’elles possèdent par l’Esprit de Dieu.

 

Je crois que la puissance du SainEsprit que vous avez reçue suffit pour vous amener à oser croire que Dieu guérit, indépendamment du fait que vous pouvez avoir la don de guérisons.

 

Là, je parle du don, non des dons de guérisons. Il y a une différence. Les dons de guérisons peuvent traiter toutes sortes de maladies. Cela englobe vraiment tout, et cela va bien au-delà de ce que l’on peut exprimer humainement, mais vous entrez dans cette plénitude quand la lumière de Dieu vous le révèle.

Le don divin de guérison est si profond dans la personne qui le communique qu’il n’y a pas de doute possible. Rien de ce qui arrive ne peut changer l’opinion, la pensée ou l’action de l’homme. Il s’attend à recevoir, la chose que Dieu veut qu’il reçoive en imposant les mains sur la personne qui cherche.

Prière du jour : Saint-Esprit, manifeste ton don de guérison en mois. Amen. - Smith Wigglesworth

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Plan de lecture quotidienne :

1 Rois 22      Luc 3

Suis-je vrai ?

Transmis par René Barrois le 18/05

 

« Sonde-moi, ô Dieu ! et connais mon cœur ; éprouve-moi, et connais mes pensées. » (Psaume 139 : 23)

« L’amour… se réjouit avec la vérité. » (1 Corinthiens 13 : 4, 6)

 

Cher lecteur, es-tu réellement vrai devant Dieu ? (Le suis-je, moi aussi ? Cette question se pose aussi à moi). Lui exposes-tu toute ta vie, tes sentiments, tes pensées, tes aspirations profondes, sans tabous ni cachoteries ? Arrives-tu à lui dire les choses dont tu as honte ? David a retrouvé une vraie paix en avouant toutes ses fautes à Dieu (Psaume 32 : 5). Lui dis-tu tes joies et tes moments de bonheur ? Quelle que soit ta situation, tu peux tout dire à Dieu ; David, par exemple, confie à Dieu qu’il se sent déprimé et qu’il a des sentiments de découragement qu’il aurait pu vouloir cacher : « Mon Dieu ! mon âme est abattue au-dedans de moi » (Psaume 42 : 6). Anne, d’un autre côté, exprime toute sa joie : « Mon cœur s’égaie en l’Éternel » (1 Samuel 2 : 1).

N’oublions pas que Dieu est un Dieu d’amour et qu’il nous écoute vraiment. C’est aussi le Dieu qui « veut la vérité dans l’homme intérieur » (Psaume 51. 6). Il ne veut pas de formules répétées par habitude. Dieu veut une relation authentique et réelle !

Ce désir d’authenticité vis-à-vis de Dieu doit aussi s’appliquer dans nos relations avec nos semblables chaque jour de notre vie, dans le couple, en famille, entre frères et sœurs, à l’école, au travail… N’est-il pas plus facile au premier abord de ne pas être tout à fait clair dans certaines situations ?

Nous sommes appelés à nous éloigner de toutes formes de mensonges, même les plus banales. On pourrait croire que cela est préférable sur le moment, mais il est certain que la vérité triomphe toujours, car Dieu est un « Dieu de vérité » (Psaume 31 : 5).

Attention, “parler la vérité, chacun à son prochain” (Éphésiens 4. 25), ne nous autorise pas à être blessant, ni même à tout dire sans discernement. Être vrai, c’est aussi montrer de l’amour pour notre prochain. Cela peut donc nous amener à dire des choses difficiles à entendre, mais à le faire avec amour. Parler ainsi implique de s’assurer que la personne perçoit bien notre double intention : être vrai, mais dans l’amour.

Recherchons la vérité en tout temps. Être vrai avec Dieu aide à être vrai avec les autres. - La Bonne Semence

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Plan de lecture quotidienne :

1 Rois 20-21      Luc 2 : 21-52

Va et prend ta propriété

 

Transmis par René Barrois le 17/05


« Regarde, l'Éternel, ton Dieu, met devant toi le pays ; monte et possède-le, selon que l'Éternel, le Dieu de tes pères, te l'a dit ; ne crains point, et ne t'effraie point. » (Deutéronome 1: 21)


REGARDE : il y a un héritage de grâce que tu devrais avoir la hardiesse de conquérir pour qu'il devienne ta possession. Tout ce qu'un croyant a obtenu, l'autre peut l'avoir aussi. Tu peux être fort dans la foi, fervent dans l'amour, fertile dans le travail ; rien n'empêche qu'il en soit ainsi ; mais, pour cela, monte et prends possession. La plus douce expérience et la grâce la plus précieuse sont aussi bien pour toi que pour n'importe lequel de tes frères, L'Éternel place ces biens aujourd'hui devant toi, et personne ne peut te contester ton droit ; monte donc et possède-les en son nom.

 

Le monde est aussi devant nous, qui doit être conquis pour Jésus. Aucune contrée, aucun lieu ne doit subsister qui ne lui ait été soumis. Ce bouge ou cette sombre ruelle sont devant notre demeure, non pour déjouer nos efforts, mais pour les encourager. Prenons courage et allons de l'avant ; et nous gagnerons pour Jésus les noirs intérieurs et les coeurs endurcis. Ne laissons périr personne parce que nous n'aurons pas eu assez de foi en Jésus et en son évangile pour aller nous emparer du pays. Aucun lieu n'est trop ténébreux, aucun être trop dégradé pour être en dehors de la puissance de la grâce. Arrière la lâcheté ; par la foi marchons à la conquête. - C.H. Spurgeon

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Plan de lecture quotidienne

1 Rois 18-19      Luc 2 : 1-20

Comment Dieu procède-t-il ?

 

Transmis par René Barrois le 16/05


« Quand il nous demande de tout laisser, il vient nous remplacer lui-même.
Lorsque Jésus eut achevé de donner ses instructions à ses disciples, il partit de là, pour enseigner et prêcher dans les villes du pays. » (Matthieu 11 : 1)


Quand Dieu vous dit : « partez », et que vous restez chez vous, parce que vous êtes préoccupé par ceux que vous laissez à la maison, vous les privez de l'enseignement de Jésus en personne. Mais si vous obéissez et laissez à Dieu toutes les conséquences, il ira lui-même enseigner les vôtres ; tant que vous refusez d'obéir, vous êtes un obstacle sur leur chemin. Faites bien attention, lorsque vous opposez ce que vous appelez votre devoir aux commandements précis du Seigneur, disant : « Je sais que Dieu m'a appelé à partir, mais mon devoir me retient ici. » C'est la preuve que vous ne croyez pas à la parole de Jésus. Quand il nous demande de ne plus enseigner, il enseigne à notre place.

 

« Maître..., si tu le veux, je dresserai ici trois tentes... » (Matthieu 17 : 4). Jouons-nous au directeur spirituel ? Dieu ne peut-il plus atteindre ceux que nous instruisons à cause de la place que nous prenons ? Taisons-nous, gardant l'esprit en éveil, Dieu veut nous faire contempler son Fils, il veut transformer nos moments de prière en « montagnes de la transfiguration », et nous l'en empêchons. Si nous sommes convaincus que Dieu agira d'une certaine manière, il nous surprendra en n'agissant plus jamais comme cela.

Quand il nous ordonne d'attendre, c'est lui qui agit. Restez dans la ville... jusqu'à ce que... Sachez attendre et Dieu agira. Mais attendez sans impatience, avec sérénité. Êtes-vous assez détaché de vos expériences spirituelles pour vous attendre à Dieu ? Attendez calmement, dans une obéissance active. Lorsque les choses se passent de cette manière-là, il est rare que nous y discernions l'action de Dieu. - Oswald Chambers

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Plan de lecture quotidienne :

1 Rois 15-17      Luc 1 : 57-80

 

Les balances de Dieu

 

Transmis par René Barrois le 15/05

 

Lecture : Daniel ch. 5

 

Lors d’une grande fête qui est donnée au palais, à Babylone. Le roi Belschatsar reçoit les plus grands de son royaume. Le signal est donné, les convives s’assirent le long des tables, chargées de mets succulents, de fruits et de vins en abondance.

