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Qui sont les saints ?

Dans la religion, le mot « saint » est employé à de nombreuses reprises et placé devant de nombreux noms propres : Saint Matthieu, saint Marc, saint Luc, saint Jean, Saint Pierre, saint Paul, saint Augustin, saint Vincent, etc. Il s’agit souvent de personnes ayant été, après leur mort, canonisées par un responsable religieux (souvent le pape) pour avoir commis une ou des actions exemplaires. La déclaration de sainteté faite par un homme a-t-elle une validité absolue ?

Le dictionnaire donne, comme définition du mot "saint" : "Qui est pur, parfait, digne de vénération…". Qui est pur, parfait, alors que la parole de Dieu dit expressément que « tous ont péché » (Romains 3 : 23) et qu'« il n’y a certes pas d’homme juste sur la terre qui ait fait le bien et qui n’ait pas péché » (Ecclésiaste 7 : 20) ?

Élie était un prophète en Israël. Il parlait de la part de Dieu. Il a été enlevé au ciel sans passer par la mort (2 Rois 2 : 11). Il est apparu avec Moïse, 9 siècles plus tard, sur la montagne de la transfiguration  (Matthieu 17 v.3). Il pourrait être considéré à nos yeux comme un saint, un homme parfait. Et pourtant, la Bible nous dit que cet « Élie était un homme ayant la même nature que nous » (Jacques 5 : 17) ou : « les mêmes penchants » (version J.N.Darby revue)

Qui donc peut prétendre être saint parmi les hommes ?

Remarquons que, dans la Bible, ce mot n’est jamais employé au singulier si ce n’est en parlant de Dieu ou de Christ. Le seul homme saint ayant vécu sur la terre est Jésus Christ : Il a accompli parfaitement la loi divine (Matthieu 5 : 17) : Il a aimé son prochain comme lui-même jusqu’à donner sa vie pour les pécheurs que nous sommes tous. Il s’est livré lui-même à la croix où il a pris sur lui le jugement divin et la condamnation de nos péchés qu’il a entièrement expiés.

Qui sont donc les saints ?

Ce sont tous ceux et toutes celles qui, reconnaissant leur état de pécheurs méritant la condamnation divine, se repentent et croient au Seigneur Jésus. Ils sont sanctifiés (rendus saints) par l’œuvre expiatoire de notre Sauveur et Seigneur Jésus Christ. L’apôtre Paul écrit aux croyant de Corinthe : « Vous avez été lavés, vous avez été sanctifiés, vous avez été justifiés au nom du Seigneur Jésus Christ et par l’Esprit de notre Dieu. » (1 Corinthiens 6 : 11)

La sanctification est une action de Dieu qui voit les croyants comme parfaits à travers l’œuvre de son Fils qui « par une seule offrande, a rendus parfaits pour toujours ceux qui sont sanctifiés. » (Hébreux 10 : 14)

Beaucoup pensent que pour être saint, il faut marcher d’une manière très sainte, avoir une conduite parfaite, irréprochable. C’est en effet ce que nous devrions faire, non pas pour devenir saint, mais parce que nous sommes sanctifiés par l’œuvre de Christ. Hélas, le chrétien a toujours en lui la chair, l’ancienne nature pécheresse qui le suit tout le temps qu’il est sur la terre. Mais ce n’est pas notre marche qui fait de nous des saints ; c’est en étant devenus des saints que nous devons adapter notre marche à notre nouvelle nature dont Dieu nous a revêtu.

Bientôt Jésus reviendra et ravira de ce monde tous les saints : « Les morts ressusciteront incorruptibles, et nous, nous serons changés. Car il faut que ce corps corruptible revête l’incorruptibilité et que ce corps mortel revête l’immortalité. »  (1 Corinthiens 15 : 52-53)

C’est alors que tous ceux et toutes celles qui auront été sanctifiés par l’œuvre rédemptrice du Seigneur Jésus Christ, moyennant la foi en lui, le loueront d’une manière parfaite et durant l’éternité.

