Août 2017

31/07/2017 07:34

 

 

Retour à la Parole

Transmis par René Barrois le 19/08

 

« Le sacrificateur Hilkija trouva le livre de la loi de l’Éternel donnée par Moïse » (2 Chroniques 34: 14).

Depuis des lustres, les rouleaux de la loi de Moïse avaient été délaissés. Ils étaient enfouis sous un fatras d’ustensiles divers, et recouverts de poussière. Au moment où le roi Josias a demandé de restaurer le temple, les ouvriers ont retrouvé le livre de la loi de Moïse, et le sacrificateur a amené au roi ce précieux document.

Le roi ne créa pas un musée pour protéger ce rouleau d’une grande valeur, mais il voulut qu’on lui lise le contenu de ce livre. Aussitôt, la Parole fut lue en présence du roi, et cela produisit un réveil spirituel chez ce monarque et ce réveil impacta toute la nation.

La parole ne peut avoir d’effet que dans la mesure où elle est lue et reçue. Vous pouvez avoir une Bible chez vous, mais cela ne suffit pas. Pour qu’elle agisse dans votre vie, il convient que vous preniez un peu de temps pour la lire et la méditer.

Un jour une mère demandait à sa fillette de dix ans de revoir la leçon biblique qui avait été vue lors de l’école du dimanche. Pour cela elle sortit sa Bible de dessus l’armoire, et la posant sur la table, elle dit à sa fille : « Viens étudier le verset dans la Bible de maman, ensuite tu pourras aller jouer ».

La fille lui dit alors : « Si je dois étudier mon verset, je veux l’étudier dans la Bible de grand-mère, qui est plus intéressante que la tienne ».

« Mais non, ce sont les mêmes ! Mais pourquoi dis-tu que la sienne est plus intéressante ? » lui dit sa mère. A quoi sa fille lui répondit : « Je pense qu’elle doit être plus intéressante parce qu’elle la lit beaucoup plus que toi, la sienne doit contenir de belles histoires ! »

Votre Bible est-elle une Bible ouverte, consultée, lue, méditée ou bien est-elle enfouie sous une pile de livres couverts de poussière ? Ne vous sentez pas culpabilisés si vous l’avez quelque peu oubliée. Rien ne sert de se frapper la poitrine pour cette négligence. Soyez positifs, félicitez-vous d’avoir une Bible sous la main, et prenez-la pour en lire un court passage. Prenez cinq minutes pour lire un psaume ou quelques lignes de l’évangile de Jean. Cette lecture va bénir votre cœur.

Une décision pour ce jour : Merci pour ta Parole Seigneur. Je sais qu’elle est une source rafraîchissante pour mon âme. Aujourd’hui, je prends la décision de consacrer quelques instants pour la lire. Amen ! (Paul Calzada).

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Apprenez son repos

Transmis Par René Barrois le 18/08

 

« Venez à moi vous tous qui êtes fatigués et chargés et je vous donnerai du repos.» (Matthieu 11: 28)

    Il y a quelques années, après une visite chez l'ophtalmologue, j'attendais avec impatience les lunettes qui feraient disparaître mes migraines et troubles de la vue.

Apprendre son repos, c'est décider de lui faire confiance, une question volonté, d'entraînement...