C’est une nuit de réjouissance. Le festin temps s’écoule dans la gaîté.

C’est une nuit d’ivresse. Les vins coulent à flot

C’est une nuit d’idolâtrie. Les convives louent les dieux d’or, d’argent, d’airain, de fer, de bois, de pierre.

C’est une nuit de blasphème envers Dieu. Le roi profane les vases sacrées du temple de Dieu pour boire du vin. Le roi blasphème l’Éternel, le Dieu du ciel.

La fête bat son plein. Alors soudain, la fête devient une nuit de terreur. « En ce moment apparurent les doigts d’une main d’homme et écrivirent ...sur la chaux de la muraille. » (v. 5). Ce sont les mêmes doigts qui écrivirent les dix commandements sur les tables de pierre. (Deutéronome 9 : 10). L’écriture qui a été tracée (MENÉ, MENÉ, TEKEL, PARSIN). (Daniel 5 : 25). Daniel donne l’explication de ces mots (Compté, compté, pesé, et divisé) et dit au roi : « Tu as été pesé dans la balance et tu as été trouvé léger. » (Daniel 5 : 27).

A ce moment, la nuit devient une nuit de jugement et de massacre. Les conquérents Perses sont aux portes de la cité et se précipitent dans la salle du festin, massacrant les nobles du royaume, les dames et cette nuit, Belschatsar, roi des Chadéens, fut tué.

 

Tous, nous seront pesés dans les balances célestes.

 

La balance de nos convictions personnelles, c’est-à-dire notre jugement sur nous-mêmes, notre bonté, notre justice « Ne t’abandonne pas à l’orgueil, mais crains. » (Romains 11 : 20). La morale humaine ne fera jamais pencher la balance en notre faveur. Peut-être dites-vous « je ne suis pas aussi mauvais que certain que je connais. » C’est peut-être vrai, mais cela ne vous fera pas entrer dans le ciel. Nos bonnes actions n’amènerons pas la balance à l’équilibre.

La balance de l’opinion publique, c’est-à-dire le jugement des autres sur nous. Ce que les autres disent de nous n’a pas d’importance, ce qui est primordial c’est ce que Dieu pense de nous.

La balance de notre comportement chaque jour, c’est-à-dire, avons-nous un cœur continuellement tourné vers le Seigneur ? Nous devons rester à l’écart de toutes appartenances avec les œuvres du monde. Des désirs dévorants de la nature pécheresse «  N’aimez point le monde ni les choses qui sont dans le monde... » (1 Jean 2 : 15-16). Ne pas plonger dans le mensonge « Que votre parole soit oui, oui, non, non; ce qu'on y ajoute vient du malin. » (Matthieu 5 : 37).

Dans ces balances, nous sommes dépouillés de tout ce qui fait poids pour notre éternité. « Et l'Eternel dit à Samuel: Ne prends point garde à son apparence et à la hauteur de sa taille, car je l'ai rejeté. L'Eternel ne considère pas ce que l'homme considère; l'homme regarde à ce qui frappe les yeux, mais l'Eternel regarde au coeur. » (1 Samuel 16 : 7), mais Dieu nous pèse suivant son propre standard divin de justice.

 

Tous les hommes sont trouvés légers dans les balances de divines

 

Ce fut là le verdict concernant Belschatsar, c’est également vrai pour nous. Dieu pèse tous les hommes dans ses balances, les rois, les reines, riches et pauvres, noirs et blancs. Voyez verset du Psaume 62 : 10 « Oui, les êtres humains sont un souffle qui passe ; les hommes, tous ensemble, ne sont que déception ; placés sur la balance, ils pèseraient à eux tous moins que rien. » (Version du Semeur).

« Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu » (Romains 3 : 23). Le verdict de Dieu est impartial.

« Car devant Dieu il n'y a point d'acception de personnes. » (Romains 2 : 11). Les verdicts des hommes sont souvent erronés, leurs jugements penchent d’un côté, mais le jugement du Seigneur est toujours suivant la vérité.

« Nous savons, en effet, que le jugement de Dieu contre ceux qui commettent de telles choses est selon la vérité. » (Romains 2 : 2). Lorsque Dieu nous fait passer en jugement, il a une connaissance parfaite de tous nos faits et gestes.

 

Le verdict contre nous est réversible

 

Bonne nouvelle ! Si il y a repentance, il ya miséricorde. Daniel dit au roi : « Belschatsar, tu n’as pas humilié ton coeur » (Daniel 5 : 22). Si nous nous repentons sincèrement Dieu accepte notre repentance. Bien que trouvés légers et condamnés lorsque nous sommes pesés dans les balances de Dieu. Dieu veut transformer notre qwdéficit, en mettant dans notre plateau l’oeuvre expiatoire de Christ.

Ainsi, le standard de perfection de Dieu sera satisfait et nous serons acceptés.

 

(MENÉ, MENÉ, TEKEL, PARSIN) les balances du ciel ont trouvé Belschatsar sérieusement défectueux, trop « léger » ou «  de faible qualité », révélant sa culpabilité et sa condamnation. De la même manière, la loi sainte de Dieu contre nous en tant que pécheurs « Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu ; et ils sont gratuitement justifiés par sa grâce, au moyen de la rédemption en Jésus-Christ. » (Romains 3 : 23). Mais loué soit Dieu, notre condamnation est effacée par Dieu pour tous ceux qui croient que Jésus est leur Seigneur et Sauveur.

« Il a effacé l'acte dont les ordonnances nous condamnaient et qui subsistait contre nous, et il l'a détruit en le clouant à la croix » (Colossiens 2 : 14).

Dans le cas de Belschatsar, le verdict de Dieu était suivi du jugement. Le roi a perdu son royaume, sa vie, son âme. Si vous rejetez la miséricorde de Dieu, vous serez trouvé léger au Grand Jour, et le jugement de Dieu sera votre part.

 

Bien-aimés, je vous en conjure par les compassions de Christ, prenez les bonnes décisions. Décidez de suivre le Seigneur, car vous avez tout à gagner. Ne gaspillez pas votre vie en vain, car elle est précieuse. Faites le bon choix. Sans attendre, repentez-vous et revenez dans les voies de Christ ! - René Barrois

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Plan de lecture quotidienne :

1 Rois 12-14      Luc 1 : 26-56

Les grands serviteurs

 

Transmis par René Barrois le 14/05

 

Moïse, un grand serviteur

 

« L’Éternel dit à Moïse : “Maintenant, vas-y, je t'enverrai vers le pharaon et tu feras sortir d'Égypte mon peuple, les Israélites. » (Exode 3  :10)

Moïse dit : « Je ne peux pas, à moi tout seul, porter tout ce peuple, car il est trop lourd pour moi. » Nombres 11 » 14

 

Moïse est un serviteur reconnu comme législateur, libérateur et conducteur du peuple d’Israël, intercesseur et prophète.