Cher lecteur, chère lectrice, ferez-vous partie de cette immense foule de saints glorifiant notre admirable Sauveur et Seigneur ? - La Vérité Sûre

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POURQUOI ÊTES VOUS TOUT TRISTES : DIEU EXISTE 

 

 

C’est la question posée par Jésus aux deux disciples sur la route d’Emmaüs, accablés et déçus par la mise à mort de leur Maître, crucifié à Golgotha … Leur état de tristesse et de chagrin aveuglant, ils ne connaissent pas cet homme – qui pour les rassurer et les délivrer de leur déception – leur expliqua les Écritures et le pourquoi du sacrifice de Jésus, sa résurrection et sa montée au ciel … (Luc 24/13 à 35).

 

Ils Le reconnurent à la prière de bénédiction que Jésus prononça avant le repas.

 

La tristesse : État affectif, pénible, durable, accablant. Envahissement de la conscience par l’insatisfaction, une déception, une douleur, une mauvaise nouvelle, un manque d’amour …

Elle peut provoquer de la peine, du chagrin, des idées noires, du dégoût, l’envie de se suicider et de mourir, de s’isoler, de ne plus se nourrir, même l’insomnie…

La tristesse peut conduire à la dépression et à ses effets pervers sur l’esprit, le cœur (l’âme) et le corps, et provoquer des migraines, ulcères, douleurs, maladies cardiaques et complications psychosomatiques … souvent chroniques et incurables !

 

Le remède qui délivre de la tristesse :

 

Jésus déclare : « … Votre tristesse se changera en joie… » (Jean 16 : 20). Pour triompher de cette redoutable et « facile » tentation : le seul vrai remède, c’est de croire de tout son cœur à la Personne du Seigneur Jésus-Christ, et de Le recevoir dans son cœur, dans son esprit, présent en permanence dans notre corps … qui devient son temple !

 

Il est normal et nécessaire que l’âme pécheresse éprouve une vraie tristesse provoquée par l’annonce des vérités de l’Évangile, lui révélant les souffrances et la mort expiatoire du Christ-Jésus, pour le pardon et la purification de ses péchés. Cette tristesse pousse chaque créature à se repentir, et à recevoir – par l’action régénératrice du Saint-Esprit – une Nouvelle nature : (Tite 3 : 5 – 2 Corinthiens 5 : 17), et le bonheur d’être sauvée.

 

Ainsi pardonné, délivré et changé, le cœur du disciple de jésus a la paix, la joie, Son amour permanent et une foi ferme et efficace, qui nous pousse à chanter ce cantique :

Plus de fardeau, plus d’ennuis, plus de tristesse

Depuis que Jésus habite en mon cœur !

Maintenant c’est la victoire et l’allégresse

Gloire à jamais au grand Libérateur…

 

Donc, par Jésus-Christ en nous, et la réception puissante du Saint-Esprit, puis par la Lumière et les promesses de la parole de Dieu, le disciple du Seigneur est heureux et vit en paix et protégé : Plus de tristesse inutile.

« … Le juste ne crains point les mauvaises nouvelles, son cœur est ferme, confiant en l’Éternel » (Psaume 112 : 7) « … La joie de l’Éternel sera votre force … » (Néhémie 8 : 10)


« … Ne vous inquiétez de rien. » N’entretenez aucun souci, en toute situation, exposez vos besoins et vos souhaits à Dieu, en les Lui faisant connaître par vos prières …

Alors la paix de Dieu, gardera vos cœurs et vos pensées sous la protection du Christ-Jésus …» (Philippiens 4/4 à 7)

« Soyez toujours joyeux » (2 Thessalonniciens 5/16) - Albert LEBLOND Evangéliste

 

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Ce n’est pas de ma faute !

 

L’Éternel Dieu dit : […] As-tu mangé de l’arbre dont je t’ai commandé de ne pas manger ? Et l’homme dit : La femme […] m’a donné de l’arbre, et j’en ai mangé. […] Et la femme dit : Le serpent m’a séduite, et j’en ai mangé.” (Genèse 3 : 11-13).