    Mais quelle déception ! Avec la nouvelle monture, mes maux ne disparurent pas, au contraire. Persuadée d'une erreur de diagnostic, je retournai voir le médecin, dont le conseil me laissa perplexe : je devais persévérer et m'habituer à mes verres.    Il m'expliqua que mes yeux s'étaient accoutumés, depuis de nombreuses années, à compenser, seuls, mes défauts de vision. Les muscles oculaires, surentraînés, continuaient leurs efforts et n'acceptaient pas la correction.    La suite lui donna entièrement raison. En moins d'un mois, à mon étonnement, tout rentrait dans l'ordre. Mes yeux avaient cessé de faire de la résistance et avait appris à se reposer, à laisser les verres travailler pour eux.    Quelle leçon ! Dans le domaine de la foi, c'est la même chose.    Jésus vous invite à lui abandonner vos fardeaux. Il veut s'en charger à votre place. Et pourtant, vous êtes tellement habitué à vous débrouiller sans lui, à combattre seul vos faiblesses, à faire face à vos épreuves comme s'il ne marchait pas avec vous. Il vous faut apprendre son repos.    Combien de fois avez-vous décidé de vous en remettre à lui ? Vous veniez de prier, de lui faire confiance. Et puis, dans la minute suivante, vous avez tout oublié et repris votre douloureux bagage.    Apprendre son repos, c'est décider de lui faire confiance, une question volonté, d'entraînement. Vous avez tout à y gagner. Toutefois, cela ne vous est pas naturel lorsque tout en vous voudrait reprendre le contrôle. Mais laissez Jésus diriger votre vie. Habituez-vous à marcher par la foi et non par la vue, à vous appuyer sur ses promesses, sur sa Parole, certaine.    Recommande ton sort à l'Éternel, mets en lui ta confiance et il agira, dit le Psaume 37.5 ! C'est seulement lorsque vous aurez accompli ce pas de foi que vous que vous gagnerez la bataille.Une prière pour aujourd'hui : Seigneur, aide-moi à m'emparer de tes bénédictions. Je ne veux plus m'épuiser à combattre seul mes problèmes. Je veux entrer dans ce domaine de la foi miraculeuse et féconde, cette foi qui me fera entrer dans ton repos, de façon surnaturelle. Amen. (Solange Raby)

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Jésus est notre phare dans la nuit de ce monde !

Transmis par René Barrois le 17/08

 

« Jésus parla encore au peuple, et dit: Je suis la lumière du monde; celui qui me suit ne marchera point dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie. » (Jean 8: 12)

 

    Malgré les moyens modernes de navigation, les phares restent toujours en vigueur, car ils représentent le système de sécurité par excellence. Imaginez la joie des marins d’autrefois quand ils voyaient cette lumière rassurante après avoir navigué pendant des semaines sur les flots agités! Ils se sentaient revivre. Ils anticipaient la joie des retrouvailles avec leurs bien-aimés! De même, Jésus est la Lumière rassurante au sein des ténèbres. Quand il vient dans notre vie, il change tout pour le meilleur.

    Les photos de phares frappés par la mer en furie sont toujours très impressionnantes. On dirait que la mer se jette sur eux comme pour les détruire. Parfois, on ne les voit plus du tout. Ils sont comme submergés… Et pourtant, lorsque les flots se retirent, on peut constater qu’ils sont toujours là!

    Cela nous fait penser au Seigneur Jésus, qui est venu comme la Lumière au sein des ténèbres. Les ténèbres ne l’ont pas reçu; à Gethsémané, puis à Golgotha, les vagues furieuses de l’enfer se sont acharnées contre lui. Dans ce jardin, puis sur cette croix, notre Sauveur a pris les coups à notre place! Mais en fin de compte, lorsque les flots se sont retirés, on a pu constater qu’il était toujours là, plus solide que jamais!

    À cause de l’horizon, les phares de ce monde – même les plus hauts – ont une portée forcément limitée. Mais il n’en est pas de même pour notre Seigneur Jésus-Christ. Il a dit: « Et moi, quand j’aurai été élevé de la terre, j’attirerai tous les hommes à moi » (Jean 12 :32). Non seulement Jésus a été élevé sur la croix pour notre salut, mais il a ensuite été élevé au plus haut des cieux: aucune ligne de l’horizon ne l’arrête. Il est tellement élevé qu’il peut attirer tous les hommes à lui!

    Malgré les calomnies qui continuent à pleuvoir sur lui, rien ne peut ébranler notre Phare, et à son image, rien ni personne ne doit nous empêcher de briller dans ce monde ténébreux. Nous sommes prévenus que « le malheur atteint souvent le juste », mais aussi que « l’Éternel l’en délivre TOUJOURS ». L’oeuvre de la croix tiendra bon pendant l’éternité, et si nous suivons notre Maître, rien ne pourra jamais nous ébranler ! (Un Massage d’Amour).