Élevé à la cour du Pharaon, « Moïse a été formé avec toute la sagesse des Égyptiens ; il était puissant en paroles et en actes » (Actes 7 : 22) jusqu’à l’âge de 40 ans. Puis il doit s’enfuir et vivre au désert pendant 40 autres années. À 80 ans et riche de cette double expérience, il est appelé par Dieu à le servir. Attiré par la vision d’un buisson qui brûle sans se consumer, il entend la voix de Dieu qui se révèle à lui comme le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob, celui qui a choisi le peuple d’Israël et s’intéresse à son sort : « J'ai vu la souffrance de mon peuple qui est en Égypte et j'ai entendu les cris qu'ils poussent devant ses oppresseurs. Oui, je connais ses douleurs. Je suis descendu pour le délivrer de la domination des Égyptiens et pour le faire monter de ce pays jusque dans un bon et vaste pays, un pays où coule le lait et le miel » (Exode 3 : 7-8). Dieu choisit Moïse pour être le serviteur par qui il délivrera son peuple. Moïse hésite devant l’ampleur de la tâche : affronter le Pharaon, puis conduire les fils d’Israël hors du pays d’esclavage et jusqu’en Canaan.

Moïse était un homme « très humble, plus humble que n'importe quel homme à la surface de la terre » (Nombres 12 : 3), mais il était ardent quand il s’agissait de la gloire de l’Éternel. Il vivait dans la présence de Dieu qui lui parlait « face à face, comme un homme parle à son ami » (Exode 33 : 11).

Pourtant, devant les incessants murmures du peuple regrettant l’Égypte, ce géant de la foi se sent démuni (second verset du jour). Il est prêt à tout abandonner et souhaite même mourir de la main de l’Éternel (Nombres 11 : 15) ; mais Dieu le soutient et lui accorde l’aide de soixante-dix anciens.

Quand le peuple réclame à nouveau de l’eau, Moïse s’emporte : il frappe deux fois le rocher au lieu de lui parler conformément à l’ordre de l’Éternel. Aussi Dieu ne lui permettra pas d’introduire le peuple dans le pays promis (Nombres 20 : 2-13).

Même si Moïse s’est montré parfois accablé et irrité dans son service, l’Éternel l’a entouré de tendres soins jusqu’à la fin de sa vie : « L’Éternel lui fit voir tout le pays : Galaad jusqu'à Dan, tout Nephthali, le pays d'Éphraïm et de Manassé, tout le pays de Juda jusqu'à la mer Méditerranée, le Néguev, les environs du Jourdain, la vallée de Jéricho, la ville des palmiers, jusqu'à Tsoar. L'Éternel lui dit : Voilà le pays que j'ai juré de donner à Abraham, à Isaac et à Jacob en disant : Je le donnerai à ta descendance. Je te le fait voir de tes yeux, mais tu n'y entreras pas. Moïse, le serviteur de l'Éternel, mourut là, dans le pays de Moab, conformément à l'ordre de l'Éternel. L'Éternel l'enterra dans la vallée, dans le pays de Moab, vis-à-vis de Beth-Peor. Personne n'a su où était son tombeau jusqu'à aujourd'hui » (Deutéronome 3 :. 1-6).

 

Élie, un grand serviteur

 

« Élie le Thishbite, l'un des habitants de Galaad, dit à Achab : L'Éternel, le Dieu d'Israël, dons je suis le serviteur est vivant ! Il n'y aura ces années-ci pas de rosées ni de pluie, sauf sur ma parole. » (1 Rois 17 : 1)

« Quand à lui, il marcha toute la journée dans le désert, puis il s'assit sous un genêt et demanda la mort en disant : C'est assez ! Maintenant, Éternel, prends-moi la vie, car je ne suis pas meilleur que mes ancêtres. » (1 Rois 19 : 4)

 

Élie surgit brusquement dans l’histoire du peuple d’Israël à l’époque du roi impie Achab et de sa femme Jézabel. Fille du roi de Tyr, elle avait entraîné le peuple de Dieu dans l’idolâtrie en introduisant en Israël le culte de Baal, un dieu de la nature et de la fertilité. Dieu envoie alors son serviteur Élie pour annoncer son jugement : une longue sécheresse, cause de famine. Baal est incapable de la faire cesser. Au terme de trois années de ce fléau, Élie convoque le peuple pour manifester la puissance de l’Éternel, en présence des prophètes de Baal. Ces derniers sont incapables de relever le défi lancé par Élie. Mais Élie intercède, la puissance de l’Éternel agit et convainc le peuple d’Israël indécis qui proclame alors : « C'est l'Éternel qui est Dieu ! » (1 Rois 18 : 39).

Mais ensuite Élie prend peur devant la fureur de Jézabel qui apprend par son mari la défaite de son dieu. Alors Élie « se leva et partit pour sauver sa vie » (1 Rois 19 : 3) : il fuit la vengeance de Jézabel, décidée à le mettre à mort sans délai.

Dieu n’abandonne pas Élie seul au désert et le soutient jusqu’au mont Sinaï. Là où la Loi a été donnée, Élie laisse déborder son amertume contre son peuple et réclame implicitement son jugement (Romains 11 : 2). À sa surprise, ce n’est pas dans le vent, ni dans le tremblement de terre, ni dans le feu que l’Éternel lui révèle sa réponse, mais dans « un murmure doux et léger. Quand il l’entendit, Élie s'enveloppa le visage de son manteau, sortit et se tint à l’entrée de la grotte » (1 Rois 19. 13).

La patience et la grâce de l’Éternel viennent relever Élie de son abattement et lui donner des directions pour la suite de son service. Comme il l’avait fait pour Moïse, Dieu prendra soin d’Élie jusqu’à la fin : « Élie monta au ciel dans un tourbillon » (2 Rois 2 : 11).

Précurseurs et images du Seigneur Jésus, Moïse et Élie apparaîtront en gloire avec lui et parleront « de son prochain départ qu’il allait accomplir à Jérusalem » (Luc 9 : 31).

Humbles et petits serviteurs de Jésus, nous sommes assurés des mêmes soins et de la même destinée.

 

Jésus, le serviteur parfait

 

« Et ensuite il a déclaré : Me voici, je viens, ô Dieu, pour faire ta volonté. » (Hébreux 10 : 9)

« Puis il s'éloigna d'eux à la distance d'environs un jet de pierre, se mit à genoux et pria en disant : Père, si tu voulais éloigner de moi cette coupe ! Toutefois, que ce ne soit pas ma volonté qui se fasse, mais la tienne. »  (Luc 22 : 41-42)

« Quand Jésus eut pris le vinaigre, il dit : Tout est accompli. Puis il baissa la tête et rendit l'esprit. »  (Jean 19 : 30)

 

Après son apparition en gloire sur la montagne, Jésus dresse « sa face résolument pour aller à Jérusalem » (Luc 9 : 51). Sans ignorer ce qui l’attend, il montre ainsi sa décision d’achever sa mission.

À Jérusalem, ses derniers soins sont pour ses disciples. Il prend la place de serviteur envers eux et lave leurs pieds. Puis il leur révèle les ressources dont ils disposeront après son départ et il les confie à son Père (Jean 13-17).

Au jardin de Gethsémané, Jésus est dans une grande angoisse, il exprime sa volonté, juste et parfaite à sa place ; mais il la soumet à celle de son Père. Il traduit ainsi l’obéissance parfaite du serviteur de l’Éternel (Ésaïe ch. 42 et suivants).

Puis Jésus se place volontairement devant ses disciples pour les protéger des soldats (Jean 18 : 8). Il n’est pas le prisonnier des hommes, il poursuit résolument la mission qui lui a été confiée.

Dans le même temps, Jésus reprend Pierre qui veut le défendre en combattant. Il évoque la puissance à sa disposition : « Mon Père me fournira à l’instant plus de douze légions d’anges » (Matthieu 26 : 53). Mais cette aide n’est pas la volonté de son Père (v. 54 et Jean 18 : 11).