 

L’homme cherche souvent à se défausser de ses responsabilités sur son entourage. Mais, devant Dieu, cette attitude ne le sauve pas. Il lui faut reconnaître sa culpabilité et regarder au sacrifice de Jésus pour être pardonné.

 

Dans une société chrétienne où le message de Jésus Christ imprègne les valeurs sociales, l’homme peut être conduit à se reconnaître comme pécheur et à s’en remettre à Christ pour le pardon de ses fautes. Ses propres faiblesses le gardent dans un esprit d’humilité devant les péchés de son prochain. Mais les idées qui prévalent actuellement sont celles d’un humanisme athée qui valorise les qualités humaines. L’homme moderne ne se voit ni comme une créature devant son créateur, ni comme un pécheur devant Dieu. Au nom de sa liberté et de sa volonté d’autonomie par rapport à toute transcendance, il ne cherche pas à lutter contre ses péchés, mais il s’en accommode, voire les entretient.

Pour autant, l’être humain demeure pécheur. Il est en fait un pécheur qui s’ignore. Il s’accommode de certaines de ses faiblesses, qu’il juge mineures. Quant à ses « erreurs » injustifiables, il trouve en dehors de lui-même un bouc émissaire qui en porte la responsabilité. Tel a été le comportement tant d’Adam que d’Ève lors de la chute (verset du jour). Et aujourd’hui la psychologie moderne fait largement appel à cette notion.

Cependant la Bible dit clairement que “chacun de nous rendra compte pour lui-même à Dieu” (Romains 14 : 12), « Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu » (Romains 3 : 23).

Nous ne pourrons pas dire : « Ce n’est pas de ma faute ! ». Nous faisons fausse route chaque fois que nous accusons les autres de nos erreurs, sans reconnaître notre propre responsabilité. La vraie délivrance se trouve dans la confession de nos propres manquements et la demande du pardon de Dieu « ils sont gratuitement justifiés par sa grâce, par le moyen de la rédemption qui est en Jésus Christ. » (Romains 3 : 24).

Dans l’Ancien Testament, lors du rite annuel de l’expiation (Lévitique 16), le sacrificateur confessait les péchés du peuple d’Israël et en chargeait un bouc émissaire, envoyé au désert.

 

L’unique remède au péché c’est le sang de Christ

Le seul moyen de recevoir ce remède c’est la confiance complète en Jésus comme Seigneur et Sauveur personnel. Seul le sang innocent de Jésus peut ôter la souillure et la culpabilité des péchés (Jean 20 : 31). L'amour de Dieu est suffisamment grand pour englober tous les hommes « Dieu a tant aimé de monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle. » (Jean 3 : 16).

Acceptez sans tarder la puissante et glorieuse libération qu’il y a « par le sang précieux de Christ » (1 Pierre 1 : 19) La mort expiatoire de Christ, procure la rédemption du croyant c'est-à-dire. La libération de l'esclavage du péché. Aujourd’hui, nous obtenons la grâce et la miséricorde de Dieu par l’œuvre de Jésus à la croix. Par son sacrifice, il nous a déchargés de nos fautes en les expiant comme les siennes.

la grâce de Dieu, nous sommes rendus disponibles pour aimer notre prochain au lieu de l’accuser. - Plaire au Seigneur adapté par René Barrois

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Une gare, deux trains et deux terminus

 

« Qui croit au Fils a la vie éternelle ; mais qui désobéit au Fils ne verra pas la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui. » (Jean 3 : 36)

 

Le paradis n’est pas une récompense, l’enfer n’est pas une punition. Ce sont les prolongements éternels de choix faits sur la terre. La Bible explique qu’on ne se rend pas agréable à Dieu par ses bonnes œuvres, qu’on ne « mérite » pas le paradis ou l’enfer. C’est en se positionnant par rapport à l’œuvre de Jésus Christ que ces destinations s’imposent, et ce choix se fait uniquement pendant notre vie terrestre.