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Méditer la Bible avec profit

Transmis par René Barrois le 16/08

 

« J'ai de la joie en ta parole, comme un homme qui trouve un grand butin » (Psaume 119. 162)

Méditer

Un prédicateur a dit un jour : "On peut lire la Bible en 78 heures, à vitesse normale, de la Genèse à l'Apocalypse". évidemment, il est impossible de lire les 66 livres des Saintes Écritures d'une traite. L'esprit humain n'en est pas capable. Mais il faut tenir compte d'un élément beaucoup plus important : la Bible est un trésor inépuisable pour autant qu'on la médite. Le terme "méditer" signifie "soumettre à une longue et profonde réflexion". Les Juifs murmurent la loi : "Bienheureux l'homme... qui a son plaisir en la loi de l'éternel, et médite (littéralement "murmure") dans sa loi jour et nuit" (Ps. 1. 1, 2).

Cette expression est très instructive. En faisant appel à deux sens, l'ouïe et la vue, le lecteur mémorise mieux les textes et les imprègne plus profondément dans son cœur.

Prendre du temps

L'acte de la méditation réclame du temps. On comprend que ce terme soit généralement absent du langage contemporain, car la vie est si agitée ! La méditation de la Parole serait-elle alors réservée aux croyants qui ont pris leur retraite ou à une élite ? Certes, non! On trouve toujours un moment pour faire ce que l'on aime ! Même si la Parole contient des choses difficiles à comprendre, elle est à la portée de chacun. Les croyants jeunes y trouvent autant de joie à la lire que les plus âgés.

Comment méditer la Parole de Dieu ?

Une approche purement intellectuelle conduit au désastre (2 Corinthiens 10: 12-13), car Dieu veut parler au cœur de l'homme. La Parole de Dieu n'est pas comme un livre scientifique ou un ouvrage philosophique. Ces ouvrages-là ne réclament aucunengagement du lecteur qui les consulte. La Parole de Dieu ne peut être abordée que dans un esprit de prière, en demandant à Dieu de nous éclairer par son Esprit. Se fier à sa propre intelligence rend la Parole incompréhensible.

Le psalmiste prie ainsi : "Ouvre mes yeux, et je verrai les merveilles qui sont dans ta loi" (Psaume 119: 18).

La Parole doit être lue avec le désir sincère d'entendre Dieu parler - Dieu se révèle à ses familiers - et la volonté de mettre en pratique les enseignements reçus (Jac. 1. 22). En la méditant, le croyant ne peut pas penser d'une manière et agir d'une autre, ou se réserver ses opinions, comme s'il lisait un quotidien. La lecture de la Parole demande l'engagement du lecteur. Un accord intellectuel n'est pas suffisant !

En méditant la Parole, je dois me sentir concerné, car Dieu me parle, à moi, aujourd'hui. La tentation est grande d'évacuer l'application personnelle d'un passage en pensant qu'il ne s'adresse qu'aux croyants d'autrefois ou ne concerne que d'autres chrétiens. C'est pour cela que l'épître de Jacques, si simple et si directe, est pourtant difficile à méditer : la tentation est grande de voir une ou des personnes de nos connaissances se profiler derrière chaque verset et de rester aveugle à son propre état.

La Parole est pratique. Elle doit être lue dans le but d'appliquer dans sa propre vie les enseignements reçus (Jacques 1: 22). Comme notre corps physique a besoin d'aliments pour vivre, notre âme doit être constamment nourrie par la Parole de Dieu. Elle est un aliment véritable (Deutéronom 8: 3), délicieux (Psaume 119: 103) et complet (1 Pi. 2. 2). Mais attention ! Jacques dit : « Mettez la parole en pratique, et ne l'écoutez pas seulement, vous séduisant vous-mêmes » (Jacques 1: 22). On devient obèse par excès de nourriture et par manque d'exercice physique, et cette condition conduit, lentement mais sûrement, à toutes sortes de maladies. Il en est de même dans le domaine spirituel.

Quelques exemples à imiter

Le premier cas de méditation personnelle que la Bible nous présente est celui d'Isaac (Genèse 24: 62-67). Venant du "puits du Vivant qui se révèle", Isaac sort dans les champs pour méditer, à l'approche du soir. Dans ces moments de communion avec Dieu, Isaac rencontre pour la première fois Rebecca, sa future femme. Quelle admirable figure que celle de Marie, la mère de Jésus, qui repassait dans son cœur toutes les choses que les bergers avaient dites (Luc 2: 19) ! C'est en priant et en méditant sur un toit au milieu de lajournée, que Pierre est appelé à annoncer l'évangile à Corneille (Actes 10: 19).