Sur la croix, il est soumis aux souffrances infligées par les hommes, il accepte aussi d’être « maudit… pendu au bois » (Galates 3 : 13). Il exprime par un cri ce qu’il a traversé : « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? » (Marc 15 : 34). Dans cette souffrance infinie et inaccessible pour nous, il confirme pourtant par ces paroles sa fidélité en celui qu’il appelle « mon Dieu ». Lui qui est « de condition divine, il n'a pas regardé son égalité avec Dieu comme un butin à préservé, mais il s'es dépouillé lui-même en prenant une condition de serviteur, en devenant semblable aux êtres humains. Reconnu comme un simple homme, il s'est humilié lui-même en faisant preuve d'obéissance jusqu'à la mort, même la mort sur la croix » (Philippiens 2 : 6-8).

Il achève sa vie d’homme par la déclaration qui clôt son service : « C’est accompli ». Oui, lui, le serviteur parfait de son Dieu et Père, peut proclamer cela en absolue vérité ! Sa résurrection triomphante en est la démonstration (Romains 1 : 4). - Plaire au Seigneur

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Plan de lecture quotidienne :

1 Rois 10-11      Luc 1 : 1-25

La foi qui prévaut

 

Transmis par rené Barrois le 13/05

 

Dans les chapitres 13 et 14 du livre des Nombres, nous trouvons la définition de la véritable foi et de l’incrédulité. Les dix espions qui sont allés dans le pays sont revenus avec le rapport de ce qu’ils avaient vu. “Nous sommes allés dans le pays ou tu nous as envoyé. C'est vraiment un pays ou coulent le lait et le miel, et en voici les fruits. Mais le peuple qui habite ce pays est puissant, les villes sont fortifiées, très grandes” (Nombres 13:27-28). Donc, le rapport était à la fois positif et négatif.

Le peuple a paniqué et a crié de peur et d’incrédulité. “Nous ne pouvons pas monter contre ce peuple, car il est plus fort que nous” (voir 13:31). Mais Caleb, la voix tranquille de la foi, avait une approche complètement différente : “Montons, emparons-nous du pays, nous y serons vainqueurs !” (13:30).

L’assemblée tout entière a dit : “Retournons en Égypte, retournons en esclavage. Nous ne pourrons pas nous emparer du Pays Promis. Il y a trop d’ennemis et ils sont trop puissants” (14:1-4). Une fois encore, la foi s’est exprimée à travers Josué et Caleb : “Le pays que nous avons parcouru, pour l’explorer, est un pays très bon, excellent... [L’Éternel] nous mènera dans ce pays, et nous le donnera: c’est un pays où coulent le lait et le miel” (14:7-8).

Dieu veut savoir ce qui se trouve dans ton cœur en tant que véritable croyant. Est-ce la peur des géants et le désir de retourner en Égypte ? Il veut un peuple qui utilise sa foi pour abattre tout ce qui les retient de profiter de la plénitude de Jésus.

L’Ennemi n’a pas la puissance d’empêcher le peuple de Dieu d’atteindre ce que Dieu a prévu pour eux. Satan peut utiliser une grande épreuve contre toi en ce moment – pas pour te garder à terre, mais pour te garder en dehors. Tout l’enfer fait rage contre toi pour t’empêcher d’entrer dans la plénitude de Christ, dans un lieu de repos, dans une vie de confiance et une marche de paix sous Son règne.

Laisse ta foi prévaloir et proclame : “Je ne crains pas ce que les hommes peuvent faire. Mes ennemis n’ont aucun pouvoir car Dieu est avec moi. J’y vais, afin de me saisir de ce qu’Il a pour moi !” - David Wilkerson

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Plan de lecture quotidienne :

1 Rois 9      Jacques 4 : 13 à 5 : 1-20

La croix de Jésus : un échec apparent

 

Transmis par René Barrois le12/05


« En vérité, en vérité, je vous dis : À moins que le grain de blé, tombé en terre, ne meure, il demeure seul ; mais s'il meurt, il porte beaucoup de fruit. » (Jean 12 : 24)


Dans un monde où les hommes aiment se faire servir, Jésus est venu pour servir, et il a fait du bien sans prendre l'attitude distante d'un bienfaiteur qui veut montrer sa supériorité. Jésus est venu en ami. Lors de sa rencontre avec la femme samaritaine, il sollicite même un service (Jean 4). Il était l'ami des humbles et des pauvres. Si Jésus n'avait pas été déposé dans une crèche, s'il avait été accueilli dans un palais, les bergers auraient-ils pu venir l'adorer ?

C'est ce dépouillement qui nous le rend si cher : nous sentons que nous pouvons nous approcher de lui. Il est toujours le même dans sa patience, sa douceur et son humilité. Nous pouvons connaître des échecs, et souvent par otre faute. Voilà un écolier qui n'a pas assez travaillé et qui échoue à son examen. Mais il peut arriver que nous subissons un échec malgré des études bien suivies. Il y a toutes sortes d'échecs : ceux de la profession, ceux de la famille, ceux du coeur... Qui d'entre nous n'en a jamais eu ?

Par la bouche du prophète, Jésus fait le bilan de sa visite à l'humanité : « J'ai travaillé en vain... » mais il se hâte d'ajouter que c'est Dieu qui appréciera son oeuvre. Et voici la réponse divine : « Je te donnerai pour être mon salut jusqu'au bout de la terre » (Ésaïe 49 : 6). - Graines d’ensemencement

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Plan de lecture quotidienne :

1 Rois 7-8     Jacques 3 : 14 à 4 : 1-12

 

Regarde l’oeuvre de Dieu !

 

Transmis par René Barrois le 11/05

 

« Regarde l’oeuvre de Dieu : qui pourra redresser ce qu’il a courbé ? » (Ecclésiaste 7 : 13)

« Éternel, tu as fait de mon corps une œuvre si étonnante et si merveilleuse. Que tes œuvres sont admirables ! » (Psaume 139 : 13-14).

 

Selon le docteur Leininger, chirurgien ophtalmologiste, « l’oeil est un organe ultra-perfectionné ; chaque élément : la cornée, le cristallin, l’ris, la pupille et la rétine, a son rôle et son importance. Relié par le nef optique, l’oeil permet au cerveau d’enregistrer, d’interpréter et de traduire les images avec un automatisme extraordinaire »

Dans une publicité d’une grande marque de téléphone portable, j’ai lu : « Parce que votre iris est unique, vous pouvez sécuriser votre smartphone d’un simple regard. La reconnaissance de l’iris est aujourd’hui la solution de verrouillage la plus efficace et la plus sécurisé pour votre smartphone.

Personne d’autre que vous sur la terre n’a votre empreinte digitale ou ADN. Les scientifique attestent de façon formelle que nous sommes tous des êtres uniques. Pour Dieu notre Créateur, nous ne sommes pas des clones anonymes ni des numéros. Dieu disait à Moïse : « Je te connais par ton nom » (Exode 33 : 12). De plus, le bible dit : « Du lieu de sa demeure, Dieu observe tous les habitants de la terre...Il est attentif à toutes leurs actions » (Psaume 33 : 14).

Dieu connaît tout de notre vie, de notre conduite, de nos pensées, de nos sentiments, de nos œuvres, de notre passé, de notre présent et de notre avenir. Convaincu de cette réalité, David disait : « Ô Dieu ! Tu connais ma folie, et mes fautes ne te sont point cachées » (Psaume 69 : 6).