Tous les hommes passent un jour (ou plusieurs fois dans leur vie) à la gare appelée « la croix du Christ ». Et ils ont alors l’opportunité de monter dans le train qui a pour destination “le paradis”, en passant par la porte « Jésus Christ ». Certains le font et leur destination dans l’au-delà est alors assurée : le ciel, pour toujours. Ce lieu est caractérisé par le bonheur, le repos et pardessus tout par la présence de Dieu.

À défaut de ce choix positif délibéré, les êtres humains restent assis dans le train qui a « l’enfer » pour terrible terminus. Certains de nos contemporains se sont alors imaginé un paradis illusoire. La chanson populaire « On ira tous au paradis » (de Michel Polnareff) traduit bien cet état d’esprit. Lorsqu’une célébrité disparaît, on entend facilement dire quelque chose du genre : « Il est toujours là et à présent, il nous regarde de là-haut. » Dans ce paradigme l’enfer n’existe pas. Si le terme enfer ne se trouve pas dans la Bible, ce lieu n’est pourtant pas virtuel. Il y est décrit par des images distinctes qui, superposées, font entrevoir un lieu terrifiant, caractérisé pardessus tout par la conscience de l’éloignement de Dieu. Ainsi, refuser de faire route avec le Jésus de la Bible, c’est refuser la grâce de Dieu avant d‘être jugé par lui. Choisir de vivre sans donner attention à ce même Jésus, c’est rester pour l’éternité sans relations avec lui et se trouver pour toujours en enfer avec le diable et ses anges.

On comprend alors pourquoi, aux aiguillages de la vie, les chrétiens ne cessent de présenter Jésus Christ comme la seule bonne direction. - Plaire au Seigneur

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Dieu est-il trop bon pour envoyer des âmes en enfer ?

Oui, Dieu est bon. Plus que cela : la Bible déclare expressément que « Dieu est amour » (1 Jean 4 v.8 et 16) c’est-à-dire que son amour n’est pas seulement un de ses caractères, il est l’essence même de son être. Cet amour s’est révélé en la Personne de son Fils unique, Jésus Christ :

« Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle. » (Jean 3 v.16)

Dieu est infini dans son amour, il est aussi parfaitement saint et juste. A cause de sa sainteté, il ne peut admettre le péché, « il a les yeux trop purs pour voir le mal » (Habakuk 1 v.13) et à cause de sa justice, il se doit de le punir.

Comment donc ce Dieu infini dans son amour peut-il traiter le pécheur tout en condamnant le péché dont il a horreur ?

Jésus-Christ, son Fils unique, quittant la gloire céleste où il était de toute éternité, est venu ici-bas, prenant la forme d’un homme et, après avoir vécu une vie parfaite faisant du bien partout où il passait (Actes 10 v.38), s’est offert lui-même à la croix comme victime expiatoire. Lui qui est sans péché Dieu l’a fait péché pour nous en faisant tomber sur lui sa sainte colère que nous aurions dû subir pendant l’éternité.

« Celui qui n’a pas connu le péché, Dieu l’a fait devenir péché pour nous afin que nous, nous devenions justice de Dieu en lui. » (2 Corinthiens 5 v.21)

« Dieu prouve son amour envers nous en ce que, lorsque nous étions encore pécheurs, Christ est mort pour nous » (Romains 5 v.8)

Le châtiment que nous méritions tous à cause de nos péchés s’étant abattu sur son Fils unique à la croix, personne n’a d’excuse pour refuser le salut gratuit que Dieu offre à chacun.

« Qui croit au Fils de Dieu a la vie éternelle, qui ne croit au Fils ne verra pas la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui. » (Jean 3 v.36)

" Dieu est trop bon pour envoyer des âmes en enfer entend-on parfois, les non-repentis seront anéantis". Cette idée, émise même par certains religieux, est une ruse du diable pour apaiser les âmes, comme s’il leur disait :  " Ne vous inquiétez pas, si vous n’allez pas au ciel, vous serez anéantis."