Ces quelques exemples montrent, parmi d'autres, queles moments de la journée, les circonstances et les lieux peuvent être très différents pour méditer : les champs, une étable, un toit. Ils nous enseignent aussi qu'il faut être tranquille, si possible isolé, pour méditer (Matthieu 6: 6).

Comment contrôler ses pensées ?

Méditer les enchaînements des pensées de Dieu est d'une grande beauté, mais ne laissons pas notre esprit vagabonder. Comment surveiller nos pensées?

Le contrôle des pensées commence par celui des sentiments (Psaume 73: 21-22). A cause de l'amertume de son cœur, Asaph était devant Dieu comme une brute, stupide, sans connaissance. Sa méditation était devenue un travail pénible, jusqu'à ce qu'il remplace ses préoccupations par une occupation : il entre dans « les sanctuaires de Dieu ». Alors, il comprend... (v. 16 et 17).

Notre esprit doit être dompté en amenant nos pensées captives à l'obéissance du Christ (2 Corinthiens 10: 5), dans un esprit d'humilité (1 Cororinthiens 4: 6 ; 2 Corinthiens 3: 5), restant attaché à la Parole, "la sûre norme des paroles de vérité"

(Proverbe 22: 21).

Meubler l'esprit de choses ''nobles" est un puissant moyen pour l'empêcher de vagabonder (Esaïe 32: 8). La nature a horreur du vide... Si notre esprit n'est pas occupé

de choses saines, spirituelles (Philippiens 4: 8), il est vite souillé par de mauvaises pensées qui s'empressent de remplir ce vide.

Que faire si on n'a pas envie de lire la Bible ?

Commencez par dire tout simplement : Merci Seigneur pour ta Parole, et forcez-vous à lire un passage. Puis posez-vous les questions suivantes : Que m'enseigne le texte que je lis concernant le Père, la Personne et l'œuvre de Jésus Christ, le Saint Esprit ? Y a-t-il un exemple à suivre ou à éviter, un ordre auquel obéir, un avertissement, une réponse à mes questions, une promesse, un sujet d'actions de grâces pour aujourd'hui et pour le jour du Seigneur ?

Si vous n'avez toujours pas envie de poursuivre votre lecture, alors confessez vos péchés à Dieu et pardonnez aux autres le mal qu'ils vous ont fait. Vous trouverez alors beaucoup de joie et de profit à méditer la Parole de Dieu.

Pour conclure

Le meilleur moyen pour apprécier la Parole est de l'enseigner à d'autres. C'est ainsi qu'on la comprendra et qu'on en jouira le mieux !

Dieu a parlé, écoutons-le ;

Ce qu'il promet, croyons-le ;

Ce qu'il ordonne, pratiquons-le ;

Ce qu'il nous révèle, proclamons-le ! (Marc Horisberger)

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Susceptible ?

Transmis par René Barrois le 15/08

 

« Le fruit de l'Esprit est l'amour, la joie, la paix, la patience, la bienveillance, la bonté, la fidélité, la douceur, la maîtrise de soi. » (Galates 5: 22)

« Une réponse douce détourne la fureur, mais la parole blessante excite la colère. » (Proverbes 15: 1)

    La susceptibilité est un trait de caractère qui trouble, et même envenime nos relations : avec nos proches, nos collègues, nos voisins. Et nous en sommes les premières victimes! La susceptibilité, chez le chrétien, est un des indices qui montre qu'il ne vit pas assez près de Jésus, l'homme doux et humble de cœur. La douceur, dans la Bible, est le caractère de celui qui n'insiste pas sur ses droits.

    Une sensibilité exacerbée, des blessures intérieures accumulées, des injustices… font que l'on peut tout voir sous un jour déformé, qu'un rien blesse, que tout paraît manque d'égard, moquerie ou malveillance… C'est une source permanente de profonde souffrance, pour celui qui en est affecté comme pour son entourage.

    Quelle aide a le chrétien pour voir et ressentir autrement ?