Il faut savoir que « Dieu nous appellera en jugement » (Écclésiaste 12 : 1). Alors que faire ? « Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner... » (1 Jean 1 : 9). - Joël Chédru

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Plan de lecture quotidienne :

1 Rois 4-6      Jacques 2 : 1 à 3 : 1-13

 

Si on parlait un peu du paradis (2)

 

Transmis par René Barrois le 10/05

 

« Nous serons transformés, en un instant, en un clin d’œil… » (1 Corinthiens 15 : 51-52)

 

Comment pourrais-je reconnaître mes êtres chers sans leur corps terrestre ? Exactement comme les disciples ont reconnu Moïse et Elie, alors que ceux-ci étaient morts depuis des siècles ( Marc 9 : 4). Vous serez autant l’enfant de Dieu au paradis que vous l’avez été sur terre, mais sans votre corps terrestre, jusqu’au jour du retour du Seigneur lorsque « nous serons transformés » (1 Corinthiens 15 : 51).

Continuerons-nous à apprendre et à grandir ? Bien sûr ! La structure de l’atome sera un jeu d’enfant comparé à ce que vous découvrirez au paradis ! Imaginez une étude approfondie de l’histoire humaine vue selon l’angle divin. Sans oublier la possibilité de voyager dans le passé, non pas à la vitesse de la lumière, mais de l’esprit. Aurons-nous le temps de nous détendre et de pratiquer nos passe-temps préférés ? Le paradis sera un lieu de repos. Vous pourrez planter un jardin sans souffrir de courbature du dos, sans craindre les mauvaises herbes ou la sécheresse.

Vous pourrez composer des oratorios ou écrire des poèmes. Vous pourrez sculpter le bois ou peindre un paysage. A la louange de Dieu ? Tout, au paradis sera fait pour Le louer.

Aurons-nous des soucis ? Non. Ni armes, ni bombes, ni crime, ni violence, ni guerre n’y auront place. Les portes n’auront aucune serrure. Tout ce qui, sur terre, rendait la vie dangereuse et effrayante aura disparu. « Il n’y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu » ( Apocalypse 21 : 4).

Comment parvient-on au paradis? En choisissant d’y aller, pas par chance ! Tout le monde est invité. Encore faut-il accepter l’invitation ! C’est-à-dire en acceptant Jésus-Christ comme votre Seigneur et Sauveur. L’avez-vous fait ? - SPPA

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Plan de lecture quotidienne :

1 Rois 2-3      Jacques 1 

 

Si on parlait un peu du paradis (1)

 

Transmis par René Barrois le 09/05

 

« Dans la maison de Mon Père il y a plusieurs demeures.” »  (Jean 14 : 2)

 

Au soir du 11 septembre 2001, après le terrible attentat contre les tours jumelles de Manhattan, une maman a annoncé à son petit garçon de 4 ans que son papa, un policier de New-York, ne rentrerait pas à la maison car il était parti au paradis. « On peut l’appeler sur son portable ? » demanda l’enfant. « Non, mais un jour nous le reverrons » répondit sa maman. Après un instant de réflexion, l’enfant demanda : « Maman, c’est comment le paradis ? » Des foules de gens se posent la même question.

Qui peut leur répondre ? Jésus est le mieux placé pour le faire ! « Dans la maison de Mon Père il y a plusieurs demeures… Je vais vous préparer une place » (Jean 14 : 2). Le paradis ressemble à quoi ? A une partie de la maison de votre Père céleste, préparée spécialement pour vous. Pas de décoration à refaire, pas de réparation à effectuer, pas de déception, le jour de l’emménagement. Que ferons-nous au paradis ? Nous servirons Dieu jour et nuit ( Apocalypse 7 : 15). Mais comment ? En commandant aux anges, en étant responsables de la bonne administration de cités entières. Reconnaîtrons-nous nos êtres chers ? Notre connaissance au paradis serait-elle inférieure à notre connaissance ici, sur terre ? « Alors nous verrons face à face… alors je connaîtrai comme j’ai été connu » (1 Corinthiens 13 : 12).

Nos enfants seront-ils encore des enfants et nos parents toujours vieux ? Non, car « lorsqu’Il paraîtra, nous serons semblables à Lui. » (1 Jean 3 : 2). Souvenez-vous que Jésus quitta les Siens à l’âge de 33 ans.

Et les handicapés ? « Les souffrances du temps présent ne sauraient être comparées à la gloire… qui sera révélée pour nous… attendant la rédemption de nos corps » ( Romains 8 : 18-23).

Joni E. Tada a dit un jour : « Ce sera le jour où moi, paralysée de la tête aux pieds, je pourrai danser de joie ! » Le paradis sera merveilleux. Y serez-vous ? - SPPA

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Plan de lecture quotidienne :

1 Rois 1      2 Pierre 3

Qu’as-tu fait de l’épée ?

 

Transmis par René Barrois le 08/05

 

1 Samuel 29 : 1-9 : « Voici l’épée de Goliath, le Philistin, que tu as tué dans la vallée des térébinthes ; elle est enveloppée dans un drap derrière l’éphod ; si tu veux la prendre, prends-la, car il n’y a pas d’autre ici. Et David dit : Il n’y en a point de pareille ; donne-la-moi. »

 

Quelle contraste avec 1 Samuel 17 : 50-51, où David terrasse le géant et s’empare de son épée mettant ainsi un terme à la domination de cet homme ainsi que de ce peuple Philistin. Maintenant l’épée est enveloppée d’un drap, mise derrière l’éphod (le vêtement du sacrificateur), bien conservée ! Trophée d’un ancien combattant !

Où donc est notre épée, celle que Dieu nous avait donnée, et avec laquelle nous avions remporté tant de victoires ?

Où est cette l’épée que nos pères ont brandie, faisant reculer la puissance de l’enfer ?

Où sont passées toutes ces armes, dont l’Écriture nous fait l’inventaire ?

Sont-elles aussi enveloppées dans le drap de nos souvenirs, comme trophées de nos victoires du passé ?

Derrière l’éphod ! « Derrières », sont nos expériences, mais elles font partie du « passé » et ce qui compte c’est ce que nous voulons faire « maintenant » !

Il faut retrouver l’épée, la reprendre, car elle doit nous accompagner pour combattre le bon combat de la foi.

Les mêmes paroles nous sont adressées à chacun de nous : « Si tu veux la prendre, prends-la,… » ; « C’est l’épée de la victoire, de ta victoire. »

« À toi de choisir, à toi de décider, elle est là à ta portée, devant toi ; retire-la de son fourreau, pour qu’elle retrouve sa place dans ta main, à ton côté. »

Comme David nous pouvons le dire et le confesser : « Il n’y a point de pareille ; donne-la-moi. »

« Aucune arme ne peut égaler les armes que tu nous as données Seigneur ! Je prends tes armes, je les reprends pour être vainqueur ! Je confesse ta Parole ! Je prie en ton nom, par l’autorité que tu m’as donnée ! » - Yves Prigent

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Plan de lecture quotidienne :

2 Samuel 23-24     2 Pierre 2

 

Avoir une relation personnelle avec Dieu et marcher avec Lui est primordial pour chacun de nous
 

Transmis par René Barrois le 07/05


En tant que notre Créateur et notre Père, si nous sommes chrétiens, Dieu voudrait entretenir une relation étroite avec chacun de nous. C’est la raison pour laquelle Il nous a laissé Sa Parole, la Bible, par laquelle Il nous interpelle, nous conseille, nous édifie, nous exhorte. Il désire le faire dans chacune de nos circonstances.
« L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu » nous disent les Ecritures.


C’est la raison pour laquelle le Seigneur nous interpelle en tout temps et de diverses manières. Il veut, en réalité, être la source de notre vie. Il veut que nous dépendions de Lui et de Lui seul. De ce fait, Il s’attend à ce que nous venions journellement dans Sa présence, au-devant de Lui, pour écouter Sa voix et puiser en Lui la force dont nous avons besoin pour continuer notre pèlerinage terrestre.