Aucune âme humaine ne peut être anéantie : quand Dieu créa l’homme, « il souffla en lui une respiration de vie, et l’homme devint une âme vivante » (Genèse 2 v.7)

L’enfer a été préparé pour le diable et ses anges (Matthieu 25 v.41) et non pour les hommes. Les hommes non repentants iront en enfer d’eux-mêmes parce qu’ils auront refusé la grâce divine. Dieu hait le péché, mais il aime le pécheur et veut le sauver. Libre à chacun de recevoir par la foi son salut gratuit  ou de le refuser.

Dieu est amour : Il est « notre Dieu Sauveur qui veut que tous les hommes soient sauvés et viennent à la connaissance de la vérité » (1 Timothée 2 v.4)

« Il veut qu’aucun ne périsse, mais que tous viennent à la repentance » (2 Pierre 3 v.9)

A ceux qui ont des doutes sur la réalité des peines éternelles, je leur propose de lire (ou de relire) la parabole du riche et de Lazare où Jésus soulève le voile de l’au-delà (Luc 16 v.19 à 31). En voici un extrait :

« ... Le riche aussi mourut et fut enseveli. Et dans le séjour des morts, levant les yeux, comme il était dans les tourments, il voit de loin Abraham, et Lazare dans son sein. Alors il s'écria :

« Père Abraham, aie pitié de moi et envoie Lazare, afin qu'il trempe dans l'eau le bout de son doigt et qu'il rafraîchisse ma langue, car je suis tourmenté dans cette flamme. »

Mais Abraham dit :

« Mon enfant, souviens-toi que tu as reçu tes biens pendant ta vie, et Lazare pareillement les maux ; mais maintenant lui est consolé ici, et toi tu es tourmenté. Et de plus, un grand gouffre est fermement établi entre nous et vous ; de sorte que ceux qui veulent passer d'ici vers vous ne le peuvent pas, et que ceux qui veulent passer de là ne traversent pas non plus vers nous. » - La Vérité Sûre

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Impossibilités

 

Ce qui est impossible pour les hommes est possible pour Dieu.” (Luc 18 : 27)

 

À l’aube des temps, Dieu place l’homme dans un jardin merveilleux spécialement conçu pour son bonheur. Adam et Ève ont tout à profusion et ils dominent sur les êtres créés. En outre, ils ont de douces relations avec Dieu. Une seule chose leur est interdite : goûter du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal sous peine de mort (Genèse 2 : 17). Le diable, par la ruse, les trompe et ils mangent de ce fruit, font ainsi entrer le péché dans le monde et contaminent toute l’humanité. Dès lors, il est impossible de les laisser vivre dans ce jardin et Dieu doit en chasser l’homme (Genèse 3 : 24).

L’homme s’enfuit toujours plus loin de son créateur. Mais dans son amour pour sa créature, Dieu donne la loi par l’intermédiaire de Moïse et institue des sacrifices pour que l’homme puisse s’approcher de lui avec ces offrandes. Néanmoins, « il est impossible que le sang de taureaux et de boucs ôte les péchés » (Hébreux 10 : 4) et ces sacrifices ne font que rappeler la culpabilité humaine. Le sang d’animaux n’est là que pour préfigurer le sang qu’offrira Jésus, le Fils de Dieu.

Le désir profond de Dieu est de ne pas laisser l’humanité dans cet état de perdition mais il lui est impossible de trouver dans le ciel ou sur la terre un émissaire pour racheter l’être humain. « Qui enverrai-je, et qui ira pour nous ? » (Esaïe 6 : 8). Seul son Fils unique et parfait peut répondre à cet appel pour sauver l’homme coupable.

Et Jésus vient ! Il manifeste l’amour de Dieu envers l’homme perdu, lui prodigue bienfait sur bienfait… pourtant, il est rejeté par ceux qu’il vient sauver. À la fin d’une marche parfaite, se dresse la croix ! Dans la nuit qui précède son sacrifice, dans le jardin de Gethsémané, le Fils fait monter cette prière vers les cieux : « Mon Père, si c’est possible, que cette coupe passe loin de moi ; toutefois, non pas comme moi je veux, mais comme toi tu veux » (Matthieu 26 : 39). Jésus anticipe Golgotha… et vide cette coupe de douleurs. Il est impossible que Jésus ne connaisse pas la mort expiatoire de la croix !