– Penser à Jésus son Sauveur : « Christ a souffert pour vous, vous laissant un modèle, afin que vous suiviez ses traces, lui qui n'a pas commis de péché, et dans la bouche duquel il n'a pas été trouvé de fraude ; qui, lorsqu'on l'outrageait, ne rendait pas l'outrage, quand il souffrait, ne menaçait pas, mais se remettait à celui qui juge justement » (1 Pierre 2: 21-23).

    Et s'efforcer de l'imiter : « Revêtez-vous… d'affection miséricordieuse, de bonté, d'humilité, de douceur, de patience, vous supportant l'un l'autre et vous pardonnant les uns aux autres, si l'un a un sujet de plainte contre un autre ; comme le Christ vous a pardonné, vous aussi faites de même. Par-dessus tout cela, revêtez-vous de l'amour, qui est le lien de la perfection » (Colossiens 3: 12-14). (La Bonne Semence)

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Crois seulement

Transmis par René Barrois le 14/08

 

« Mais Jésus, sans tenir compte de ces paroles dit au chef de la synagogue : sois sans crainte, crois seulement. » (Marc 5: 36)

 

Crois seulement, crois seulement.

Tout est possible, crois seulement.

Crois seulement, crois seulement.

Tout est possible, crois seulement.

 

    Ce qui fait l’importance de ce choeur, c’est le mot seulement. Je voudrais arriver à vous faire réaliser que lorsque vous vous débarrassez de vous-même et de tout secours humains, et que vous ne dépendez plus que de Dieu, vous parvenez à ce stade où vous allez pouvoir jouir d’une grande force spirituelle et d’un succès continuel. Si vous comptez sur vous -même, vous découvrirez qu’il y a des limitations à la vie et à la puissance de Dieu en vous.

Je rencontre tant de gens qui essaient de s’aider eux-mêmes. Ce que Dieu désire c’est que nous nous attachions à lui, d’une manière absolue et entière.

    Le merveilleux et unique projet que Dieu a conçu pour nous, c’est : crois seulement.

Repos absolu. Soumission parfaite. Dieu a pris en main la situation. Vous êtes amenés de façon absolue dans tout ce que Dieu a, parce que vous osez croire seulement ce qu’il dit.

    Dieu voudrait que j’inculque dans votre cœur une vérité vivante : crois seulement !

    Prière du jour : Jésus ce que tu as dit je le crois. Amen. (Smith Wigglesworth).

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Le cylindre de Cyrus

Transmis par René Barrois le 13/08

 

« [L’Éternel] réveilla l’esprit de Cyrus, roi de Perse. » (Esdras 1: 1)

    En 1879, des archéologues ont découvert un objet remarquable dans une région connue aujourd’hui sous le nom d’Iraq (la Babylone biblique). D’à peine 23 cm, le cylindre de Cyrus rapporte quelque chose que le roi Cyrus de Perse a fait il y a 2500 ans. Il indique que Cyrus a permis à un groupe de gens de retourner dans leur pays natal y reconstruire leurs «villes saintes».

    Or, il s’agit de la même histoire qui est racontée dans Esdras 1, où l’on peut lire que «l’Éternel réveilla l’esprit de Cyrus, roi de Perse», afin que celui-ci fasse une proclamation (v.1). Dans cette dernière, Cyrus annonçait qu’il libérait les captifs de Babylone pour qu’ils retournent à Jérusalem y rétablir leurs foyers et y reconstruire leur temple (v. 2-5).

    L’histoire ne se termine toutefois pas là. Daniel a confessé ses péchés et ceux de son peuple et il a supplié Dieu de mettre fin à leur captivité en Babylonie (Daniel 9). En réponse à la prière de Daniel, Dieu a envoyé un ange parler à celui-ci (v.21). Par la suite, il a amené Cyrus à libérer les Hébreux. (Voir aussi Jérémie 25: 11-12 ; 39: 10).

    Ensemble, le cylindre de Cyrus et la Parole de Dieu nous montrent que le roi a eu le cœur transformé au point de permettre aux exilés hébreux de rentrer au bercail et d’y adorer leur Dieu.

    Cette histoire comporte de grandes implications pour nous aujourd’hui. Dans un monde qui semble hors de contrôle, nous avons l’assurance que Dieu peut changer aussi bien le cœur des leaders que le nôtre. Au lieu de vous plaindre, priez. (Dave Branon)