L’importance d’avoir une relation personnelle avec Dieu, notre Créateur

L’importance d’avoir une relation personnelle avec Jésus, notre Sauveur, est merveilleusement bien illustrée par l’événement historique suivant :
L’Empereur Frédéric II s’était posé la question suivante, à savoir quelle langue tous les enfants du monde parlent, lorsqu’ils viennent au monde. Il a voulu connaître la langue d’origine de tous les êtres humains. Et il a demandé à observer lui-même des bébés pour voir quelle langue ils se mettraient à parler, si personne ne leur avait jamais adressé la parole.

Une chronique de 1268 rapporte ceci : « L’Empereur a donc donné l’ordre aux puéricultrices et infirmières de bien nourrir leurs bébés, de bien les soigner, les laver, leur donner le bain, mais en aucun cas de jouer avec eux ou de leur parler. Il voulait voir si ces enfants-là allaient se mettre à parler l’hébreu, le latin ou l’arabe ou encore la langue de leurs parents. Cette expérience fut vaine, car tous les bébés traités de cette manière moururent. En fait, ils ne purent survivre au manque de paroles et d’affection de ces dames qui les avaient soignés. Ces enfants avaient pourtant tout ce qu’il fallait pour vivre : ils étaient bien nourris et bien soignés. Et pourtant, tous moururent ! L’essentiel leur manquait : des paroles aimantes et une attention personnelle de la part des puéricultrices qui s’en occupaient.

Il en est exactement de même pour nous, quant à notre relation avec Dieu. Comme nos enfants ne peuvent vivre longtemps privés de nos paroles et de nos gestes d’affection, nous chrétiens ne pouvons pas mener une vie chrétienne épanouie et victorieuse, une vie qui glorifie le Seigneur sans une Parole qui sort de Sa bouche. Notre Créateur le sait, c’est pourquoi Il nous a laissé Sa divine Parole en nous exhortant à maintes reprises de nous en nourrir régulièrement : « L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu ».

En tant que bon et tendre Père, Il désire pour nous une vie réussie et fructueuse pour Son royaume, et cela dans 3 domaines particuliers ; une vie réussie :
1. par rapport à nous-mêmes
2. par rapport à ceux qui nous environnent
3. par rapport à notre relation avec Lui
C’est la raison pour laquelle Il a établi pour l’homme de fermes règles de conduite générales : ce sont les 10 commandements. Mais plus que cela encore ; le Seigneur s’adresse également à chaque personne en particulier et de manière précise, chacune de Ses directives étant adaptée au plan qu’Il a Lui-même préparé pour elle.

Voilà pourquoi il est si important pour chacun de nous de chercher à découvrir ce merveilleux plan que Dieu a préparé pour nous et de marcher sur ce chemin si parfaitement tracé par Celui qui nous connaît mieux que nous-mêmes.

L’importance d’apprendre à marcher avec Dieu

Comme nous venons de le voir et si nous voulons bénéficier d’une vie chrétienne victorieuse, combien il est vital pour chacun d’entre nous de nous mettre en relation directe et personnelle avec notre Seigneur et Maître, de lui remettre les commandes de notre existence, en un mot, de l’établir Roi et Seigneur sur toute notre vie.

Et si vous voulez qu’Il l’oriente et la dirige, il faut évidemment être à Son écoute, et non seulement cela, mais encore être décidé de Lui obéir en mettant en pratique toute Sa Parole. Comment donc marcher avec Dieu et entendre Sa voix ?

Premièrement en lisant chaque jour la Bible, dans un esprit de prière et de consécration. Si vous le faites régulièrement, vous vous apercevrez bien vite que votre façon de raisonner commence à changer, que vos pensées seront empreintes de celles de Dieu, que votre intelligence sera complètement renouvelée. Avec l’aide du Saint-Esprit, vous serez alors à même d’entendre la voix de Dieu et ses directives pour votre vie. Dans la prière, l’Esprit de Dieu viendra également vous éclairer et confirmer Sa pensée dans votre cœur.

Quel que soit le domaine de votre vie, la pensée de Dieu ayant été confirmée en vous, la deuxième étape à franchir et qui est des plus importantes sera celle de prendre la décision d’obéir à Sa volonté divine ainsi révélée.

Que le Seigneur nous aide tous à réexaminer périodiquement notre relation avec Lui et à progresser dans la qualité de notre marche chrétienne. Prenons pour exemple Hénoch qui marcha avec Dieu durant 300 ans, nous est-il précisé ! Quel exemple de marche et d’obéissance que cet homme, qui a su honorer son Seigneur si longtemps ! Puissions-nous apprendre à placer chacune de nos journées sous le regard de Dieu. Cheminer avec Lui toute une vie est certes l’existence la plus glorieuse que nous puissions avoir sur cette terre. Notre plus grand désir n’est-il pas qu’un jour notre Maître puisse nous dire : « C’est bien, bon et fidèle serviteur, entre dans la joie de ton Maître » ? - Dorothée Hatzakortzian

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Plan de lecture quotidienne :

2 Samuel 22     2 Pierre 1

 

Quand les « psy » remplacent la Parole...

 

Transmis par René Barrois le 06/05

 

Les « psy » seraient-ils donc devenus les nouveaux pasteurs de l’église ? Et un freudisme habillé de hardes vaguement christianisées y aurait-il remplacé la Parole de Dieu ?...

Il est manifeste qu’une mode nouvelle pénètre depuis quelques temps le « monde évangélique », notamment, puisant sont inspiration dans une démarche empruntée – consciemment ou non – à la psychanalyse : Chez certains, la « guérison psychologique » se substitue peu à peu à la conversion et à la sanctification bibliques.

Chez d’autres, il s’agit d’être libéré des héritages négatifs des ancêtres, voire de chasser les démons qu’ils ont pu transmettre à leurs descendants !

Et les chrétiens sincères se trouvent désorientés en nombre grandissant, déstabilisés dans leur foi et leur piété, ou même atteints dans leur équilibre psychique par la recherche en eux de ces prétendus  « héritages » ancestraux méconnus, et plus encore quand le « travail sur soi » ou la « prière de puissance » censés les en délivrer n’aboutissent à rien.

Or, rien de tout cela n’est biblique !

Quiconque s’est authentiquement tourné vers Dieu en Jésus-Christ – converti – et marche dans ses voies avec fidélité, par sa grâce, est libre de toutes dénominations : « Si le Fils vous libère, vous serez réellement libre » à dit Jésus.

L’Esprit de Dieu demeure en lui, selon la promesse du Christ ; et l’Esprit-Saint ne peut cohabiter avec les esprits mauvais.

Tout enseignement affirmant le contraire – fut-il émaillé de tronçon de versets, cités hors de leur contexte et dénaturé – est clairement anti-biblique.

Le chrétien aura certes de combats, des tentations, des « attaques de l’adversaire »... le Christ en a prévenu les siens  « vous aurez des tribulations dans le monde... », mais la victoire lui a été acquise par le Seigneur « prenez courage car j’ai vaincu le monde... »

Il est vrai que ces fausses doctrines peuvent constituer un alibi facile pour ceux et celles qui veulent s’affranchir de la sanctification à laquelle chacun est appelé : transférer sa propre responsabilité spirituelle sur ses ancêtres est plus confortable, et tellement conforme à « l’air du temps »... !

Et si tout n’était pas aussi grave, l’on pourrait se demander, avec humour attristé, si certains propagandistes de ces fausses doctrines ne ressemblent pas au Dr Knock mis en scène par l’auteur Jules Romains, dont la devise était : « Tout bien portant est un malade qui s’ignore », et qui était parvenu à convaincre l’une des ses patientes qu’elle était tombée d’une échelle étant petite, ce dont celle-ci n’avait aucun souvenir mais quelle se désolait d’apprendre...Et le Dr Knok de persuader la pauvre femme de se faire soigner par lui...