Mais, Gloire à Dieu, Jésus est ressuscité. Dieu délie les douleurs de la mort puisqu’il est impossible « qu’il soit retenu par elle » (Actes 2 : 24). - Plaire au Seigneur 

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Où allons-nous après la mort ?

 

Il est réservé aux hommes de mourir une fois, et après cela le jugement.” (Hébreux 9. 27)

En résurrection de vie… en résurrection de jugement.” (Jean 5. 29)

 

Après la mort, au temps fixé, tous ressusciteront soit pour la vie soit pour le jugement, nous dit clairement la Bible. Elle affirme aussi que nous pouvons déterminer le lieu où nous passerons l’éternité après notre mort. Comment ?

 

D’abord, posons le problème :

Tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu” (Romains 3. 23). Notre péché nous sépare de notre Créateur: “Vos iniquités ont fait séparation entre vous et votre Dieu” (Esaïe 59. 2). Si ce problème n’est pas résolu, cette séparation d’avec Dieu se poursuivra dans l’éternité dans ce lieu dont Dieu est absent : “Si quelqu’un n’était pas trouvé écrit dans le livre de vie, il était jeté dans l’étang de feu” (Apocalypse 20. 15).

 

Maintenant, voici la solution :

Dieu est venu lui-même vers sa créature en la personne de Jésus Christ : “La Parole devint chair, et habita au milieu de nous […] pleine de grâce et de vérité” (Jean 1. 14). Il a vécu une vie sans péché : “Il n’y a point de péché en lui” (1 Jean 3. 5) ; et a volontairement payé pour nous : “Christ est mort pour nos péchés” (1 Corinthiens 15. 3). Dieu peut alors nous offrir gratuitement le pardon, “la vie éternelle dans le Christ Jésus” (Romains 6. 23).

 

Ce don est reçu uniquement par la foi :

Vous êtes sauvés par la grâce, par la foi et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu” (Éphésiens 2. 8). Paul rassure le geôlier de Philippes qui se voit perdu: “Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé” (Actes 16. 31).

 

Mettre sa confiance en Jésus seul pour notre salut, accepter son sacrifice pour nos péchés nous assure la promesse de la vie éternelle dans la présence de Dieu.

 

Où allons-nous après la mort ?

Dieu nous propose aujourd’hui :

J’ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction. Choisis la vie, afin que tu vives” (Deutéronome 30. 19), mais il laisse chacun de nous libre de son choix et de ses conséquences : “Allez-vous-en loin de moi, maudits” (Matthieu 25. 41), ou : “Venez, vous les bénis de mon Père” (Matthieu 25. 34).

Nous avons le choix de vivre dans l’absence ou la présence de Dieu. - Plaire au Seigneur

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“L’homme expire, et où est-il ?”  (Job 14. 10)

 

 Frôler la mort Le 29 novembre 2020 le pilote de Formule 1 Romain Grosjean a été victime d’un grave accident qui a failli lui coûter la vie et a mis prématurément fin à sa carrière. Alors qu’il courait le Grand Prix de Bahreïn, sa Formule 1 est entrée en collision avec celle d’un autre pilote et, à plus de 220 km/h, il s’est écrasé sur la glissière de sécurité. Prisonnier des flammes, le coureur automobile a vu sa vie défiler devant lui. Invité sur RTL le 18 février 2021, il a révélé avoir subi une expérience de mort imminente. Il a expliqué ce qu’il avait ressenti pendant les 28 secondes qui ont suivi le choc : « Vous savez, a-t-il dit, la mort, personne n’est revenu pour nous dire comment c’était. Je me suis retrouvé à dix centimètres d’elle. Ça a été un moment où j’étais en paix avec moi-même, je n’étais pas stressé ou tendu ou énervé. »