L’apôtre Paul écrivait aux Thessaloniciens, confrontés à des fausses doctrines, de ne pas se « laisser promptement ébranler dans leur bon sens » (2 thessaloniciens 2 : 2).

Combien cette exhortation est d’actualité à notre époque où les errements, et même les égarements sont si nombreux au sein du peuple de Dieu !

Souvent l’apôtre a aussi exhorté les chrétiens à demeurer dans la « sainte doctrine » et dans une « foi saine »...

Comme le seraient-elles sans rester fondées sur la Parole deDieu, et non sur des élucubrations humaines !

Que notre vie soit tout entière irriguée par cette foi biblique saine, et sainte ! Samuel Charles

 

Plan de lecture quotidienne :

 

La foi isolée dans « la sphère privée »... ?

 

Transmis par René Barrois le

 

Un vent mauvais d’intolérance anti-religieuse souffle à nouveau sur la France...

Et des voix de plus en plus nombreuses s’élèvent pour affirmer que la foi et son expression appartiennent à la « sphère privée », ou pour réclamer qu’elles y soient circonscrites, disparaissant donc de la sphère publique »

Cette idée, martelée au point d’en faire un de ces slogans brefs et « chocs » dont les média sont friands, se réclame de la laïcité à la française...

La laïcité, principe de la séparation de l’État et des religions, est une règle excellente, aussi nécessaire au premier qu’aux secondes, pour la vie de nos sociétés.

Mais le mot est piégé et détourné, dans ce pays, tout comme la réalité qu’il désigne y est faussée.

La plupart des grandes démocraties du monde regardent d’ailleurs avec incompréhension et inquiétude les soubresauts et les tentations ou tentatives totalitaires qui secouent régulièrement la France en ce domaine.

Ainsi récemment, une sociologue allemande de l’Institut pour la recherche en Sciences Sociales de Hambourg disait-elle, lors de son colloque européen :

« Le mot même de laïcité n’a pas le même sens de part et d’autre du Rhin. En Allemagne, la laïcité à la française provoque un certain rejet, car on l’entend comme le refus des religions dans l’espace public. La laïcité allemande signifie simplement la neutralité de l’État à l’égard du fait religieux... »

En réalité, d’aucuns semblent s’être saisis de la légitime défense contre un islam intégriste qui récuse toute notion de laïcité, pour reprendre le vieux et malfaisant combat mené par le « petit père Combe » au début du siècle passé, non pour la laïcité, mais contre la foi ! Ils voudraient éradiquer du paysage social toute visibilité de la religion, et si possible toute foi des cœurs.

« La foi dans la sphère « privée » n’est qu’une version modernisée du vieux slogan laïciste : « L’Église dans la sacristie » !

Mais au nom de quoi faudrait-il que seule la foi parmi toutes les convictions n’ait pas le droit de vivre et de s’exprimer dans l’espace public ?

Au nom de quoi se verrait-elle - elle seule - interdite de parole publique ?

Au nom de quoi ne serait-elle pas autorisée à fonder une action sociale, ou autre ?

Ce serait, envers les chrétiens, de la discrimination, de l’exclusion,un déni de justice, de démocratie, de liberté, d’égalité...une forme de racisme !

Or, dans plusieurs départements, des « Bons Vacances » des Caisses l’Allocations Familiales ont été – illégalement - refusés à des enfants inscrits dans des séjours de vacances organisés par des associations chrétiennes par exemple...

Les temps que nous vivons réclament lucidité, vigilance, sagesse...et par dessus tout prière. Soyons « sur la brèche, pour prier en faveur du pays » (Ézéchiel 22 : 30). -Samuel Charles

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Plan de lecture quotidienne :

2 Samuel 20-21     1 Pierre 5

Je n’aurais pas été si fou !

 

Transmis par René Barrois le 05/05

 

En mai 1967, un terrible incendie ravagea le grand magasin « Innovation » à Bruxelles. 251 personnes périrent. Les flammes se propagèrent si rapidement qu’elles ne laissèrent à la plupart des clients aucune chance d’atteindre une sortie. Deux vendeuses averties à temps se précipitèrent vers une issue. L’une put se sauver, mais l’autre, arrivée près de la porte, se retourna et s’écria : « Mon manteau ! Je vais le chercher ». Malgré les appels pressants de sa collègue, elle courut vers le vestiaire… On ne la revit jamais !

Elle perdit sa vie pour ne pas perdre son manteau ! Peut-être vous dîtes-vous : « Jamais je n’aurais été si fou ! » Sans doute. Pourtant, savez-vous que, si vous n’êtes pas en règle avec Dieu, vous êtes menacé par « le feu qui ne s’éteint pas » ? Il ne s’agit vraisemblablement pas d’un incendie produisant des flammes, mais la Bible emploie ce langage symbolique pour faire comprendre l’intensité des tourments de ceux qui seront éternellement séparés de Dieu, ayant refusé l’Evangile de notre Seigneur Jésus Christ. Tant que vous ne l’avez pas accepté comme votre Sauveur qui, seul, peut vous délivrer de la colère qui vient, chaque jour, chaque seconde vous rapproche du terrible feu du jugement divin.

Heureusement, il y a une porte par laquelle vous pouvez vous échapper. Jésus a dit : « Moi, je suis la porte » (Jean 10 : 9)

Vous ne serez sûrement pas assez fou pour négliger cette issue pour la seule raison que vous avez, dans votre cœur, une passion pour quelque bien terrestre ou quelqu’idole ! La porte est grande ouverte encore maintenant, et elle est tout près de vous. Franchissez-la avant qu’il ne soit trop tard. La colère à venir dont parle la Bible va bientôt déferler sur le monde « parce que Dieu a établi un jour auquel il doit juger en justice la terre habitée » (Actes 17 : 31)

Au temps de Noé, il n’y avait qu’une seule porte par laquelle on pouvait se mettre à l’abri du déluge : la porte de l’arche. Aujourd’hui, pour être à l’abri du jugement de Dieu, il n’y a qu’une seule porte : JÉSUS CHRIST

 

« Moi, je suis la porte, a-t-il dit. Si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé. » (Jean 10 : 9) - La Vérité Sûre

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Plan de lecture quotidienne :

2 Samuel 18-19     1 Pierre 4

Aller bien plus loin

 

Transmis par René Barrois le 04/05

 

« Car j’aimerais mieux mourir... ! Personne ne m’enlèvera ce sujet de gloire. » (1Corinthiens 9 : 15).

« Car pour moi, Christ est ma vie et la mort m’est un gain. » (Philippiens 1 : 21).

 

Je crois qu’il est possible à Dieu de faire entrer aujourd’hui une assemblée dans la gloire par le même processus que celui qu’il mettre en œuvre pour l’enlèvement. Que Dieu nous accorde la grâce d’avoir le discernement exercé pour veiller à la pureté de notre cœur. Nous voudrions nous en aller auprès du Seigneur, ce qui serait de beaucoup le meilleur, mais pour le bien de l’église, le mieux c’est que nous restions. Si vous pouviez seulement comprendre cette parole de Paul : « ...d’être avec Christ, ce qui est de beaucoup le meilleur » ; vous ne prendriez jamais un cacher ou un médicament quelconque. Vous ne feriez jamais rien pour éviter de mourir si vous aviez la conviction que s’en aller auprès du seigneur est le meilleur.

« Seigneur, à seule fin d’être une bénédiction, pour ta gloire et pour le bien de l’église, garde-nous plein de vie. »

 

Nous ne voulons pas être pleins de maladies, nous voulons être au contraire, pleins de vie. Seigneur, accorde-nous une foi vivante pour que nous puissions croire.

 

Prière du jour : Jésus, progresser avec toi est beaucoup mieux que simplement vivre. Je désire être rempli de ta vie maintenant et pour toujours. Amen. - Smith Wigglesworth

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Plan de lecture quotidienne :

2 Samuel 15-17     1 Pierre 3

Désabusé ou… satisfait ?

 

Transmis par René Barrois le 03/05


(Le roi Salomon a écrit :) « Quel profit a l’homme de tout son labeur dont il se tourmente sous le soleil ? » (Ecclésiaste 1 : 3)

(Paul, prisonnier, a écrit :) « J’ai appris à être content dans les situations où je me trouve. » (Philippiens 4 : 11)

 

Albert Einstein (1879-1955), un des plus grands savants du 20e siècle, disait à la fin de sa vie : “Si je devais recommencer ma vie, je me ferais plombier !”

Antoine de Saint-Exupéry (1900-1944) fut l’un des pionniers de l’aviation et un écrivain connu. Quelques jours avant de disparaître aux commandes de son avion, il écrivait : “J’étais fait pour être jardinier”.

Salomon, auteur du verset du jour, était le souverain le plus brillant de son temps par sa sagesse et sa fortune. Il écrivait au soir de sa vie : “Je me suis tourné vers toutes les œuvres que mes mains avaient faites… tout était vanité et poursuite du vent” (Ecclésiaste 2. 11). Des hommes célèbres, mais désabusés…

L’homme a été créé à la ressemblance de Dieu. Or la désobéissance d’Adam a rompu sa relation avec Dieu. Son passage sur la terre est “une vapeur qui paraît pour un peu de temps et puis disparaît” (Jacques 4. 14). Même célèbre, il reste insatisfait. Il a conscience d’un manque profond. Dieu, qui aime sa créature, a comblé cet abîme en offrant son Fils, Jésus, pour le salut des humains. Celui qui reconnaît être perdu, et croit au Seigneur Jésus, est sauvé et a la vie éternelle. Celui qui ne saisit pas ce salut est perdu pour l’éternité.

À la fin de sa vie, en prison, l’apôtre Paul est un homme heureux. S’il s’estime le plus grand des pécheurs, il a cru Dieu : “Je sais qui j’ai cru” (2 Timothée 1. 12). Sa foi a animé sa vie et son service pour son Maître jusqu’au martyre. C’était un homme comblé ! - La Bonne Semence

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Plan de lecture quotidienne :

 

2 Samuel 12-14     1 Pierre 1 : 22 à 2 : 1-25

 

La loi dans le cœur

 

Transmis par René Barrois le 02/05


«La loi de son Dieu est dans son coeur ; aucun de ses pas ne chancellera. » (Psaumes 37 : 31).


Mettez la loi dans le coeur d'un homme, et cet homme marchera droit. Voilà où la loi doit être inscrite ; elle est alors, comme les tables de pierre dans l'arche, à la place qui lui est destinée. Dans la tête, elle embarrasse ; sur le dos, elle pèse ; dans le coeur, elle soutient et maintient.

 

Quelle belle expression que celle-ci « la loi de son Dieu ! » Quand nous connaissons l'Éternel comme notre Dieu, sa loi signifie pour nous liberté. Dieu, qui est entré avec nous dans cette alliance, nous donne le désir d'obéir à ses prescriptions et de marcher dans ses commandements. Suivre les préceptes de mon Père, sera pour moi un délice.
 

L'homme dont le coeur est obéissant sera soutenu dans tous ses pas. Il fera ce qui est bien ; par conséquent, il fera ce qui est prudent. Une action sainte est toujours la plus sage, quoiqu'il puisse sembler au moment même. Quand nous marchons dans ses lois, nous sommes engagés sur la voie royale de notre Dieu. La Parole de Dieu n'a jamais égaré une seule âme. Sa direction est claire : c'est de marcher humblement et droitement dans l'amour et la crainte de Dieu. Ce sont là de sages avis, des règles de sainteté pour nous préserver de la souillure. Celui-là marche sûrement qui marche droitement. - C.H. Spurgeon

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Plan de lecture quotidienne :

2 Samuel 9-11     1 Pierre 1 : 1-21

Jusqu'à ce que nous soyons entièrement à Lui

 

Transmis par René Barrois le 01/05


« Il faut que la patience accomplisse parfaitement son oeuvre, afin que vous soyez parfaits et accomplis, sans faillir en rien » (Jacques 1 : 4).


Sur le plan moral et spirituel, beaucoup d'entre nous sont « bien » dans l'ensemble, mais négligents sur un point particulier. Cela ne vient pas précisément du péché, mais plutôt des traces de notre ancienne vie. Or, être négligent, est une offense au Saint-Esprit. Il ne devrait y avoir dans notre vie aucun « laisser-aller », ni dans la façon dont nous mangeons et buvons, ni dans notre manière d'adorer Dieu.

 

Non seulement nous devons avoir à l'égard de Dieu l'attitude intérieure qui convient, mais l'expression extérieure de notre piété doit être irréprochable. Dieu ne laissera rien passer, il voit tous les détails. Cent fois, s'il le faut, il reviendra sur notre point faible. Il ne se lasse jamais, jusqu'à ce que nous ayons compris la leçon, car il nous veut accomplis.

 

Il peut s'agir d'un instinct incontrôlé : avec patience, avec persévérance, Dieu revient sur ce point particulier. Peut-être avons-nous l' habitude de laisser notre esprit vagabonder ; peut-être sommes-nous égoïstement individualistes. Dieu travaille à nous délivrer de la moindre chose qui en nous n'est pas parfaite.

 

Après avoir contemplé les merveilles de la Rédemption, nos coeurs sont pleins d'amour pour Dieu. La manière merveilleuse dont il a travaillé en nous nous prouve que dans l'ensemble, nous sommes en règle avec lui. « Maintenant », dit l'Esprit par la bouche de Jacques, "que votre patience soit rendue parfaite". Attention au laisser-aller qui nous fait dire : « Oh ! ça peut aller ! » Dans quelque domaine que ce soit, Dieu dénoncera avec insistance ce qui ne va pas, jusqu'à ce que nous soyons entièrement à lui. - Oswald Chambers

Plan de lecture quotidienne :

 

Aller bien plus loin

 

Transmis par René Barrois le 04/05

 

« Car j’aimerais mieux mourir... ! Personne ne m’enlèvera ce sujet de gloire. » (1Corinthiens 9 : 15).

« Car pour moi, Christ est ma vie et la mort m’est un gain. » (Philippiens 1 : 21).

 

Je crois qu’il est possible à Dieu de faire entrer aujourd’hui une assemblée dans la gloire par le même processus que celui qu’il mettre en œuvre pour l’enlèvement. Que Dieu nous accorde la grâce d’avoir le discernement exercé pour veiller à la pureté de notre cœur. Nous voudrions nous en aller auprès du Seigneur, ce qui serait de beaucoup le meilleur, mais pour le bien de l’église, le mieux c’est que nous restions. Si vous pouviez seulement comprendre cette parole de Paul : « ...d’être avec Christ, ce qui est de beaucoup le meilleur » ; vous ne prendriez jamais un cacher ou un médicament quelconque. Vous ne feriez jamais rien pour éviter de mourir si vous aviez la conviction que s’en aller auprès du seigneur est le meilleur.

« Seigneur, à seule fin d’être une bénédiction, pour ta gloire et pour le bien de l’église, garde-nous plein de vie. »

 

Nous ne voulons pas être pleins de maladies, nous voulons être au contraire, pleins de vie. Seigneur, accorde-nous une foi vivante pour que nous puissions croire.

 

Prière du jour : Jésus, progresser avec toi est beaucoup mieux que simplement vivre. Je désire être rempli de ta vie maintenant et pour toujours. Amen. - Smith Wigglesworth

 

 

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