Il s’est extrait de sa voiture en flammes in extremis. Aujourd’hui tiré d’affaire, Romain Grosjean affirme que « ça va », et qu’il ne pense « pas plus que ça » à ce terrible accident, « hormis bien évidemment sa main gauche qui est meurtrie. » Il a même repris le volant pour disputer d’autres courses. Ce récit nous amène à tirer plusieurs conclusions. D’abord, Dieu est au-dessus de toutes choses. Lorsqu’il nous arrive un accident, arrêtons-nous et réfléchissons: “Recherchons nos voies, et scrutons-les, et retournons jusqu’à l’Éternel” (Lamentations 3 : 40); “Dieu parle une fois, et deux fois et l’on n’y prend pas garde” (Job 33 : 14). Posons-nous la question: si cet accident avait été mortel, où serais-je maintenant? Qu’ai-je fait de ma vie ? La deuxième interrogation: est-il suffisant d’être en paix avec soi-même pour affronter la mort? Non, l’important c’est d’être en paix avec Dieu et Dieu seul peut donner la paix à notre âme : “Il a mis en paix mon âme, la rachetant” (Psaume 55 : 18). Cette paix que Dieu nous offre a un prix, c’est par sa mort sur la croix que Christ nous l’a acquise : “ [Il a] fait la paix par le sang de sa croix” (Colossiens 1 : 20). Aujourd’hui est un jour où Dieu offre encore son salut, nous ne savons pas “ce qui arrivera le jour de demain” (Jac. 4. 14), alors “soyez réconciliés avec Dieu” (2 Corinthiens 5 : 20). - Plaire au Seigneur

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Avez-vous l'assurance de la vie éternelle ?

 

«Dieu a tant aimé le monde qu'il adonné qu'il a donné son Fils unique,afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle.» (Jean 3 : 16)

« L'amour de Dieu a été manifesté envers nous en ce que Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde, afin que nous vivions par lui. » (1Jean 4 : 9).

 

Chers amis, je voudrais vous poser la question la plus importante pour votre éternité. Il ne s'agit pas de savoir si vous êtes des gens de bien, ni si vous fréquentez une église, mais tout simplement : Êtes-vous sauvés ?

Tout d'abord, vous devez réaliser que vous êtes des pécheurs privés de la gloire de Dieu (Romains 3 : 23). Le péché est universel.

A cause du péché vous êtes condamnés à mort (Romains 6 : 23). C'est la mort spirituelle, qui sépare éternellement de Dieu en Enfer.

 

Rien n'est perdu !

Car Dieu dans son immense amour a pourvu à votre rédemption en donnant son Fils unique qui a porté sur Lui le péché et mourut à votre place (Jean 3 : 16). Dieu a placé vos péchés et les miens sur Jésus et Il fallait qu'Il verse son sang et meurt à notre place, ainsi Il est devenu notre substitut, il nous ouvre l'accès du ciel et de la grâce. Christ a payé la rançon pour le pardon des péchés, et que l'on retrouve la communion avec le Père. L'homme est sauvé par grâce.

 

Comment recevoir cette grâce ?

Le don de Dieu est gratuit (Romains 6 : 23), il n'y a rien à payer, ni œuvres à accomplir (Éphésiens 2 : 9). C'est par la foi en Jésus-Christ, en implorant le pardon avec une âme brisée et un cœur contrit (Galates 2 : 16).

Le Seigneur pardonne toutes nos fautes, Il les efface, ne s'en souvient plus, elles deviendront blanches comme la neige (Esaïe 1 : 18). Les choses anciennes sont passées, toutes choses sont devenues nouvelles (2 Corinthiens 5 :17), ainsi vous serez reconnu comme juste, restauré par par la faveur de Dieu.

 

Qu'allez-vous décider ?

Chers amis, c'est le moment, venez à Jésus, Il frappe à la porte de votre cœur, Il veut vous libérer de vos chaînes et vous pardonner de vos péchés. En recevant Jésus dans votre vie vous aurez l'assurance de la vie éternelle, délivré de la colère de Dieu à venir. - René Barrois

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